Dans une déclaration récente, Mballo Dia Thiam, secrétaire général du SUTSAS et coordinateur de « And Gueusseum », a exprimé son point de vue sur la rétention des données sanitaires des syndicalistes. Il a déclaré : « Les accords sont tout le temps signés mais jamais respectés ».
Depuis un certain temps, le secteur de la santé est fortement perturbé par les grèves des syndicalistes. Dans le cadre de leur plan d'action, ces militants ont adopté la rétention des données sanitaires comme une deuxième alternative pour exiger des nouvelles autorités qu'elles respectent les accords et les engagements pris.
Cependant, l'État du Sénégal, les programmes et les organisations internationales éprouvent des difficultés à obtenir des informations complètes sur de nombreuses situations. Pour se faire entendre, les syndicalistes restent déterminés à poursuivre leur combat. Mballo Dia Thiam témoigne de cette détermination en déclarant : « Nous avons préféré continuer cette lutte en utilisant la grève des données. La rétention des informations sanitaires n'est pas une nouveauté. Vous avez vu Eva Coll quand elle est venue pour la première fois avec Wade, elle a été confrontée à cela, tout comme Modou Diagne Fada et les autorités actuelles. »
Bien que la rétention des données sanitaires ait un impact sur les politiques de santé, Mballo Dia Thiam estime qu'il est essentiel de s'intéresser aux causes plutôt qu'aux conséquences, car les accords sont systématiquement signés mais jamais respectés. Il ajoute : « La rétention n'est qu'un élément résiduel de l'ensemble de mesures que nous avons exposé.
Nous avons eu onze plans d'action, malheureusement, dans ce pays, lorsque nous déposons un préavis de grève, rien n'est fait pour l'empêcher, et lorsque nous sommes en grève, des manœuvres sont mises en place, puis si les gens sont fatigués, on tergiverse. Voilà, nous sommes piégés dans ce cercle vicieux. Je pense qu'il est temps de mettre fin à ce cercle vicieux », a-t-il conclu.
Dieynaba AGNE
Depuis un certain temps, le secteur de la santé est fortement perturbé par les grèves des syndicalistes. Dans le cadre de leur plan d'action, ces militants ont adopté la rétention des données sanitaires comme une deuxième alternative pour exiger des nouvelles autorités qu'elles respectent les accords et les engagements pris.
Cependant, l'État du Sénégal, les programmes et les organisations internationales éprouvent des difficultés à obtenir des informations complètes sur de nombreuses situations. Pour se faire entendre, les syndicalistes restent déterminés à poursuivre leur combat. Mballo Dia Thiam témoigne de cette détermination en déclarant : « Nous avons préféré continuer cette lutte en utilisant la grève des données. La rétention des informations sanitaires n'est pas une nouveauté. Vous avez vu Eva Coll quand elle est venue pour la première fois avec Wade, elle a été confrontée à cela, tout comme Modou Diagne Fada et les autorités actuelles. »
Bien que la rétention des données sanitaires ait un impact sur les politiques de santé, Mballo Dia Thiam estime qu'il est essentiel de s'intéresser aux causes plutôt qu'aux conséquences, car les accords sont systématiquement signés mais jamais respectés. Il ajoute : « La rétention n'est qu'un élément résiduel de l'ensemble de mesures que nous avons exposé.
Nous avons eu onze plans d'action, malheureusement, dans ce pays, lorsque nous déposons un préavis de grève, rien n'est fait pour l'empêcher, et lorsque nous sommes en grève, des manœuvres sont mises en place, puis si les gens sont fatigués, on tergiverse. Voilà, nous sommes piégés dans ce cercle vicieux. Je pense qu'il est temps de mettre fin à ce cercle vicieux », a-t-il conclu.
Dieynaba AGNE
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