Fraîchement élu président de la Convention internationale de lutte contre le dopage, ce mercredi à Paris, l’ancien ministre des sports du Sénégal, Matar Bâ a exprimé toute sa fierté. Le nouveau patron de la lutte contre le dopage a d’ailleurs fait part de ses projets et des grands chantiers qui l’attendent. Reconnaissant, il a souligné avec justesse la solidarité dont ont fait montre les pays africains en soutenant la candidature unique du Sénégal. Une candidature également portée par le président sénégalais… « C’est un sentiment de fierté mais aussi un engagement dans le travail qui vient de m’être confié par plus de 190 pays. Mais je dois d’abord féliciter et rendre hommage au Président Macky Sall parce que vous savez notre candidature a été d’abord portée par le président Macky Sall et Souleymane Jules Diop qui est ambassadeur auprès de l’UNESCO a fait le reste en mobilisant, tout le continent africain et d’une seule voix, le continent a porté la candidature du Sénégal. C’est un travail extrêmement important, parce qu'au-delà de l’aspect sportif et de la protection des athlètes. Il y a l’aspect diplomatique. Mais, puisque nous ne sommes pas en terrain Inconnu, parce que nous avons fait quatre ans de vice-présidence, nous savons les difficultés auxquelles nous serons confrontés. Nous maîtrisons les acquis. Le reste est un travail qu’il faudra poursuivre…»
Déterminé à relever ce nouveau challenge qui se dresse devant lui, Matar Bâ est convaincu que continuer cette lutte contre le dopage, une approche inclusive et une communication de proximité seront nécessaires. « nous devons trouver les moyens d’installer un dialogue constructif pour une compréhension mutuelle de l’ensemble des parties prenantes. Cela fera partie des gros chantiers. Mais aussi le travail de sensibilisation pour que les États et les leaders d’opinions puissent accompagner le travail qui est en train d’être fait. Je dois aussi dire que nous ferons une mission en Guinée Bissau parce dans tout le continent africain, il n’y a que la Guinée Bissau qui n’a encore ratifié. et on aimerait rallier tous le monde pour ratifier cette convention. L'Assemblée générale des états partis fondent beaucoup d’espoir en notre personne et cet espoir là nous devons le mériter et nous allons continuer de travailler dans ce sens. Il faudra continuer à faire de la sensibilisation au niveau des organisations régionales et sous régionales à l’occasion des grands rendez-vous sportifs qui vont s’organiser sur le continent et dans le monde. Sénégal va abriter les Jeux olympiques de la jeunesse en 2026 c’est extrêmement important, parce que l’aspect protection des appels ne se limite pas au niveau de l’activité sportive au-delà de ça c’est une question de santé publique » termine-t-il.
Déterminé à relever ce nouveau challenge qui se dresse devant lui, Matar Bâ est convaincu que continuer cette lutte contre le dopage, une approche inclusive et une communication de proximité seront nécessaires. « nous devons trouver les moyens d’installer un dialogue constructif pour une compréhension mutuelle de l’ensemble des parties prenantes. Cela fera partie des gros chantiers. Mais aussi le travail de sensibilisation pour que les États et les leaders d’opinions puissent accompagner le travail qui est en train d’être fait. Je dois aussi dire que nous ferons une mission en Guinée Bissau parce dans tout le continent africain, il n’y a que la Guinée Bissau qui n’a encore ratifié. et on aimerait rallier tous le monde pour ratifier cette convention. L'Assemblée générale des états partis fondent beaucoup d’espoir en notre personne et cet espoir là nous devons le mériter et nous allons continuer de travailler dans ce sens. Il faudra continuer à faire de la sensibilisation au niveau des organisations régionales et sous régionales à l’occasion des grands rendez-vous sportifs qui vont s’organiser sur le continent et dans le monde. Sénégal va abriter les Jeux olympiques de la jeunesse en 2026 c’est extrêmement important, parce que l’aspect protection des appels ne se limite pas au niveau de l’activité sportive au-delà de ça c’est une question de santé publique » termine-t-il.