DAKARACTU.COM - Il y a eu du tout, lors du face à face des jeunes de l’Alliance Nationale Patriotique dirigée par René Pierre Yéhoumé, tout à l’heure avec les forces de l’ordre. Nous vous avions promis d’y revenir et nous tenons parole. Tout est parti donc d’une déclaration de ces jeunes de l’APR à l’endroit de Sidy lamine Niasse, une déclaration minée de … d’insanités et de fautes aussi, à l’endroit du « Mollah » que nous nous garderons de publier ici.
Aussitôt après, c’est à Moustapha Cissé Lô de faire irruption dans la salle, insultant encore les journalistes en revenant sur les faits que l’on lui impute depuis quelques jours. Il a martelé que c’est le fait « de journalistes répugnants qui passent leur temps à bafouer la vie d’honnêtes personnes ».
« J’ai eu mon premier millions à 20 ans. Je fais de bonnes actions pourquoi est ce qu’on ne l’écrit pas. En plus chez les journalistes il y en a qui couchent avec les femmes d’autrui, ceux qui couchent avec des hommes, cela vous ne le dites pas. Mais vous attaquez une autorité, mais sachez que l’on ne m’atteindra jamais » a-t-il encore vociféré.
C’est suite à ces nouvelles « stupidités » du politicien-flambeur que les jeunes sont donc sortis pour se diriger vers le Palais. Notons que même avant leur départ une altercation est survenue entre eux, la rivalité est que chacun voulait être devant le Chef de l’Etat et porter la parole du groupe. Malheureusement, leur volonté sera même clouée au pilori par les policiers en faction devant le Palais qui leur ont barré la route. Mais c’était sans compter avec l’indiscipline de René Pierre Yéhoumé qui en a débité de toutes sortes sur les flics « nous n’allons pas bouger d’ici, que l’on nous enterre sur cette place. Quand on offense le Président on n’a pas besoin d’autorisation, alors quand on veut le rencontrer on ne doit pas en avoir aussi. » Souleymane Jules Diop venu s’enquérir des nouvelles n’aura pas le temps de dire mot puisque la première grenade lacrymogène refroidira l’ardeur du « vaillant Yéhoumé », qui disparut dans les nuages du projectile tel un lapin. Jules Diop, quant à lui, a déclaré être venu aux nouvelles juste parce que c’était son rôle, mais qu’il n’avait reçu aucun ordre venant du Palais. Cependant, il a même failli être pris à partie par les flics, puisqu’il voulait intervenir suite à l’arrestation d’un des manifestants, un handicapé. Mais devant les ordres fermes de « dégager » que lui ont intimés les flics, il n’a pas insisté, pour rentrer sagement au Palais.
Aussitôt après, c’est à Moustapha Cissé Lô de faire irruption dans la salle, insultant encore les journalistes en revenant sur les faits que l’on lui impute depuis quelques jours. Il a martelé que c’est le fait « de journalistes répugnants qui passent leur temps à bafouer la vie d’honnêtes personnes ».
« J’ai eu mon premier millions à 20 ans. Je fais de bonnes actions pourquoi est ce qu’on ne l’écrit pas. En plus chez les journalistes il y en a qui couchent avec les femmes d’autrui, ceux qui couchent avec des hommes, cela vous ne le dites pas. Mais vous attaquez une autorité, mais sachez que l’on ne m’atteindra jamais » a-t-il encore vociféré.
C’est suite à ces nouvelles « stupidités » du politicien-flambeur que les jeunes sont donc sortis pour se diriger vers le Palais. Notons que même avant leur départ une altercation est survenue entre eux, la rivalité est que chacun voulait être devant le Chef de l’Etat et porter la parole du groupe. Malheureusement, leur volonté sera même clouée au pilori par les policiers en faction devant le Palais qui leur ont barré la route. Mais c’était sans compter avec l’indiscipline de René Pierre Yéhoumé qui en a débité de toutes sortes sur les flics « nous n’allons pas bouger d’ici, que l’on nous enterre sur cette place. Quand on offense le Président on n’a pas besoin d’autorisation, alors quand on veut le rencontrer on ne doit pas en avoir aussi. » Souleymane Jules Diop venu s’enquérir des nouvelles n’aura pas le temps de dire mot puisque la première grenade lacrymogène refroidira l’ardeur du « vaillant Yéhoumé », qui disparut dans les nuages du projectile tel un lapin. Jules Diop, quant à lui, a déclaré être venu aux nouvelles juste parce que c’était son rôle, mais qu’il n’avait reçu aucun ordre venant du Palais. Cependant, il a même failli être pris à partie par les flics, puisqu’il voulait intervenir suite à l’arrestation d’un des manifestants, un handicapé. Mais devant les ordres fermes de « dégager » que lui ont intimés les flics, il n’a pas insisté, pour rentrer sagement au Palais.