DAKARACTU.COM - Bercé à la sauce socialiste depuis sa tendre enfance, Mame Malick Bâ est un militant du Parti socialiste à la forte conviction. Après avoir gravi tous les échelons du mouvement des jeunes socialistes, son immigration en Italie ne le fera pas perdre son militantisme au sein du parti de Senghor, de Diouf et aujourd’hui d’Ousmane Tanor Dieng. Et il ne compte pour rien au monde bannir sa fibre socialiste. Suivant de très près l’actualité politique nationale, Mame Malick Ba milite pour le maintien de l’entente parfaite au sein de Bennoo Siggil Senegaal (BSS). Mais cette entente ne doit pas se faire au détriment de son parti et d’Ousmane Tanor Dieng.
Même s’il est pour la conservation de l’unité et de l’entente au sein de BSS, le coordonnateur général du PS en Italie espère seulement que cela ne se fera pas au détriment de son secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng. C’est pourquoi il n’hésite pas à rappeler aux uns et aux autres que si le PS est aujourd’hui dans l’opposition, en grande partie, c’est à cause de Moustapha Niasse. «On ne doit pas sacrifier la candidature d’Ousmane Tanor Dieng au profit de celle de Moustapha Niasse pour incarner l’unité et le rassemblement de Bennoo», tranche Mame Malick Bâ que nous avons joint au téléphone. Déplorant la situation qui prévaut au sein de Bennoo, il rappelle que c’est le PS qui a perdu le pouvoir en 2000. Et justement à cause du soutien consistant que Moustapha Niasse a donné à Me Abdoulaye Wade. «Si Niasse n’avait pas donné ses 17% et 50 millions de francs CFA à Me Wade, le PS ne serait jamais battu», insiste Bâ. Avant d’ajouter que rien que pour cela le secrétaire général de l’Alliance des forces du progrès (AFP) doit se racheter en soutenant et acceptant de se ranger derrière la candidature d’Ousmane Tanor Dieng . Mieux, il poursuit que Moustapha Niasse doit reconnaitre ses erreurs. Très en verve, le coordonnateur du PS à Milan pense également qu’au-delà de la structuration et de l’organisation, le PS est plus apte que l’AFP à incarner l’unité et le rassemblement au sein de Benno Siggil Senegaal. Avant de conclure ce chapitre sur la question du choix du candidat de l’unité et du rassemblement, Mame Malick Bâ avance que son parti a été le seul durant le magistère de Me Abdoulaye Wade à ne pas être comptable. «Nous n’avons jamais été mêlés dans la gestion du pouvoir depuis 2000», tonne-t-il. Avant de faire remarquer que tous les autres leaders politiques de l’opposition ont été au cœur du système libéral.
Même s’il est pour la conservation de l’unité et de l’entente au sein de BSS, le coordonnateur général du PS en Italie espère seulement que cela ne se fera pas au détriment de son secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng. C’est pourquoi il n’hésite pas à rappeler aux uns et aux autres que si le PS est aujourd’hui dans l’opposition, en grande partie, c’est à cause de Moustapha Niasse. «On ne doit pas sacrifier la candidature d’Ousmane Tanor Dieng au profit de celle de Moustapha Niasse pour incarner l’unité et le rassemblement de Bennoo», tranche Mame Malick Bâ que nous avons joint au téléphone. Déplorant la situation qui prévaut au sein de Bennoo, il rappelle que c’est le PS qui a perdu le pouvoir en 2000. Et justement à cause du soutien consistant que Moustapha Niasse a donné à Me Abdoulaye Wade. «Si Niasse n’avait pas donné ses 17% et 50 millions de francs CFA à Me Wade, le PS ne serait jamais battu», insiste Bâ. Avant d’ajouter que rien que pour cela le secrétaire général de l’Alliance des forces du progrès (AFP) doit se racheter en soutenant et acceptant de se ranger derrière la candidature d’Ousmane Tanor Dieng . Mieux, il poursuit que Moustapha Niasse doit reconnaitre ses erreurs. Très en verve, le coordonnateur du PS à Milan pense également qu’au-delà de la structuration et de l’organisation, le PS est plus apte que l’AFP à incarner l’unité et le rassemblement au sein de Benno Siggil Senegaal. Avant de conclure ce chapitre sur la question du choix du candidat de l’unité et du rassemblement, Mame Malick Bâ avance que son parti a été le seul durant le magistère de Me Abdoulaye Wade à ne pas être comptable. «Nous n’avons jamais été mêlés dans la gestion du pouvoir depuis 2000», tonne-t-il. Avant de faire remarquer que tous les autres leaders politiques de l’opposition ont été au cœur du système libéral.
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