Dans le convoi qui est arrivé, il y a plus de 400 combattants. La plupart sont des Maliens qui avaient pris la nationalité libyenne. Ils combattaient aux côtés des troupes de Kadhafi. Aujourd'hui, Ils sont revenus dans leur pays d'origine avec armes et bagages. Parmi eux, des officiers avec grade de commandant, mais aussi un colonel, le colonel Mohamed Bachir. Quasiment tous ces hommes en armes de retour sont des touaregs, essentiellement de trois tribus du Nord-Mali: les iforas, les chamanamas, et les imrades.
Dès leur arrivée, le groupe de plus de 400 combattants s'est scindé en deux. Certains ont pris la direction du grand désert, en jouant un peu aux électrons libres, d’où le danger. Par contre, un comité d'accueil, attendait les militaires de la tribu des imrades.
Ces derniers sont les plus nombreux du groupe, ils occupaient ainsi 50 des 78 véhicules. Et à l'initiative des cadres civils et militaires maliens de la même tribu, un site de cantonnement a été aménagé pour eux, dans la localité de Takallote, située à 35 kilomètre de Kidal. Sur place, tentes, couverture et vivres les attendaient.
« Ces soldats veulent la paix, la tranquillité pour le Mali », explique un cadre civil influent dans la région. Reste à organiser leur désarmement, leur avenir, leur réinsertion. Sur tous ces points, à commencer par leur retour, le gouvernement malien ne s'est pas encore exprimé.
( RFI )
Dès leur arrivée, le groupe de plus de 400 combattants s'est scindé en deux. Certains ont pris la direction du grand désert, en jouant un peu aux électrons libres, d’où le danger. Par contre, un comité d'accueil, attendait les militaires de la tribu des imrades.
Ces derniers sont les plus nombreux du groupe, ils occupaient ainsi 50 des 78 véhicules. Et à l'initiative des cadres civils et militaires maliens de la même tribu, un site de cantonnement a été aménagé pour eux, dans la localité de Takallote, située à 35 kilomètre de Kidal. Sur place, tentes, couverture et vivres les attendaient.
« Ces soldats veulent la paix, la tranquillité pour le Mali », explique un cadre civil influent dans la région. Reste à organiser leur désarmement, leur avenir, leur réinsertion. Sur tous ces points, à commencer par leur retour, le gouvernement malien ne s'est pas encore exprimé.
( RFI )
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