Le Sénégal a célébré, à l’instar de la communauté internationale, la journée mondiale de la thyroïde communément appelée goitre sous le thème : " le malade de la thyroïde et son environnement socio-affectif ". Avec la participation active de l’association sénégalaise des maladies de la thyroïde (ASMAT), présente depuis 2014.
À cet effet, le professeur Mamadou Mbodj, spécialiste en médecine nucléaire, a sollicité la prise en charge de cette maladie qui nécessite un traitement de longue durée.
Pour rappel, les affections les plus fréquentes, qui touchent surtout les femmes ( 9 femmes pour 1 homme), sont le goitre, l’hypo et l’hyperthyroïdie.
Souvent une simple prise de sang, le dosage de la TSH, permet de poser le diagnostic.
Le bilan pourra être complété, au besoin, d’un ultrason de la glande qui permet de visualiser sa taille et sa consistance, et/ou d’une scintigraphie qui, après injection d’une quantité infime d’iode radioactif donnera des informations sur l’activité de la glande.
Le goitre, qui est souvent dû à une carence en iode, est devenu une affection rare grâce à l’ajout systématique d'iode au sel de cuisine et aux aliments industriels.
L’hyperthyroïdie (hyperfonction) peut induire des troubles variés aussi bien psychiques que physiques (perte de poids, diarrhées, troubles du rythme cardiaque…). Un blocage médicamenteux de la production d’hormones thyroïdiennes, une intervention chirurgicale ou une thérapie à l’iode radioactif en sont les traitements.
L’hypothyroïdie (le manque d’hormones) est souvent induite par une inflammation de la glande et se corrige par l’administration orale d’hormones thyroïdiennes.
Si la glande présente un ou plusieurs nodules de grande taille, on peut être amené à les ponctionner afin d’en analyser le contenu ou la structure ; le cancer de la thyroïde est toutefois une pathologie peu fréquente même si, depuis Tchernobyl son incidence a sensiblement augmenté.
À cet effet, le professeur Mamadou Mbodj, spécialiste en médecine nucléaire, a sollicité la prise en charge de cette maladie qui nécessite un traitement de longue durée.
Pour rappel, les affections les plus fréquentes, qui touchent surtout les femmes ( 9 femmes pour 1 homme), sont le goitre, l’hypo et l’hyperthyroïdie.
Souvent une simple prise de sang, le dosage de la TSH, permet de poser le diagnostic.
Le bilan pourra être complété, au besoin, d’un ultrason de la glande qui permet de visualiser sa taille et sa consistance, et/ou d’une scintigraphie qui, après injection d’une quantité infime d’iode radioactif donnera des informations sur l’activité de la glande.
Le goitre, qui est souvent dû à une carence en iode, est devenu une affection rare grâce à l’ajout systématique d'iode au sel de cuisine et aux aliments industriels.
L’hyperthyroïdie (hyperfonction) peut induire des troubles variés aussi bien psychiques que physiques (perte de poids, diarrhées, troubles du rythme cardiaque…). Un blocage médicamenteux de la production d’hormones thyroïdiennes, une intervention chirurgicale ou une thérapie à l’iode radioactif en sont les traitements.
L’hypothyroïdie (le manque d’hormones) est souvent induite par une inflammation de la glande et se corrige par l’administration orale d’hormones thyroïdiennes.
Si la glande présente un ou plusieurs nodules de grande taille, on peut être amené à les ponctionner afin d’en analyser le contenu ou la structure ; le cancer de la thyroïde est toutefois une pathologie peu fréquente même si, depuis Tchernobyl son incidence a sensiblement augmenté.
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