Cinquante-et-un accidents de la circulation, dont deux mortels, ont été enregistrés à Touba lors du grand magal 2017, célébré ce mercredi en souvenir du départ du départ en exil au Gabon de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, le fondateur du mouridisme, selon un bilan provisoire de la Police nationale.
Ce chiffre a été communiqué par Abdoulaye Diop, directeur de la sécurité publique, qui précise qu’il a nettement baissé par rapport aux années précédentes.
"Au niveau de la circulation, il y a eu des accidents certes, mais le nombre n’est pas tellement grand parce que les autres années la courbe était beaucoup plus exponentielle", a-t-il dit au cours d’un point de presse.
Selon lui, cette année, "la situation a été maîtrisée", en dépit du fait qu’"il y a eu des morts d’homme un peu partout à travers le pays". Il a précisé qu’"il y a eu 51 accidents dont 8 corporels, 41 matériels et 2 mortels".
"La circulation a été très bien gérée à Touba, ses abords immédiats et sa zone d’influence directe, dans les zones accidentogènes pour éviter les nombreux morts", s’est-il félicité.
Au regard des chiffres relevés cette année, le directeur de la sécurité publique tire un bilan d’étape "satisfaisant en matière de sécurité par rapport aux années précédentes".
Selon lui, la Police nationale a pu réussir cette mission grâce à la collaboration établie avec la population dans les différents secteurs de la ville.
"On a pu, au niveau des quartiers de Touba, établir des passerelles de communication entre la police et les populations, en mettant en place des postes de police avancés, qui ont pour but d’être aux devants des attentes des populations afin de répondre pleinement à la demande sociale de sécurité et rapprocher également la police de la population", a-t-il expliqué.
Ce dispositif sécuritaire a été renforcé au niveau des différents services et "principalement au niveau des mausolées et des domiciles des marabouts, au niveau également de la circulation des personnes et des biens", selon le directeur de la sécurité publique.
Il a ajouté : "On a mis en place un dispositif assez conséquent qui a pu canaliser les foules, les orienter, créer également des files d‘attentes au niveau des grands lieux de rassemblement publics, pour éviter qu’il y ait des désagréments".
Ce chiffre a été communiqué par Abdoulaye Diop, directeur de la sécurité publique, qui précise qu’il a nettement baissé par rapport aux années précédentes.
"Au niveau de la circulation, il y a eu des accidents certes, mais le nombre n’est pas tellement grand parce que les autres années la courbe était beaucoup plus exponentielle", a-t-il dit au cours d’un point de presse.
Selon lui, cette année, "la situation a été maîtrisée", en dépit du fait qu’"il y a eu des morts d’homme un peu partout à travers le pays". Il a précisé qu’"il y a eu 51 accidents dont 8 corporels, 41 matériels et 2 mortels".
"La circulation a été très bien gérée à Touba, ses abords immédiats et sa zone d’influence directe, dans les zones accidentogènes pour éviter les nombreux morts", s’est-il félicité.
Au regard des chiffres relevés cette année, le directeur de la sécurité publique tire un bilan d’étape "satisfaisant en matière de sécurité par rapport aux années précédentes".
Selon lui, la Police nationale a pu réussir cette mission grâce à la collaboration établie avec la population dans les différents secteurs de la ville.
"On a pu, au niveau des quartiers de Touba, établir des passerelles de communication entre la police et les populations, en mettant en place des postes de police avancés, qui ont pour but d’être aux devants des attentes des populations afin de répondre pleinement à la demande sociale de sécurité et rapprocher également la police de la population", a-t-il expliqué.
Ce dispositif sécuritaire a été renforcé au niveau des différents services et "principalement au niveau des mausolées et des domiciles des marabouts, au niveau également de la circulation des personnes et des biens", selon le directeur de la sécurité publique.
Il a ajouté : "On a mis en place un dispositif assez conséquent qui a pu canaliser les foules, les orienter, créer également des files d‘attentes au niveau des grands lieux de rassemblement publics, pour éviter qu’il y ait des désagréments".