Si, d'aventure, Macky Sall était élu, les Sénégalais s'en mordraient les doigts très peu de temps après. Non seulement le chômage atteindrait des sommets, mais encore la famine, ce fléau qui prive l'être humain de toute dignité, ferait probablement son apparition dans le paysage sénégalais. Des enfants en nombre croissant n'iraient pas à l'école, car les enseignants ne percevraient pas régulièrement leurs salaires. D'autre part, tout ce qu'Abdoulaye Wade a construit s'effondrerait faute d’entretien et par malveillance. Les touristes éviteraient notre pays comme la peste. Les investisseurs ont déjà fait leurs valises ; ils n'attendent que l'annonce des résultats du second tour pour s'en aller si Macky Sall remplace Abdoulaye Wade. Le changement, c'est bien, mais avec qui ?
Macky Sall ne dit pas ce qu’il pense et tient encore moins parole. Sans charisme ni énergie, il s'est spécialisé dans la trahison, les coups bas. Dépourvu d'autorité, il ne sera jamais écouté par ses pairs étrangers. Il ne convaincra donc réellement aucun État de venir investir dans notre pays. Seule la France, d'avance, se frotte les mains ; Macky Sall sera son pantin, elle fera ce qu'elle voudra au détriment de nos intérêts.
À supposer qu’il soit élu, Macky Sall trouvera, bien entendu, de l'argent dans les caisses de l’État. Cependant, il sera vite confronté à la difficulté d’honorer ses promesses de campagne, sachant que le Sénégal ne crée pas de richesse. En conséquence, on ne mettra jamais assez en garde celles et ceux dont les salaires ont légitimement augmenté ces dernières années ; avec l’intronisation de qui vous savez, leur pouvoir d’achat risque de dégringoler à vue d’œil.
Voter Macky Sall, c'est voter pour tous ceux que les Sénégalais ont rejetés dès le premier tour : des leaders de l'opposition dont certains n'attendent que l'installation de leur protégé pour puiser à pleines mains dans le Trésor public. Méfions-nous de la bonne parole qu’ils sèment à tout vent ! Un menteur doublé d’un voleur a toujours le verbe facile et les propos mielleux ; ne tombons pas dans le panneau.
Qu'a fait Macky Sall dans la ville de Fatick ? Rien, disent les habitants. Toutes les infrastructures réalisées dans cette ville sont l’œuvre d'Abdoulaye Wade. Comment un maire qui, en trois ans, n’a pas su proposer de projets ni développer sa commune et l’administrer comme il se doit peut-il prétendre à la direction de tout un pays ?
Le 25 mars 2012, je voterai Abdoulaye Wade pour sa vision pour un Sénégal émergent. Ses réalisations en témoignent. Sa promesse de donner à notre pays le statut de « pays émergent » en 2015 sera la suite logique de ses réalisations. Que certains ne l’aiment pas se conçoit : nul ne peut être aimé de tous, seul compte le développement de notre pays. Les Sénégalais, dans leur majorité, l’ont compris et c’est pourquoi ils voteront pour celui qui répète inlassablement aux jeunes, pour leur insuffler la volonté, le courage, l’espoir et l’amour de la Patrie : « Travailler, encore travailler, toujours travailler, beaucoup travailler ! » Il n’ y a pas de raison, qu’au soir du second tour de scrutin, qu’Abdoulaye Wade ne revienne pas pour accomplir et parachever ce qu’il a entamé.
Macky Sall ne dit pas ce qu’il pense et tient encore moins parole. Sans charisme ni énergie, il s'est spécialisé dans la trahison, les coups bas. Dépourvu d'autorité, il ne sera jamais écouté par ses pairs étrangers. Il ne convaincra donc réellement aucun État de venir investir dans notre pays. Seule la France, d'avance, se frotte les mains ; Macky Sall sera son pantin, elle fera ce qu'elle voudra au détriment de nos intérêts.
À supposer qu’il soit élu, Macky Sall trouvera, bien entendu, de l'argent dans les caisses de l’État. Cependant, il sera vite confronté à la difficulté d’honorer ses promesses de campagne, sachant que le Sénégal ne crée pas de richesse. En conséquence, on ne mettra jamais assez en garde celles et ceux dont les salaires ont légitimement augmenté ces dernières années ; avec l’intronisation de qui vous savez, leur pouvoir d’achat risque de dégringoler à vue d’œil.
Voter Macky Sall, c'est voter pour tous ceux que les Sénégalais ont rejetés dès le premier tour : des leaders de l'opposition dont certains n'attendent que l'installation de leur protégé pour puiser à pleines mains dans le Trésor public. Méfions-nous de la bonne parole qu’ils sèment à tout vent ! Un menteur doublé d’un voleur a toujours le verbe facile et les propos mielleux ; ne tombons pas dans le panneau.
Qu'a fait Macky Sall dans la ville de Fatick ? Rien, disent les habitants. Toutes les infrastructures réalisées dans cette ville sont l’œuvre d'Abdoulaye Wade. Comment un maire qui, en trois ans, n’a pas su proposer de projets ni développer sa commune et l’administrer comme il se doit peut-il prétendre à la direction de tout un pays ?
Le 25 mars 2012, je voterai Abdoulaye Wade pour sa vision pour un Sénégal émergent. Ses réalisations en témoignent. Sa promesse de donner à notre pays le statut de « pays émergent » en 2015 sera la suite logique de ses réalisations. Que certains ne l’aiment pas se conçoit : nul ne peut être aimé de tous, seul compte le développement de notre pays. Les Sénégalais, dans leur majorité, l’ont compris et c’est pourquoi ils voteront pour celui qui répète inlassablement aux jeunes, pour leur insuffler la volonté, le courage, l’espoir et l’amour de la Patrie : « Travailler, encore travailler, toujours travailler, beaucoup travailler ! » Il n’ y a pas de raison, qu’au soir du second tour de scrutin, qu’Abdoulaye Wade ne revienne pas pour accomplir et parachever ce qu’il a entamé.