Tard dans la soirée, le tonitruant leader de "Leeral Askanwi" a joint Dakaractu afin, dit-il, "de faire part du cri du cœur d'un homme indigné par l'instrumentalisation de la justice." Invité à être explicite, Oumar Faye met en exergue à titre d'exemple, ce que d'aucuns appellent "le cas Karim Wade", allusion faite à l'arrêt rendu récemment par la Cour de Justice de la Cedeao.
A ses yeux, " en ces moments éprouvants pour le commun des Sénégalais, sans progrès notable", le régime est tenu de respecter le verdict rendu par la Cedeao, c'est à dire lever sans sourciller l'interdiction de sortie du territoire.
Qualifiant de forfaiture minutieusement orchestrée par des hommes au sommet de l'Etat, Oumar Faye de conclure pour asséner : "Macky Sall a fini d'instaurer une justice de haine et de revanche. Mais, il ne doit pas perdre de vue que son magistère n'est pas éternel. Il sera succédé par A ou B, et son successeur pourra lui rendre la monnaie de sa pièce". Non sans se poser la question de savoir qu'est-ce qui différencie le cas Wade fils à celui d'Idrissa Seck, accusé lui aussi, en son temps, d'enrichissement illicite? Une manière de dénoncer la procédure jusque-là empruntée...
A ses yeux, " en ces moments éprouvants pour le commun des Sénégalais, sans progrès notable", le régime est tenu de respecter le verdict rendu par la Cedeao, c'est à dire lever sans sourciller l'interdiction de sortie du territoire.
Qualifiant de forfaiture minutieusement orchestrée par des hommes au sommet de l'Etat, Oumar Faye de conclure pour asséner : "Macky Sall a fini d'instaurer une justice de haine et de revanche. Mais, il ne doit pas perdre de vue que son magistère n'est pas éternel. Il sera succédé par A ou B, et son successeur pourra lui rendre la monnaie de sa pièce". Non sans se poser la question de savoir qu'est-ce qui différencie le cas Wade fils à celui d'Idrissa Seck, accusé lui aussi, en son temps, d'enrichissement illicite? Une manière de dénoncer la procédure jusque-là empruntée...