Clôturant la cérémonie d’ouverture du dialogue national ouvert ce lundi 26 février 2024 au centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD), le président de la République a décliné les deux seuls points sur lesquels deux commissions vont s’épancher.
La première commission sera dirigée par le ministre de l’Intérieur et le directeur de la DGE. Cette commission va discuter sur la tenue de la présidentielle en tenant compte des fêtes religieuses.
L’autre énigme, c’est, dit-il « la reprise du processus ou la continuité de celle-ci. S’il y a concertation, la date du scrutin sera fixée » et l’autre commission va statuer sur la constitutionnalité du scrutin.
« Il y a des milliers de juristes au Sénégal. Sur ce point, s’il n’y a pas consensus, il reviendra au Conseil constitutionnel de trancher. Ma position est connue de tous, j’en ai assez. Trouver un consensus pour aller à une joute libre transparente. Il y a trop de surenchères malheureusement sans fondement » conclut le président de la République.
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