Les élections locales qui pointent à l’horizon aiguisent des appétits féroces. Aussi bien au niveau des chapelles politiques que des personnalités se réclamant de la société civile et des mouvements associatifs. Quoi de plus légitime pour tous ces aspirants à la magistrature locale dès lors que c’est un droit inaliénable sacralisé par la charte fondamentale ; pourvu que l’on remplisse les critères qui sied. Et partant, les différents prétendants à l’exécutif local devraient, un tant soit peu, être animés par une volonté exclusive de servir la localité. Ainsi, toute attitude contraire les disqualifierait à nourrir des ambitions locales. C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender, et à leur juste valeur, cette effervescence politico-médiatique qui a cours présentement au Sénégal. La Médina qui, du reste, est une collectivité locale n’est pas exempte de ce phénomène décrit supra. De par sa position et son histoire, à l’échelle régionale voire nationale, la Médina est l’une des collectivités locales les plus en vue au regard de l’intérêtqu’elle suscite auprès les partis politiques et des personnalités indépendantes. Depuis son érection en commune d’arrondissement découlant de l’Acte II sur la décentralisation en 1996, la Médina a connu trois maires. Notre grand-père, feu Ameth DIENE, qui, de par son entregent, fut l’artisan de la mise en œuvre des premières reformes contenues dans l’Acte II. En dépit de son appartenance au parti socialiste, sa gestion a été dépourvue d’esprits clanique et partisan à telle enseigne que ses administrés voyaient en lui non pas un maire mais un grand-père, un père, un ami et un collaborateur. Toutes ses actions étaient centrées sur le développement économique et social de sa localité et de populations médinoises ; nonobstant les maigres moyens dont disposait la commune au vu de l’étendue des missions qui lui sont dévolues. Pape Momar DIOP qui le succéda fut tristement célèbre, non pas par des actes consolidants mais de par son incompétence et son incurie dans la gestion d’une collectivité locale.Sa gestion était empreinte d’une partisannerie flagrante et d’un ostracisme sans commune mesure qui faisait qu’une frange très importante de la population médinoise se sentait exclue des affaires de la cité. Devant les attentes sans cesse formulées, la seule réponse des autorités municipales d’alors était soit l’inadéquation entre les ressources et les compétences dévolues à la Mairie ; soit d’un prétendu différend entre le Mairie Pape Momar DIOP et l’ancien maire de la ville de Dakar, Pape DIOP. Nul doute sur le déficit de moyens dont est confrontée la mairie de Médina ce qui est, en somme, une caractéristique fondamentale des collectivités locales du Sénégal. Soit, mais cela ne devrait, en aucune manière, être une limite pour, en définitive, reporter aux calendres grecques le développement socio-économique de nos localités. Cette conception fataliste de la situation montre, à suffisance, le manque d’ingéniosité, frein à la production de solutions alternatives, de l’équipe municipale dirigée par l’ancien maire Pape Momar DIOP. C’est en 2009 avec l’alternance survenue au niveau du conseil municipal de la Médina, et sous la houlette du maire Biram Sassoum SY, que les lignes de l’inertie ont commencé à bouger vers une prise en charge effective des attentes multiples et multiformes des médinoises et médinois. Jamais de mémoire de médinois, une équipe municipale n’a eu à faire des réalisations aussi colossales celles mise en œuvre par l’équipe municipale dirigée par le maire Biram Sassoum SY sous la coordination de son Adjoint Monsieur Bamba FALL. Ce dernier avec sa vision futuriste est entrain de doter notre chère localité d’infrastructures qui font que, aujourd’hui, nous sommes enviés par tous. A l’opposé des autres, le maire Bamba FALL, dans sa démarche altière, pose des actes qui font que son nom et ses réalisations seront, à jamais, inscrits dans les langues de la postérité. Un tour au complexe scolaire de Médina suffit comme argument de taille pour convaincre les plus sceptiques de l’effectivité des changements qui s’opèrent au niveau de la Médina. Le maire Bamba FALL, avec l’onction et les conseils avisés du maire Biram Sassoum SY et du conseil municipal, ne s’est pas contenté du fait que la mairie de Médina ne dispose pas de moyens pour entreprendre des projets innovants et structurants au bénéfice exclusif des populations médinoises ; et ceci dans une démarche participative dans laquelle les administrés sont conviés à donner leurs avis à travers les organisations communautaires de base que sont les groupement de femmes, les associations sportive et culturelle, les dignitaires et notables de la Médina. Et dire que, sous peu, la population médinoise va disposer d’un complexe avec un terrain avec un gazon synthétique, des terrains de basket, de handball, un jardin d’enfants gratuit, une maison des femmes, un foyer des jeunes avec toutes les commodités qui sied, etc…
Ces investissements dont les résultats sont, somme toute, probants procède d’une stratégie payante, initié par le maire Bamba FALL, basée sur une recherche de partenaires à même de financer des projets porteurs de plu value que le Budget de la commune ne saurait prendre en charge.
Mieux au plan social, les populations médinoises trouvent en la mairie le répondant idéal pour une prise en charge de leurs revendications sociales. Quid des ASC qui ont vu leurs subventions fortement doublées pour atteindre la somme de cinq cent mille francs CFA ; et ceci en dehors des sollicitations tous azimuts dont la mairie satisfait à l’endroit des structures associatives.
C’est en ce sens qu’il faut cerner toute la pertinence de ce cadre, mis en place par le Maire Bamba FALL, qu’est MEDINA NOUVELLE VISION. Cette structure, qui accompagne le maire Bamba FALL dans le sens de vulgariser les réalisations de la mairie, transcende nos appartenances idéologiques, religieuses et sociologiques pour ne faire prévaloir que les intérêts et le développement de la Médina. Et pour cela tous les fils et toutes les filles de la Médina, soucieux de leur cadre de vie, vont s’impliquer, de façon résolue, à la pérennisation des actes constructeurs d’un développement économique et social harmonieux. C’est à ce titre que nous ne cessions de lancer un appel vibrant à l’attention de toute la population médinoise à rejoindre ce cadre pour qu’ensemble, aux côtés du maire Bamba FALL, nous relevions les différents défis qui interpellent la Médina ; sans quoi nous risquons de trahir notre passé, d’hypothéquer notre présent et, enfin, d’assombrir notre futur. Dès lors tout autre comportement relèverait de reflexes rétrogrades, inhibitrices, et est, par conséquent, source de contre-performances. Que les partisans de cette aventure sans lendemain sachent que leur tentative sera vaine dans la mesure où ils trouveront devant eux des hommes et femmes imbus de valeurs cardinales et animés par le désir de servir uniquement la Médina. Qu’à cela ne tienne, les pourfendeurs de cette politique gagnante, piloté par le maire Bamba FALL, risquent d’avoir des surprises inimaginables car la frange la plus significative de la population médinoise demeure acquise à la philosophie prônée parMédina Nouvelle Vision. Pire dans leur entreprise malsaine, ces derniers usent de la diabolisation, de la fourberie et du mensonge pour se donner un semblant d’existence alors qu’en réalité ils ne pèsent pas plus que le poids de l’aile d’une mouche sur l’échiquier politique médinois car ne disposant ni la légitimité politique nil’encrage sociologique les critères fondamentaux, à notre humble avis, pour prétendre à une fonction élective.
In fine, nous espérons qu’à travers cette contribution jaillira un débat contradictoire fructueux, dépourvue de passion et porteur d’idées nouvelles dans l’unique but de permettre à notre chère cité d’emprunter les ascenseurs du développement socio-économique au grand bénéfice des médinoises et médinois comme nous y convie le maire Bamba FALL.
SOULEYMANE DIAGNE
Médina, rue 31 x 22
Ces investissements dont les résultats sont, somme toute, probants procède d’une stratégie payante, initié par le maire Bamba FALL, basée sur une recherche de partenaires à même de financer des projets porteurs de plu value que le Budget de la commune ne saurait prendre en charge.
Mieux au plan social, les populations médinoises trouvent en la mairie le répondant idéal pour une prise en charge de leurs revendications sociales. Quid des ASC qui ont vu leurs subventions fortement doublées pour atteindre la somme de cinq cent mille francs CFA ; et ceci en dehors des sollicitations tous azimuts dont la mairie satisfait à l’endroit des structures associatives.
C’est en ce sens qu’il faut cerner toute la pertinence de ce cadre, mis en place par le Maire Bamba FALL, qu’est MEDINA NOUVELLE VISION. Cette structure, qui accompagne le maire Bamba FALL dans le sens de vulgariser les réalisations de la mairie, transcende nos appartenances idéologiques, religieuses et sociologiques pour ne faire prévaloir que les intérêts et le développement de la Médina. Et pour cela tous les fils et toutes les filles de la Médina, soucieux de leur cadre de vie, vont s’impliquer, de façon résolue, à la pérennisation des actes constructeurs d’un développement économique et social harmonieux. C’est à ce titre que nous ne cessions de lancer un appel vibrant à l’attention de toute la population médinoise à rejoindre ce cadre pour qu’ensemble, aux côtés du maire Bamba FALL, nous relevions les différents défis qui interpellent la Médina ; sans quoi nous risquons de trahir notre passé, d’hypothéquer notre présent et, enfin, d’assombrir notre futur. Dès lors tout autre comportement relèverait de reflexes rétrogrades, inhibitrices, et est, par conséquent, source de contre-performances. Que les partisans de cette aventure sans lendemain sachent que leur tentative sera vaine dans la mesure où ils trouveront devant eux des hommes et femmes imbus de valeurs cardinales et animés par le désir de servir uniquement la Médina. Qu’à cela ne tienne, les pourfendeurs de cette politique gagnante, piloté par le maire Bamba FALL, risquent d’avoir des surprises inimaginables car la frange la plus significative de la population médinoise demeure acquise à la philosophie prônée parMédina Nouvelle Vision. Pire dans leur entreprise malsaine, ces derniers usent de la diabolisation, de la fourberie et du mensonge pour se donner un semblant d’existence alors qu’en réalité ils ne pèsent pas plus que le poids de l’aile d’une mouche sur l’échiquier politique médinois car ne disposant ni la légitimité politique nil’encrage sociologique les critères fondamentaux, à notre humble avis, pour prétendre à une fonction élective.
In fine, nous espérons qu’à travers cette contribution jaillira un débat contradictoire fructueux, dépourvue de passion et porteur d’idées nouvelles dans l’unique but de permettre à notre chère cité d’emprunter les ascenseurs du développement socio-économique au grand bénéfice des médinoises et médinois comme nous y convie le maire Bamba FALL.
SOULEYMANE DIAGNE
Médina, rue 31 x 22
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