DAKARACTU.COM - Avant même que le limogeage de Abdoulaye Niang de son poste de Directeur Général de la Police Nationale n'ait été prononcé, il nous revient de sources proches des limiers que l'Inspection des Services de Sécurité du ministère de l'Intérieur avait déjà mis sur pied une commission d'enquête dans laquelle tous les corps de la Police (commissaires, officiers, sous officiers et agents) seraient représentés.
Ce tribunal interne de la police permettra au Commissaire Cheikhna Keïta de bénéficier, s'il le souhaite, de l'aide d'un conseil ou d'un membre de la police. Et ce sera à l'issue de son verdict, qu'une commission de discipline chargée de se prononcer sur la peine à infliger au mis en cause (peine pouvant aller de la radiation au blâme, en passant par la suspension ou la rétrogradation), que Cheikhna Keïta sera édifié sur son sort.
Cependant, pour une bonne synergie des enquêtes administrative et pénale, l'autorité judiciaire a levé tous les goulots d'étranglement qui pourraient entraver l'enquête, au vu du statut du commissaire Keïta, qui est un OPJ dont la qualité n'a pas encore été frappée de nullité ou de suspension.
Les mesures conservatoires prises à son encontre, telles son interdiction de sortie du territoire national requise par le Parquet Général suivent la logique judiciaire et la Direction de la Police Judiciaire qui a bénéficié du Soit Transmis du Parquet, l'a par message écrit et porté, notifié à tous les services de la Direction de la Police de l'Air et des Frontières.
Dans cette enquête, le Parquet cherchera le bien fondé des accusations publiques portées contre deux Commissaires de Police et bien d'autres agents.
Pour le moment, Cheikhna Keïta bénéficie de tous ses privilèges de commissaire de police et peut s'afficher en public avec tous ses attributs apparents comme l'uniforme, l'insigne, les galons et son arme de service qui fait partie de la dotation de tout agent de la force publique.
Les plaintes annoncées et qui émaneraient des deux ex DGPN, Codé M'bengue et Abdoulaye Niang contre Cheikhna Keïta et ses complices, peuvent peser lourd sur la balance. C'est pourquoi, des bonnes volontés s'activent depuis lors, pour dissuader les premiers cités d'ester en justice, afin d'éviter un déballage dont l'état ne se relèverait pas de sitôt...
Ce tribunal interne de la police permettra au Commissaire Cheikhna Keïta de bénéficier, s'il le souhaite, de l'aide d'un conseil ou d'un membre de la police. Et ce sera à l'issue de son verdict, qu'une commission de discipline chargée de se prononcer sur la peine à infliger au mis en cause (peine pouvant aller de la radiation au blâme, en passant par la suspension ou la rétrogradation), que Cheikhna Keïta sera édifié sur son sort.
Cependant, pour une bonne synergie des enquêtes administrative et pénale, l'autorité judiciaire a levé tous les goulots d'étranglement qui pourraient entraver l'enquête, au vu du statut du commissaire Keïta, qui est un OPJ dont la qualité n'a pas encore été frappée de nullité ou de suspension.
Les mesures conservatoires prises à son encontre, telles son interdiction de sortie du territoire national requise par le Parquet Général suivent la logique judiciaire et la Direction de la Police Judiciaire qui a bénéficié du Soit Transmis du Parquet, l'a par message écrit et porté, notifié à tous les services de la Direction de la Police de l'Air et des Frontières.
Dans cette enquête, le Parquet cherchera le bien fondé des accusations publiques portées contre deux Commissaires de Police et bien d'autres agents.
Pour le moment, Cheikhna Keïta bénéficie de tous ses privilèges de commissaire de police et peut s'afficher en public avec tous ses attributs apparents comme l'uniforme, l'insigne, les galons et son arme de service qui fait partie de la dotation de tout agent de la force publique.
Les plaintes annoncées et qui émaneraient des deux ex DGPN, Codé M'bengue et Abdoulaye Niang contre Cheikhna Keïta et ses complices, peuvent peser lourd sur la balance. C'est pourquoi, des bonnes volontés s'activent depuis lors, pour dissuader les premiers cités d'ester en justice, afin d'éviter un déballage dont l'état ne se relèverait pas de sitôt...