Le ministre sénégalais de l’Intérieur, Ousmane Ngom, a annoncé mardi soir des mesures pour garantir l’exercice de la liberté du travail des citoyens, à la veille du mouvement d’humeur de certains transporteurs routiers et chauffeurs, tout en mettant en garde les piquets de grève.
‘’L’Etat du Sénégal mettra en œuvre toutes les mesures appropriées pour garantir l’exercice pour tous les citoyens de la liberté du travail (…) par les services de sécurité, police et gendarmerie, (…) sur l’ensemble du territoire national (…)’’, rapporte un communiqué transmis à l’APS.
‘’Toute personne qui tentera de mettre une entrave à l’exercice de la liberté du travail ou commettra toute autre infraction s’exposera aux sanctions prévues par les lois et règlements en vigueur’’, selon le texte qui désigne ‘’ceux qui exercent leur droit de grève’’.
Certaines organisations syndicales du secteur du transport routier envisagent à partir de mercredi une nouvelle grève des transports routiers de 72 heures, à cause de la cherté du carburant.
Depuis samedi, le prix du gasoil est passé de 824 francs CFA à 798 FCFA soit une baisse de 26 F, le supercarburant de 858 F à 850 F et l’essence ordinaire (814 F contre 820).
Les routiers continuent de protester contre la cherté des prix du carburant et "les tracasseries policières" qu’ils rencontrent dans leur activité.
Mais, d’autres syndicats de transport ont décidé de reporter leur mot d’ordre au-delà du Maouloud (4 février), suivant le souhait du Khalife général des tidjanes, Serigne Mansour Sy.
‘’J’invite les transporteurs à surseoir à ce mot d’ordre de grève, pour permettre aux fideles d’aller accomplir leurs rites religieux’’, a dit son porte-parole, Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine, lors d’une réunion de préparation du Maouloud.
Cette fête commémore la naissance du prophète Mouhamed (PSL). Au Sénégal, la prochaine édition aura lieu le 4 février, notamment à Tivaouane et à Kaolack.
Le 3 janvier dernier, le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal, affilié à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS), suspendait son mot d’ordre de grève de 48 heures de grève, à l’issue d’une rencontre avec ministre délégué chargé de l’Energie, Ibrahima Sar.
Dans les 12 revendications de ces travailleurs figurent notamment la baisse des prix du carburant et la fin des "tracasseries policières" et "contrôles intempestifs".
Le Premier ministre avait chargé une commission pilotée par le ministère de l’Energie de discuter de la baisse des prix du carburant avec les transporteurs et chauffeurs.
Le syndicat observait une grève qui a paralysé le transport dans la quasi-totalité des 14 régions du pays. Le ministre de l’Energie avait annoncé la mise en place d’une commission chargée d’examiner la question de la baisse des prix du carburant.
‘’L’Etat du Sénégal mettra en œuvre toutes les mesures appropriées pour garantir l’exercice pour tous les citoyens de la liberté du travail (…) par les services de sécurité, police et gendarmerie, (…) sur l’ensemble du territoire national (…)’’, rapporte un communiqué transmis à l’APS.
‘’Toute personne qui tentera de mettre une entrave à l’exercice de la liberté du travail ou commettra toute autre infraction s’exposera aux sanctions prévues par les lois et règlements en vigueur’’, selon le texte qui désigne ‘’ceux qui exercent leur droit de grève’’.
Certaines organisations syndicales du secteur du transport routier envisagent à partir de mercredi une nouvelle grève des transports routiers de 72 heures, à cause de la cherté du carburant.
Depuis samedi, le prix du gasoil est passé de 824 francs CFA à 798 FCFA soit une baisse de 26 F, le supercarburant de 858 F à 850 F et l’essence ordinaire (814 F contre 820).
Les routiers continuent de protester contre la cherté des prix du carburant et "les tracasseries policières" qu’ils rencontrent dans leur activité.
Mais, d’autres syndicats de transport ont décidé de reporter leur mot d’ordre au-delà du Maouloud (4 février), suivant le souhait du Khalife général des tidjanes, Serigne Mansour Sy.
‘’J’invite les transporteurs à surseoir à ce mot d’ordre de grève, pour permettre aux fideles d’aller accomplir leurs rites religieux’’, a dit son porte-parole, Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine, lors d’une réunion de préparation du Maouloud.
Cette fête commémore la naissance du prophète Mouhamed (PSL). Au Sénégal, la prochaine édition aura lieu le 4 février, notamment à Tivaouane et à Kaolack.
Le 3 janvier dernier, le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal, affilié à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS), suspendait son mot d’ordre de grève de 48 heures de grève, à l’issue d’une rencontre avec ministre délégué chargé de l’Energie, Ibrahima Sar.
Dans les 12 revendications de ces travailleurs figurent notamment la baisse des prix du carburant et la fin des "tracasseries policières" et "contrôles intempestifs".
Le Premier ministre avait chargé une commission pilotée par le ministère de l’Energie de discuter de la baisse des prix du carburant avec les transporteurs et chauffeurs.
Le syndicat observait une grève qui a paralysé le transport dans la quasi-totalité des 14 régions du pays. Le ministre de l’Energie avait annoncé la mise en place d’une commission chargée d’examiner la question de la baisse des prix du carburant.
Autres articles
-
Frontière entre le Sénégal et le Mali : « Nous avons reçu les premières informations liées à la restriction vendredi. La mesure a été suspendue hier" (Mamadou L. Bane, membre du secrétariat exécutif du Haut Conseil des Maliens de l'extérieur)
-
Affaire Jérôme Bandiaky – délégation judiciaire : Papis Ka placé sous mandat de dépôt.
-
15e législature : la première session plénière ouverte ce lundi 02 décembre 2024 (communiqué)
-
Tribunal de Dakar : Moustapha Diakhaté condamné à deux mois de prison ferme
-
Affaire West African Energy : Samuel Sarr placé sous mandat de dépôt