Le Sénégal doit redevenir ce fleuron de la liberté de la presse qu’il était depuis longtemps. C’est l’avis du journaliste Sadibou Marong qui a assisté à la publication du rapport de Reporters Sans Frontières (RSF) sur la situation de la liberté de la presse dans le monde. Sur 180 pays et territoires dans le monde, le Sénégal quitte la 104e place et gagne 10 places (94e) en 2024. Mais cette hausse peut être considérée comme « un trompe-l’œil ». Selon le directeur du bureau régional de RSF, des difficultés demeurent.
Le score est toutefois problématique. En effet, le rang augmente, mais le score diminue. Le pays se rapproche dangereusement des 55% notamment en termes d’insécurité des journalistes. Avec les indicateurs de sécurité qui sont toujours présents notamment en ce qui concerne les attaques contre les journalistes, les menaces, emprisonnements (du 1er janvier au 31 décembre), Reporters Sans Frontières estime que le travail pour tendre vers une liberté de la presse encadrée, demeure entier.
Les problèmes de sécurité sont restés les mêmes depuis 2021, selon RSF estimant qu’à partir de cette date, le Sénégal a commencé à prendre la descente en frôlant les 73%. « 13 places perdues en rang de sécurité » selon le directeur du bureau régional de RSF. Le président de la république Bassirou Diomaye Faye est interpellé sur ces questions notamment la mise en place d’un dispositif national de sécurité des journalistes ainsi que sur l’environnement économique dans les médias.
Le score est toutefois problématique. En effet, le rang augmente, mais le score diminue. Le pays se rapproche dangereusement des 55% notamment en termes d’insécurité des journalistes. Avec les indicateurs de sécurité qui sont toujours présents notamment en ce qui concerne les attaques contre les journalistes, les menaces, emprisonnements (du 1er janvier au 31 décembre), Reporters Sans Frontières estime que le travail pour tendre vers une liberté de la presse encadrée, demeure entier.
Les problèmes de sécurité sont restés les mêmes depuis 2021, selon RSF estimant qu’à partir de cette date, le Sénégal a commencé à prendre la descente en frôlant les 73%. « 13 places perdues en rang de sécurité » selon le directeur du bureau régional de RSF. Le président de la république Bassirou Diomaye Faye est interpellé sur ces questions notamment la mise en place d’un dispositif national de sécurité des journalistes ainsi que sur l’environnement économique dans les médias.