L’arrestation de Maïmouna Ndour Faye, directrice de 7TV, et de Babacar Fall, directeur de la rédaction de RFM, continue de provoquer une onde de choc au sein de la classe politique et médiatique. Dans un communiqué au ton particulièrement ferme publié ce mardi 29 octobre, La République des Valeurs / Réewum Ngor a fustigé ce qu’elle qualifie de « dérive autoritaire » du régime en place, dirigé par le parti PASTEF.
Selon la formation de Thierno Alassane Sall, ces interpellations symbolisent « le vrai visage du régime », accusé de redouter la contradiction et de « piétiner la liberté ». Pour la République des Valeurs, le pouvoir en place aurait franchi un cap dangereux dans sa gestion des médias : « Après l’asphyxie économique, voici venue l’ère de l’intimidation, de la peur et de la criminalisation du droit d’informer », déplore le communiqué.
Le parti dénonce un climat de répression ciblée contre la presse indépendante, pendant que « les médias inféodés au pouvoir prospèrent, relayant la propagande officielle à coups de chroniqueurs et d’influenceurs stipendiés ».
Plus qu’un simple différend entre l’État et la presse, la République des Valeurs y voit une menace directe contre la démocratie sénégalaise :
« Ce qui se joue aujourd’hui dépasse la seule question de la presse : c’est la démocratie elle-même qui est en danger. »
Face à ce qu’elle considère comme une atteinte grave aux libertés publiques, la formation politique appelle « tous les démocrates à se lever » pour défendre les droits chèrement acquis.
« Se taire aujourd’hui, c’est cautionner la répression de demain », avertit le communiqué.
En conclusion, la République des Valeurs exige la libération immédiate de Maïmouna Ndour Faye et de Babacar Fall, rappelant que « la liberté de la presse n’est pas un privilège, mais un droit fondamental, le socle de toute démocratie véritable ».
Selon la formation de Thierno Alassane Sall, ces interpellations symbolisent « le vrai visage du régime », accusé de redouter la contradiction et de « piétiner la liberté ». Pour la République des Valeurs, le pouvoir en place aurait franchi un cap dangereux dans sa gestion des médias : « Après l’asphyxie économique, voici venue l’ère de l’intimidation, de la peur et de la criminalisation du droit d’informer », déplore le communiqué.
Le parti dénonce un climat de répression ciblée contre la presse indépendante, pendant que « les médias inféodés au pouvoir prospèrent, relayant la propagande officielle à coups de chroniqueurs et d’influenceurs stipendiés ».
Plus qu’un simple différend entre l’État et la presse, la République des Valeurs y voit une menace directe contre la démocratie sénégalaise :
« Ce qui se joue aujourd’hui dépasse la seule question de la presse : c’est la démocratie elle-même qui est en danger. »
Face à ce qu’elle considère comme une atteinte grave aux libertés publiques, la formation politique appelle « tous les démocrates à se lever » pour défendre les droits chèrement acquis.
« Se taire aujourd’hui, c’est cautionner la répression de demain », avertit le communiqué.
En conclusion, la République des Valeurs exige la libération immédiate de Maïmouna Ndour Faye et de Babacar Fall, rappelant que « la liberté de la presse n’est pas un privilège, mais un droit fondamental, le socle de toute démocratie véritable ».
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