"Je suis heureux et assume totalement mon combat pour une amnistie générale, le seul moyen, à mon sens, de procéder à la libération des détenus tout en restaurant l'organisation Pastef dans ses Droits", a réagi Souleymane Jules Diop, suite à la libération de Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye.
Ainsi souligne le journaliste proche du camp présidentiel, "j'ai été le premier en juin à parler d'amnistie générale. Je suis heureux que cela aboutisse. Maintenant il faut aller plus loin, il faut rétablir Sonko et Karim dans leurs droits. C'est ce que je pense. C'est l'idéal pour moi".
De l'avis de SJD,"il vaut mieux avoir des présumés coupables en liberté plutôt que des innocents en prison. Celui qui doit présider le Sénégal, c'est aux sénégalais d'en décider. Voilà pourquoi j'assume qu'une procédure achevée, celle idéale, serait celle qui permette à Ousmane Sonko et à Karim Meissa Wade de participer à la compétition valablement, parce qu'ils en ont le droit. Les Lois qui nous gouvernent sont celles des hommes. Elles sont susceptibles d'évoluer dans l'espace et dans le temps. Le genre humain lui-même n'est pas éternel. Parler donc de clause d'éternité est en soi un non-sens", a analysé le délégué permanent du Sénégal à l'Unesco.
A en croire Souleymane Jules Diop, " refuser à des hommes un droit qui leur est acquis, refuser aux sénégalais le droit de choisir celui qui auraient aimé comme Président en la circonstance, est en soi plus grave que la mise en parenthèse provisoire des dogmes que nous cherchons à sanctuariser", a-t-il indiqué.
"Tout le monde a erré, mais qui plus que les membres du Conseil constitutionnel ?", s'interroge SJD qui semble émettre des doutes sur cette institution.
Ainsi souligne le journaliste proche du camp présidentiel, "j'ai été le premier en juin à parler d'amnistie générale. Je suis heureux que cela aboutisse. Maintenant il faut aller plus loin, il faut rétablir Sonko et Karim dans leurs droits. C'est ce que je pense. C'est l'idéal pour moi".
De l'avis de SJD,"il vaut mieux avoir des présumés coupables en liberté plutôt que des innocents en prison. Celui qui doit présider le Sénégal, c'est aux sénégalais d'en décider. Voilà pourquoi j'assume qu'une procédure achevée, celle idéale, serait celle qui permette à Ousmane Sonko et à Karim Meissa Wade de participer à la compétition valablement, parce qu'ils en ont le droit. Les Lois qui nous gouvernent sont celles des hommes. Elles sont susceptibles d'évoluer dans l'espace et dans le temps. Le genre humain lui-même n'est pas éternel. Parler donc de clause d'éternité est en soi un non-sens", a analysé le délégué permanent du Sénégal à l'Unesco.
A en croire Souleymane Jules Diop, " refuser à des hommes un droit qui leur est acquis, refuser aux sénégalais le droit de choisir celui qui auraient aimé comme Président en la circonstance, est en soi plus grave que la mise en parenthèse provisoire des dogmes que nous cherchons à sanctuariser", a-t-il indiqué.
"Tout le monde a erré, mais qui plus que les membres du Conseil constitutionnel ?", s'interroge SJD qui semble émettre des doutes sur cette institution.
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