L'Iran a annoncé vendredi avoir retrouvé le corps du général Abbas Nilforoushan, tué au Liban par Israël fin septembre avec le dirigeant du Hezbollah libanais pro-iranien Hassan Nasrallah.
"Le corps du martyr Abbas Nilforoushan a été retrouvé grâce à des efforts continus", ont annoncé dans un communiqué les Gardiens de la Révolution, armée idéologique de l'Iran, précisant que la date du rapatriement du corps et des funérailles seront annoncées ultérieurement.
Abbas Nilforoushan, l'un des principaux commandants de la Force Qods, l'unité d'élite des Gardiens de la Révolution, avait été tué le 27 septembre dans la banlieue sud de Beyrouth avec Nasrallah par une frappe israélienne.
Le 1er octobre, les Gardiens de la Révolution avaient indiqué que les tirs iraniens de quelque 200 missiles sur Israël le 1er octobre était une mesure de représailles après l'assassinat de Nilforoushan, Nasrallah et du dirigeant du Hamas palestinien, Ismaïl Haniyeh, tué en juillet.
Israël a depuis juré de riposter. Le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, a assuré que l'attaque serait "mortelle, précise et surprenante", ce à quoi Téhéran répond être "prêt".
"Le corps du martyr Abbas Nilforoushan a été retrouvé grâce à des efforts continus", ont annoncé dans un communiqué les Gardiens de la Révolution, armée idéologique de l'Iran, précisant que la date du rapatriement du corps et des funérailles seront annoncées ultérieurement.
Abbas Nilforoushan, l'un des principaux commandants de la Force Qods, l'unité d'élite des Gardiens de la Révolution, avait été tué le 27 septembre dans la banlieue sud de Beyrouth avec Nasrallah par une frappe israélienne.
Le 1er octobre, les Gardiens de la Révolution avaient indiqué que les tirs iraniens de quelque 200 missiles sur Israël le 1er octobre était une mesure de représailles après l'assassinat de Nilforoushan, Nasrallah et du dirigeant du Hamas palestinien, Ismaïl Haniyeh, tué en juillet.
Israël a depuis juré de riposter. Le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, a assuré que l'attaque serait "mortelle, précise et surprenante", ce à quoi Téhéran répond être "prêt".