Je me suis à posé plusieurs reprises la question de l’opportunité d’écrire ce texte. Mais il est devenu nécessaire à l’heure actuelle d’éclairer beaucoup sur mes convictions.
L’année 2011 fût décisive d’autant pour ces printemps des peuples mais aussi pour mon engagement politique. En effet au contact des écrits, œuvres et biographies de ces héros noirs tel que Matin Luther King et Malcom X. j’ai compris que l’un des plus douloureux maux qu’à connu le monde moderne à savoir la ségrégation raciale a été vaincu grâce aux sacrifices et engagements d’hommes et de femmes qui ont compris qu’il y’avait plus important que le luxe de préserver leurs vies alors que l’injustice faisait désordre.
Mon militantisme au Rewmi fut guidé par la certitude que seule la politique sous nos tropiques permet d’agir efficacement dans le réel. Mais il me faut préciser que mon choix pour le parti dirigé par Idrissa Seck résultat de facteur certes émotionnel mais surtout idéologique car guidé par mes conviction libérales et que seul deux formations politiques s’offraient à mon désire militant : le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et le Rewmi que j’ai choisi. Contestant en son temps la validité d’une probable candidature de Wade ; j’ai décidé de me battre pour rétablir ce rêve de changement pour laquelle mon père et d’autres comme lui ce sont toujours battu. Au cours de ce combat pour la démocratie et la défense de la Constitution j’ai appris à connaitre un peu plus un homme d’une grande dimension intellectuelle pour qui la patrie, le Sénégal est la préoccupation majeure. Je le cite :
- Je veux que chacun de mes pas soit mesuré à l’aune de l’intérêt national du Sénégal. Ceci est inscrit dès l’hors en lettre d’or dans mon fort intérieur ; m’induis à guider mes actions dans le seul but de servir. (car servir étant le grade le plus élevé de la seigneurie).
Lorsque la candidature de Wade, une forfaiture, fut validée par le conseil constitutionnel vous avez dans cette constance légendaire qui vous caractérise décidé de ne battre campagne si Wade le candidat inconstitutionnel devait prendre part aux joutes électorales. Au contraire de la majorité des candidats dont l’actuel président qui a préféré se plier à un supposé «ndigel» et trahir le M23. Et vous aviez posé la question
- Comment peut-on vouloir s’occuper des problèmes sociaux des sénégalais si la charte fondamentale du pays est violée ?
En mettant entre parenthèse votre propre campagne (même avec la venue de Léna Sène) pour défendre la constitution vous m’avez conforté dans mes convictions vous êtes un leader et le Président qu’il faut pour le Sénégal.
Dans l’entre deux tours votre leçon de grandeur, de patriotisme à l’égard de cela qui avait théorisé contre vous le fameux et ignoble – coup d’état rampant – me reviens encore en mémoire.
- La vie d’un homme, même d’état est d’une insignifiance à l’égard du destin d’un peuple.
Vous appelez à voter pour Macky SALL.
Mais Monsieur Le Président pour l’intérêt national du Sénégal, je croix profondément que notre compagnonnage avec Benno Bock Yakaar est à mettre dans l’ordre du passé. Un devoir d’ingratitude pour éviter un sens unique dangereux pour la démocratie du Sénégal.
FAM – Ibrahima
Rewmi Keur Massar
L’année 2011 fût décisive d’autant pour ces printemps des peuples mais aussi pour mon engagement politique. En effet au contact des écrits, œuvres et biographies de ces héros noirs tel que Matin Luther King et Malcom X. j’ai compris que l’un des plus douloureux maux qu’à connu le monde moderne à savoir la ségrégation raciale a été vaincu grâce aux sacrifices et engagements d’hommes et de femmes qui ont compris qu’il y’avait plus important que le luxe de préserver leurs vies alors que l’injustice faisait désordre.
Mon militantisme au Rewmi fut guidé par la certitude que seule la politique sous nos tropiques permet d’agir efficacement dans le réel. Mais il me faut préciser que mon choix pour le parti dirigé par Idrissa Seck résultat de facteur certes émotionnel mais surtout idéologique car guidé par mes conviction libérales et que seul deux formations politiques s’offraient à mon désire militant : le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et le Rewmi que j’ai choisi. Contestant en son temps la validité d’une probable candidature de Wade ; j’ai décidé de me battre pour rétablir ce rêve de changement pour laquelle mon père et d’autres comme lui ce sont toujours battu. Au cours de ce combat pour la démocratie et la défense de la Constitution j’ai appris à connaitre un peu plus un homme d’une grande dimension intellectuelle pour qui la patrie, le Sénégal est la préoccupation majeure. Je le cite :
- Je veux que chacun de mes pas soit mesuré à l’aune de l’intérêt national du Sénégal. Ceci est inscrit dès l’hors en lettre d’or dans mon fort intérieur ; m’induis à guider mes actions dans le seul but de servir. (car servir étant le grade le plus élevé de la seigneurie).
Lorsque la candidature de Wade, une forfaiture, fut validée par le conseil constitutionnel vous avez dans cette constance légendaire qui vous caractérise décidé de ne battre campagne si Wade le candidat inconstitutionnel devait prendre part aux joutes électorales. Au contraire de la majorité des candidats dont l’actuel président qui a préféré se plier à un supposé «ndigel» et trahir le M23. Et vous aviez posé la question
- Comment peut-on vouloir s’occuper des problèmes sociaux des sénégalais si la charte fondamentale du pays est violée ?
En mettant entre parenthèse votre propre campagne (même avec la venue de Léna Sène) pour défendre la constitution vous m’avez conforté dans mes convictions vous êtes un leader et le Président qu’il faut pour le Sénégal.
Dans l’entre deux tours votre leçon de grandeur, de patriotisme à l’égard de cela qui avait théorisé contre vous le fameux et ignoble – coup d’état rampant – me reviens encore en mémoire.
- La vie d’un homme, même d’état est d’une insignifiance à l’égard du destin d’un peuple.
Vous appelez à voter pour Macky SALL.
Mais Monsieur Le Président pour l’intérêt national du Sénégal, je croix profondément que notre compagnonnage avec Benno Bock Yakaar est à mettre dans l’ordre du passé. Un devoir d’ingratitude pour éviter un sens unique dangereux pour la démocratie du Sénégal.
FAM – Ibrahima
Rewmi Keur Massar