DAKARACTU.COM - Parce qu’il s’est senti lésé dans l’attribution des postes au sein de la nouvelle structure des cadres libéraux, Samba Ndiaye est allé tout droit vers le secrétaire général du PDS, Abdoulaye Wade, pour pleurer sur son sort. Et ce après avoir mené la résistance qui a été à l’origine du pugilat des cadres libéraux à Terroubi. «L’ancienne structure de cadres que je dirigeais, en l’occurrence la Clesopi, a été la plus lésée puisque, malgré les termes de l’accord du 09 mars, non seulement le poste de porte-parole qui m’était dévolu m’a été retiré au motif que je dirige un mouvement de soutien dénommé Aar Sopi», se plaint Samba Ndiaye. Avant de regretter que sur un nombre total de quatre vingt quatorze (94) postes, seuls 04 postes d’adjoints dans le bureau et 02 postes de rapporteurs dans les commissions ont été attribués à sa structure. Au même moment, dénonce le chef de Clesopi, «des structures quasi insignifiantes comme Agir pour Sopi, qui regroupe trois (03) membres connus, fait carton plein dans le bureau et à des postes stratégiques (1er Vice-président, Secrétaire général adjoint et Trésorier général)». Toutes ces «injustices», à en croire le maire de Ndoffane, n’obéissent pas à l’intelligence politique qui devrait prévaloir en cette période préélectorale. Réaffirmant sa détermination à œuvrer pour la victoire de Wade au premier tour le 27 février 2012, Samba Ndiaye estime que l’unité doit prévaloir pour la conservation du pouvoir.
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