C’est une autre façon de regarder le monde : la taille des pays en fonction de la part de leur population connectée à Internet.
En rouge vif, les pays à plus de 80% de population connectée : sans surprise, on retrouve l’Europe du Nord, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, le Canada et la Corée du Sud. La France appartient au deuxième groupe, entre 60 et 80%, tout comme les Etats-Unis.
Plus intéressant, observez le contraste entre la Chine et l’Inde, les deux pays à plus d’un milliard d’habitants chacun, mais qui n’ont pas mis le même effort d’équipement au numérique. La Chine est bien plus « grosse » que l’Inde selon ce critère. Bien plus énorme aussi que son autre voisine, la Russie.
Idem en Afrique, la partie centrale du continent est quasiment absente, et, au Maghreb, regardez les différences entre le Maroc, l’Algérie et la Tunisie : l’Algérie est minuscule comparée à ses deux voisins bien plus connectés.
La carte, signée par Mark Graham et Stefano De Sabbata, deux chercheurs de l’Oxford Internet Institute, est basée sur des chiffres de la Banque mondiale de 2011. A suivre avec les réactualisations, ce baromètre pertinent d’un outil de modernité.
En rouge vif, les pays à plus de 80% de population connectée : sans surprise, on retrouve l’Europe du Nord, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, le Canada et la Corée du Sud. La France appartient au deuxième groupe, entre 60 et 80%, tout comme les Etats-Unis.
Plus intéressant, observez le contraste entre la Chine et l’Inde, les deux pays à plus d’un milliard d’habitants chacun, mais qui n’ont pas mis le même effort d’équipement au numérique. La Chine est bien plus « grosse » que l’Inde selon ce critère. Bien plus énorme aussi que son autre voisine, la Russie.
Idem en Afrique, la partie centrale du continent est quasiment absente, et, au Maghreb, regardez les différences entre le Maroc, l’Algérie et la Tunisie : l’Algérie est minuscule comparée à ses deux voisins bien plus connectés.
La carte, signée par Mark Graham et Stefano De Sabbata, deux chercheurs de l’Oxford Internet Institute, est basée sur des chiffres de la Banque mondiale de 2011. A suivre avec les réactualisations, ce baromètre pertinent d’un outil de modernité.