Le sort en est jeté, Abdoulaye Wade à décidé contre l’avis de tous les constitutionnalistes de participer à l’élection présidentielle de 2012.Nos derniers espoirs, de le voir avoir un ultime sursaut de sagesse, se sont envolés.
Après le congrès du PDS, il ne fait plus l’ombre d’un doute, que Abdoulaye Wade à décidé de forcer illégalement le barrage constitutionnel qui se dresse devant lui.
Entendons nous bien, si le Pds prend le risque de la forclusion, c’est parce que le Président de la République à eu la garantie que sa candidature sera validée par le conseil constitutionnel.
Imaginer un scenario, dans lequel, le conseil constitutionnel rejette la candidature de Wade ce qui entrainerai de facto une non participation du pds à l’élection de 2012, c’est faire preuve d’une grande naïveté.
Les articles 27 et 104 de la constitution sont d’une clarté lumineuse, le nombre de mandat présidentiel au Sénégal est bloqué à deux, et Wade à déjà fait deux mandats. Il n’y a pas d’interprétation possible à ce niveau, et les constitutionnalistes sont unanimes la dessus. Lui même Abdoulaye Wade l’a dit, avant de se dédire bien sur. Par conséquent la mère des bataille dés le début pour l’opposition aurai été de s’opposer à tout dépôt de candidature de Abdoulaye Wade.
Le dépôt même de la candidature de Wade est en soi une violation de la constitution. Abdoulaye Wade ne devrai pas déposer sa candidature car la constitution lui interdit de participer au scrutin.
Ils allumeront des contre-feux médiatiques, créeront des événements de diversion, sèmeront la terreur (affaire Barthelemy Dias) , pour faire passer la candidature de Wade. La survie de son clan est plus importante à ses yeux que la stabilité du Sénégal.
Il est des moments en politique, où les mots n’ont plus d’impact pour arrêter le cours des événements. Quand arrive ce moment, ce qu’il faut faire, c’est se lever et agir.
Idrissa Seck l’a parfaitement compris et nous invite à un debout national. Aujourd’hui, c’est le seul moyen qui puisse nous permettre de faire face au monstre et de préserver notre commune volonté de vivre ensemble.
Laisser Abdoulaye Wade, avec la complicité du conseil constitutionnel, violer la constitution serai un précédent dangereux.
Pour notre génération et pour toutes les générations futures nous avons le devoir de se dresser pour préserver le respect de la constitution.
Nous sommes tous interpellés !
ABDOULAYE DJIGO
layemail80@gmail.com
Après le congrès du PDS, il ne fait plus l’ombre d’un doute, que Abdoulaye Wade à décidé de forcer illégalement le barrage constitutionnel qui se dresse devant lui.
Entendons nous bien, si le Pds prend le risque de la forclusion, c’est parce que le Président de la République à eu la garantie que sa candidature sera validée par le conseil constitutionnel.
Imaginer un scenario, dans lequel, le conseil constitutionnel rejette la candidature de Wade ce qui entrainerai de facto une non participation du pds à l’élection de 2012, c’est faire preuve d’une grande naïveté.
Les articles 27 et 104 de la constitution sont d’une clarté lumineuse, le nombre de mandat présidentiel au Sénégal est bloqué à deux, et Wade à déjà fait deux mandats. Il n’y a pas d’interprétation possible à ce niveau, et les constitutionnalistes sont unanimes la dessus. Lui même Abdoulaye Wade l’a dit, avant de se dédire bien sur. Par conséquent la mère des bataille dés le début pour l’opposition aurai été de s’opposer à tout dépôt de candidature de Abdoulaye Wade.
Le dépôt même de la candidature de Wade est en soi une violation de la constitution. Abdoulaye Wade ne devrai pas déposer sa candidature car la constitution lui interdit de participer au scrutin.
Ils allumeront des contre-feux médiatiques, créeront des événements de diversion, sèmeront la terreur (affaire Barthelemy Dias) , pour faire passer la candidature de Wade. La survie de son clan est plus importante à ses yeux que la stabilité du Sénégal.
Il est des moments en politique, où les mots n’ont plus d’impact pour arrêter le cours des événements. Quand arrive ce moment, ce qu’il faut faire, c’est se lever et agir.
Idrissa Seck l’a parfaitement compris et nous invite à un debout national. Aujourd’hui, c’est le seul moyen qui puisse nous permettre de faire face au monstre et de préserver notre commune volonté de vivre ensemble.
Laisser Abdoulaye Wade, avec la complicité du conseil constitutionnel, violer la constitution serai un précédent dangereux.
Pour notre génération et pour toutes les générations futures nous avons le devoir de se dresser pour préserver le respect de la constitution.
Nous sommes tous interpellés !
ABDOULAYE DJIGO
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