Les énergies renouvelables pourraient aider les pays en développement à sortir de la pauvreté énergétique, selon les conclusions d'un rapport de 150 pages publié mardi par la CNUCED (Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement).
Les technologies des énergies renouvelables (TER) sont beaucoup plus accessibles aujourd'hui, et les décideurs dans les pays en développement doivent tout faire pour les encourager afin qu'elles complètent, voire qu'elles remplacent les énergies conventionnelles, a déclaré au cours d'une conférence de presse Supachai Panitchpakdi, Secrétaire-général de la CNUCED.
Actuellement, dans le monde, 1,4 million de personnes n'ont pas l'électricité, et 85% d'entre elles vivent dans des zones rurales. Les TER seraient une bonne solution pour fournir de l'électricité à ces populations, dans la mesure où certaines énergies n'ont pas besoin d'un raccord à un réseau d'électricité pour fonctionner, a-t-il ajouté.
Elles peuvent être un important moyen de source d'énergie dans des régions où d'autres sources d'énergie ne sont pas disponibles, comme les régions agricoles isolées, a ajouté le Secrétaire-général.
Certaines TER comme celles basées sur la biomasse sont assez simples à installer, a ajouté la CNUCED, alors que pour d'autres, d'importants investissements sont nécessaires, malgré les progrès technologiques.
Cependant chaque investissement porte ses fruits quant au prix de l'énergie, ajoute le rapport, qui cite le cas de l'éolien, où un doublement de la capacité de production fait chuter les prix de 9% à 17%.
Afin de mieux encadrer la mise en place des TER dans les pays en développement, la CNUCED propose la mise en place d'un réseau international d'information pour les pays les plus pauvres. En outre, la CNUCED propose que les transferts de technologies inhérants à ces TER soient facilités pour les pays les moins avancés. La CNUCED suggère aussi la création de centres de formation sur TER dédiés aux pays en développement.
89% de l'énergie consommée dans le monde est d'origine fossile. Sur les 11% restants, moins de 4% viennent des TER, et le reste de l'énergie nucléaire.
Les technologies des énergies renouvelables (TER) sont beaucoup plus accessibles aujourd'hui, et les décideurs dans les pays en développement doivent tout faire pour les encourager afin qu'elles complètent, voire qu'elles remplacent les énergies conventionnelles, a déclaré au cours d'une conférence de presse Supachai Panitchpakdi, Secrétaire-général de la CNUCED.
Actuellement, dans le monde, 1,4 million de personnes n'ont pas l'électricité, et 85% d'entre elles vivent dans des zones rurales. Les TER seraient une bonne solution pour fournir de l'électricité à ces populations, dans la mesure où certaines énergies n'ont pas besoin d'un raccord à un réseau d'électricité pour fonctionner, a-t-il ajouté.
Elles peuvent être un important moyen de source d'énergie dans des régions où d'autres sources d'énergie ne sont pas disponibles, comme les régions agricoles isolées, a ajouté le Secrétaire-général.
Certaines TER comme celles basées sur la biomasse sont assez simples à installer, a ajouté la CNUCED, alors que pour d'autres, d'importants investissements sont nécessaires, malgré les progrès technologiques.
Cependant chaque investissement porte ses fruits quant au prix de l'énergie, ajoute le rapport, qui cite le cas de l'éolien, où un doublement de la capacité de production fait chuter les prix de 9% à 17%.
Afin de mieux encadrer la mise en place des TER dans les pays en développement, la CNUCED propose la mise en place d'un réseau international d'information pour les pays les plus pauvres. En outre, la CNUCED propose que les transferts de technologies inhérants à ces TER soient facilités pour les pays les moins avancés. La CNUCED suggère aussi la création de centres de formation sur TER dédiés aux pays en développement.
89% de l'énergie consommée dans le monde est d'origine fossile. Sur les 11% restants, moins de 4% viennent des TER, et le reste de l'énergie nucléaire.
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