En pleine campagne électorale, la tête de liste de la coalition « jubanti Sénégal », Souleymane Astou Diagne et sa caravane ont été arrêtés à l’entrée de la ville de Yène. Ainsi, les gendarmes lui reprochent de n’avoir pas une autorisation pour battre campagne dans cette localité. C’est une situation qui l’a fait sortir de ses gonds pour dénoncer, selon lui, cette « forfaiture », tout en accusant Pastef d’être derrière cette mésaventure. Dans cette dynamique, il précise qu’il n'y a plus de démocratie au Sénégal. Dans la foulée, il interpelle l’opposition pour qu'elle fasse bloc devant cette dictature rampante.
Sans langue de bois, il précise : « j’ai été arrêté avec ma caravane a l’entrée de la ville de Yène par les gendarmes qui m’ont demandé une autorisation dans le cadre d’une visite de proximité. » Dans la foulée, les gendarmes m’ont dit que je ne peux pas entrer à Yène, car je n’ai pas d’autorisation. »
Surpris, il soutient : « en ce sens, j’ai répondu que je n’ai pas besoin d’ autorisation car nous sommes en campagne électorale. Sans réserve, je crois dur comme fer que si c’était le Pastef personne n’allait les arrêter. »
« On ne peut pas être en campagne électorale et interdire l’opposition en se disant que seul le Pastef doit battre campagne. C’est pourquoi, nous dénonçons cela avec la dernière énergie. D’ailleurs, le changement tant prôné par le Pastef n’est qu’un recul démocratique. À ce titre, je rappelle qu’on n’est pas une milice pour aller agresser les populations, mais plutôt pour s’y rendre dans la paix…
Je pense que cette situation dont nous sommes victimes est le fruit d’une dictature rampante. D’ailleurs, il y a des hommes au sommet de l’État qui donnent des ordres pour arrêter telle coalition ou laisser passer telle autre. Ceci est une forfaiture et une injustice », laisse-t-il entendre.
Dans cet élan, il invite « l’opposition, notamment Amadou Ba, Barthélémy Dias, Thierno Bocoum, Bougane Guèye Dany, Anta Babacar Ngom pour dénoncer cette forfaiture. »
Sans langue de bois, il précise : « j’ai été arrêté avec ma caravane a l’entrée de la ville de Yène par les gendarmes qui m’ont demandé une autorisation dans le cadre d’une visite de proximité. » Dans la foulée, les gendarmes m’ont dit que je ne peux pas entrer à Yène, car je n’ai pas d’autorisation. »
Surpris, il soutient : « en ce sens, j’ai répondu que je n’ai pas besoin d’ autorisation car nous sommes en campagne électorale. Sans réserve, je crois dur comme fer que si c’était le Pastef personne n’allait les arrêter. »
« On ne peut pas être en campagne électorale et interdire l’opposition en se disant que seul le Pastef doit battre campagne. C’est pourquoi, nous dénonçons cela avec la dernière énergie. D’ailleurs, le changement tant prôné par le Pastef n’est qu’un recul démocratique. À ce titre, je rappelle qu’on n’est pas une milice pour aller agresser les populations, mais plutôt pour s’y rendre dans la paix…
Je pense que cette situation dont nous sommes victimes est le fruit d’une dictature rampante. D’ailleurs, il y a des hommes au sommet de l’État qui donnent des ordres pour arrêter telle coalition ou laisser passer telle autre. Ceci est une forfaiture et une injustice », laisse-t-il entendre.
Dans cet élan, il invite « l’opposition, notamment Amadou Ba, Barthélémy Dias, Thierno Bocoum, Bougane Guèye Dany, Anta Babacar Ngom pour dénoncer cette forfaiture. »