Motorola Mobility, la filiale de téléphones portables du géant américain Google, pourrait fermer son site de Toulouse où travaillent 170 personnes. Une porte-parole de la direction a annoncé lundi 24 décembre que direction et représentants du personnel toulousain avaient entamé la semaine dernière les discussions sur"un éventuel projet de fermeture", en précisant que les partenaires sociaux n'en sont qu'au début de la procédure d'information et de consultation du personnel.
Le site toulousain est spécialisé dans la recherche et le développement en matière de téléphonie mobile et de tablettes. Motorola Mobility France emploie sur son second site de Saclay (Essonne), en région parisienne, une cinquantaine de personnes qui travaillent sur la téléphonie mobile et les boîtiers internet.
Google avait racheté le fabricant américain en mai pour 12,9 milliards de dollars. Le personnel toulousain serait ainsi victime du projet de la maison-mère Google desupprimer 20 % des effectifs de Motorola Mobility dans le monde, soit 4 000 emplois.
Mais la fermeture de Motorola à Toulouse poursuivrait la série des lourds désengagements industriels américains en Midi-Pyrénées, après celui de Molex (connectique automobile, 283 salariés) et de Freescale.
Le site toulousain est spécialisé dans la recherche et le développement en matière de téléphonie mobile et de tablettes. Motorola Mobility France emploie sur son second site de Saclay (Essonne), en région parisienne, une cinquantaine de personnes qui travaillent sur la téléphonie mobile et les boîtiers internet.
Google avait racheté le fabricant américain en mai pour 12,9 milliards de dollars. Le personnel toulousain serait ainsi victime du projet de la maison-mère Google desupprimer 20 % des effectifs de Motorola Mobility dans le monde, soit 4 000 emplois.
Mais la fermeture de Motorola à Toulouse poursuivrait la série des lourds désengagements industriels américains en Midi-Pyrénées, après celui de Molex (connectique automobile, 283 salariés) et de Freescale.