Installé depuis fin février, ce puissant contingent mauritanien est déployé pour maintenir la paix récente dans le pays mais aussi pour sécuriser routes et ponts.
Afin de réussir cette première mission, l'armée mauritanienne n'a pas lésiné sur les moyens. Les soldats sont bien équipés et bien entrainés, selon le colonel Sidi El Veireck, chef du bataillon mauritanien.
« Nous avons des véhicules blindés, des véhicules de transport de troupes, nous avons des équipements de vision nocturne. Nous avons des équipements de contrôle des foules et nous avons un noyau autour duquel a été formé le bataillon de personnels issus des groupes spéciaux d’intervention qui ont une certaine expérience », détaille le colonel.
Le bataillon mauritanien a ainsi rempli tous les critères dictés par l'ONU. Pour cela, il a fallu investir des millions d'euros dans du nouveau matériel, repeindre les véhicules camouflage aux couleurs de l’ONU, blanc et noir. Et entrainer les nouveaux Casques bleus pendant toute une année, et en particulier les préparer à ce nouveau terrain.
« La Mauritanie c’est un terrain désertique, très ouvert et vaste et là c’est plutôt la forêt, on est très limités dans nos mouvements, un terrain très accidenté et difficile d’accès, avec beaucoup de ponts, souvent en mauvais état », analyse le chef du bataillon.
Fiers d'être le premier contingent mauritanien des Nations unies, les hommes prennent progressivement leurs marques dans région de Bambari. Ils ont signé pour un an.
Afin de réussir cette première mission, l'armée mauritanienne n'a pas lésiné sur les moyens. Les soldats sont bien équipés et bien entrainés, selon le colonel Sidi El Veireck, chef du bataillon mauritanien.
« Nous avons des véhicules blindés, des véhicules de transport de troupes, nous avons des équipements de vision nocturne. Nous avons des équipements de contrôle des foules et nous avons un noyau autour duquel a été formé le bataillon de personnels issus des groupes spéciaux d’intervention qui ont une certaine expérience », détaille le colonel.
Le bataillon mauritanien a ainsi rempli tous les critères dictés par l'ONU. Pour cela, il a fallu investir des millions d'euros dans du nouveau matériel, repeindre les véhicules camouflage aux couleurs de l’ONU, blanc et noir. Et entrainer les nouveaux Casques bleus pendant toute une année, et en particulier les préparer à ce nouveau terrain.
« La Mauritanie c’est un terrain désertique, très ouvert et vaste et là c’est plutôt la forêt, on est très limités dans nos mouvements, un terrain très accidenté et difficile d’accès, avec beaucoup de ponts, souvent en mauvais état », analyse le chef du bataillon.
Fiers d'être le premier contingent mauritanien des Nations unies, les hommes prennent progressivement leurs marques dans région de Bambari. Ils ont signé pour un an.