Ce garçon qui se fraye une voie dans la foule s’appelle Alioune Niang, fils du ministre d’Etat chargé des Affaires étrangères, Madické Niang. Les mains remplies de billets de banque, il se dirige vers le chanteur Ousmane Seck, qui fête l’anniversaire de son groupe le 18 juin, pour l’arroser de francs cfa. Le seul mérite de ce fêtard invétéré, c’est d’être fils de... Au nom d'une certaine conception de l'éthique, dakaractu.com s'élève avec force contre son comportement.
Son père aurait pu par décence lui interdire de telles marques d’arrogance en public. Suffit encore que certains s’engraissent avec l’argent public. De là à permettre à leurs rejetons d’étaler des signes de vanité et de richesse aussi vexatoires pour les Sénégalais qui tirent le diable par la queue... Le ministre des Affaires étrangères, censé incarner l’image du Sénégal à l’étranger, n’arrive pas à tenir sa progéniture qui défraie la chronique par des faits graves : vols de millions thésaurisés par leur père à domicile, agressions perpétrées contre des tiers, bagarres en boîtes de nuit... Dans le Sénégal sous l’alternance, la décence républicaine a perdu tout son sens.
Son père aurait pu par décence lui interdire de telles marques d’arrogance en public. Suffit encore que certains s’engraissent avec l’argent public. De là à permettre à leurs rejetons d’étaler des signes de vanité et de richesse aussi vexatoires pour les Sénégalais qui tirent le diable par la queue... Le ministre des Affaires étrangères, censé incarner l’image du Sénégal à l’étranger, n’arrive pas à tenir sa progéniture qui défraie la chronique par des faits graves : vols de millions thésaurisés par leur père à domicile, agressions perpétrées contre des tiers, bagarres en boîtes de nuit... Dans le Sénégal sous l’alternance, la décence républicaine a perdu tout son sens.