DAKARACTU.COM Le personnel de l'hôtel Millenium Challenge de New York se souviendra longtemps du séjour du chef de l'Etat sénégalais, Abdoulaye Wade, à l'occasion de la 66ème session ordinaire de l'Assemblée générale des Nations-Unies. Ce palace qui a l'habitude de recevoir un monde feutré n'a jamais vécu une pagaille semblable à celle qu'il a connue au cours du séjour de Wade. Le hall a été envahi des jours entiers par des "militants" dont les bavardages dégénéraient quelquefois en bagarres. Le secrétaire général de la fédération américaine du PDS et Thialal Sabarra, secrétaire élue au Conseil économique et social, se sont insultés père et mère et ont failli en venir au main, n'eût été l'intervention de la sécurité de l'hôtel. Motif de leur dispute ? L'utilisation d'une somme de 50 000 dollars offerte par Wade aux femmes de New York.
Ce n'est pas tout. Un des membres des forces spéciales américaines affecté au président sénégalais a failli arrêter un des agents de la sécurité rapprochée de Wade. Ce bodyguard, du nom de Diéne Sène, a brutalisé une dame, membre de la délégation du mouvement Rights qui devait rencontrer le chef de l'Etat. L'élément des forces spéciales est intervenu vigoureusement pour faire cesser cette violation de la loi américaine. Son auteur serait jeté en prison si une telle éventualité n'était pas susceptible de créer un incident diplomatique. Mais le dossier n'est pas pour autant clos. Madère Fall, fondateur de Rights, et les autres membres du bureau de l'organisation envisagent de porter plainte pour coups et blessures volontaires contre Diéne Sène. Pourra-t-il repartir aux Etats-Unis sans être inquiété ? Rien n'est moins sûr.
Ce n'est pas tout. Un des membres des forces spéciales américaines affecté au président sénégalais a failli arrêter un des agents de la sécurité rapprochée de Wade. Ce bodyguard, du nom de Diéne Sène, a brutalisé une dame, membre de la délégation du mouvement Rights qui devait rencontrer le chef de l'Etat. L'élément des forces spéciales est intervenu vigoureusement pour faire cesser cette violation de la loi américaine. Son auteur serait jeté en prison si une telle éventualité n'était pas susceptible de créer un incident diplomatique. Mais le dossier n'est pas pour autant clos. Madère Fall, fondateur de Rights, et les autres membres du bureau de l'organisation envisagent de porter plainte pour coups et blessures volontaires contre Diéne Sène. Pourra-t-il repartir aux Etats-Unis sans être inquiété ? Rien n'est moins sûr.