Dans une déclaration liminaire issue de leur conférence de presse tenue ce samedi, le cercle des enseignants du parti socialiste a souligné sa volonté de combattre résolument les « fossoyeurs de l’école, les démagogues, les manipulateurs de conscience, ceux qui utilisent l’école comme instrument de propagande politicienne ».
Ils ont exhorté le gouvernement à continuer le dialogue et la concertation avec l’ensemble des syndicats pour la pacification de l’espace scolaire et une meilleure prise en charge des revendications. Car selon les socialistes, le véritable débat aujourd’hui, c’est de voir quelles sont les mesures à prendre pour avoir un système éducatif performant et crédible au seul bénéfice des apprenants.
D’après leur constat, loin de faire porter à l’ancien régime la responsabilité entière de l’échec du système éducatif, « force est de reconnaitre que de fortes sommes d’argent ont été injectées dans le secteur de l’éducation entre 2000 et 2012 et, malgré tout, il continue de connaitre régulièrement des remous ».
« La grève des enseignants, la violence dans les universités, les marches de protestation des élèves, la démotivation des enseignants sont autant de maux qui continuent de miner le secteur de l’éducation au Sénégal » ont-ils indiqué.
Entre autres points soulevés, dont la massification des effectifs devenus pléthoriques, le casse-tête des enseignants et élèves qui fréquentent les 620 abris provisoires, ils se disent engagés à amener le parti et au-delà, l’ensemble des membres de la coalition B.B.Y à s’intéresser davantage à l’école. Leur but est de pour veiller à ce que le système éducatif ne soit pas le parent pauvre des programmes de développement.
Sur un autre volet, Ils ont aussi appelé la mouvance présidentielle réunie au sein de Benno Bokk Yakaar à plus de vigilance, de solidarité et à se concentrer sur l’essentiel à savoir satisfaire la demande sociale, et accélérer la cadence pour l’amélioration des conditions d’existences des Sénégalais.
Le cercle des enseignants du parti socialiste est une structure crée en 1990 qui regroupe tous les acteurs de l’éducation, sympathisants ou membres du parti socialiste, du préscolaire au secondaire en passant par l’élémentaire et le moyen.
Ils ont exhorté le gouvernement à continuer le dialogue et la concertation avec l’ensemble des syndicats pour la pacification de l’espace scolaire et une meilleure prise en charge des revendications. Car selon les socialistes, le véritable débat aujourd’hui, c’est de voir quelles sont les mesures à prendre pour avoir un système éducatif performant et crédible au seul bénéfice des apprenants.
D’après leur constat, loin de faire porter à l’ancien régime la responsabilité entière de l’échec du système éducatif, « force est de reconnaitre que de fortes sommes d’argent ont été injectées dans le secteur de l’éducation entre 2000 et 2012 et, malgré tout, il continue de connaitre régulièrement des remous ».
« La grève des enseignants, la violence dans les universités, les marches de protestation des élèves, la démotivation des enseignants sont autant de maux qui continuent de miner le secteur de l’éducation au Sénégal » ont-ils indiqué.
Entre autres points soulevés, dont la massification des effectifs devenus pléthoriques, le casse-tête des enseignants et élèves qui fréquentent les 620 abris provisoires, ils se disent engagés à amener le parti et au-delà, l’ensemble des membres de la coalition B.B.Y à s’intéresser davantage à l’école. Leur but est de pour veiller à ce que le système éducatif ne soit pas le parent pauvre des programmes de développement.
Sur un autre volet, Ils ont aussi appelé la mouvance présidentielle réunie au sein de Benno Bokk Yakaar à plus de vigilance, de solidarité et à se concentrer sur l’essentiel à savoir satisfaire la demande sociale, et accélérer la cadence pour l’amélioration des conditions d’existences des Sénégalais.
Le cercle des enseignants du parti socialiste est une structure crée en 1990 qui regroupe tous les acteurs de l’éducation, sympathisants ou membres du parti socialiste, du préscolaire au secondaire en passant par l’élémentaire et le moyen.