Le président du Mouvement citoyen pour la refondation nationale (MCRN - Bès du Niak), Mansour Sy Djamil, a été investi, mercredi, candidat à l’élection présidentielle de 2012, par ses partisans pour "mettre fin aux maux" dont souffre le Sénégal.
‘’Mon devoir de citoyen et ma conscience me poussent aujourd’hui à être candidat pour mettre fin aux difficultés auxquelles notre pays fait face’’, a-t-il dit, en wolof, lors de son investiture, situant ‘’les souffrances’’ des Sénégalais au niveau économique, politique, industriel, culturel, etc.
M. Sy a assuré que son programme et son projet de société reposent sur les conclusions des Assises nationales, en vue de mettre en place un modèle de gouvernance exemplaire élaboré par des experts sénégalais.
Il a souligné qu’au-delà de remplir les exigences de la Constitution pour être candidat, son ‘’expérience’’ et son ‘’comportement’’ l’autorisent à solliciter les suffrages des électeurs sénégalais pour diriger le pays.
Parlant des autres coalitions engagées dans la course à la présidentielle, M. Sy estime qu’elles sont ‘’toutes perdantes et sans exception’’.
Depuis sa retraite de la Banque islamique de développement (BID), à Djeddah, Mansour Sy Djamil est rentré au Sénégal pour assurer le khalifat de feu son père, Serigne Moustapha Sy Djamil (Fass), qui était le fils aîné de l’ancien Khalife des tidjanes, Khalifa Ababacar Sy.
A la tête de son mouvement "citoyen", Mansour Sy Djamil a pris part à travers le Mouvement du 23 juin (M-23) qui combat la possibilité d’un troisième mandat pour le président Abdoulaye Wade. M. Sy, ancien militant de gauche, a pris part aux Assises nationales (Juin 2008-mai 2009).
Les électeurs sénégalais sont convoqués au scrutin de l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Environ 20 candidats se sont déclarés parmi lesquels le chef de l’Etat sortant, Abdoulaye Wade, dont la candidature est contestée par l’opposition et la société civile.
S’il est autorisé, le président Wade devra affronter notamment ses anciens Premiers ministres Moustapha Niasse (AFP), Idrissa Seck (Rewmi) et Macky Sall (APR), ainsi que le secrétaire général du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng.
‘’Mon devoir de citoyen et ma conscience me poussent aujourd’hui à être candidat pour mettre fin aux difficultés auxquelles notre pays fait face’’, a-t-il dit, en wolof, lors de son investiture, situant ‘’les souffrances’’ des Sénégalais au niveau économique, politique, industriel, culturel, etc.
M. Sy a assuré que son programme et son projet de société reposent sur les conclusions des Assises nationales, en vue de mettre en place un modèle de gouvernance exemplaire élaboré par des experts sénégalais.
Il a souligné qu’au-delà de remplir les exigences de la Constitution pour être candidat, son ‘’expérience’’ et son ‘’comportement’’ l’autorisent à solliciter les suffrages des électeurs sénégalais pour diriger le pays.
Parlant des autres coalitions engagées dans la course à la présidentielle, M. Sy estime qu’elles sont ‘’toutes perdantes et sans exception’’.
Depuis sa retraite de la Banque islamique de développement (BID), à Djeddah, Mansour Sy Djamil est rentré au Sénégal pour assurer le khalifat de feu son père, Serigne Moustapha Sy Djamil (Fass), qui était le fils aîné de l’ancien Khalife des tidjanes, Khalifa Ababacar Sy.
A la tête de son mouvement "citoyen", Mansour Sy Djamil a pris part à travers le Mouvement du 23 juin (M-23) qui combat la possibilité d’un troisième mandat pour le président Abdoulaye Wade. M. Sy, ancien militant de gauche, a pris part aux Assises nationales (Juin 2008-mai 2009).
Les électeurs sénégalais sont convoqués au scrutin de l’élection présidentielle du 26 février 2012.
Environ 20 candidats se sont déclarés parmi lesquels le chef de l’Etat sortant, Abdoulaye Wade, dont la candidature est contestée par l’opposition et la société civile.
S’il est autorisé, le président Wade devra affronter notamment ses anciens Premiers ministres Moustapha Niasse (AFP), Idrissa Seck (Rewmi) et Macky Sall (APR), ainsi que le secrétaire général du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng.
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