DAKARACTU.COM - Incroyable, mais vrai ! Le très cherché Cheikh Mbacké Gadiaga, après la découverte de son escroquerie portant sur 30 millions FCFA au détriment de l’homme d’affaire Cheikh Amar, est loin de se faire discret. Pire, s’étant rapproché de Dakaractu par téléphone émanant d’un numéro privé, il a entamé des révélations renversantes sur son désormais ex ami et ennemi juré, révélations qui éclaboussent aussi des personnalités de l’actuel régime.
Nous vous disions que certaines sources avançaient qu’il clame haut et fort que Cheikh Amar n’osera rien entreprendre contre lui, « on se connait, dou moudjou fène (cela n’aboutira nulle part ! » avait-il prédit. La suite lui a donné tort, soit dit en passant
Mais en plus, Dakaractu avait ajouté qu’à voir son assurance, on serait tenté d’y croire, parce que si on se rappelle bien lors de l’attaque contre les marabouts, c’est lui qui portait le combat, comme un bras droit.
A l’entame du largage de ses missiles, Cheikh Gadiaga a affirmé avoir reçu de l’industriel la somme totale de 5 millions FCFA pour affronter les marabouts qui défendaient la famille de Serigne Saliou.
La somme, indique, notre ‘’Arsène Lupin Flambeur’’, il l’a reçue en deux tranches d’abord: la somme de 1000 euros en France, remise directement par Cheikh Amar, ensuite plus de 4 millions lui ont été donnés à son arrivée à Dakar. La location du lieu de la conférence de presse a été à la charge de Cheikh Amar, sous entendu qu’il a glissé de l’argent aux autres marabouts et soi-disant marabouts, pour mieux crédibiliser ses propos.
Pourtant, il ne s’est pas arrêté en si bon chemin, il a aussi affirmé que cette corruption faite à son niveau ne s’arrête pas là, car il peut faire des révélations sur ces autorités qu’elle a touchées, parce que l’homme d’affaire a des entrées trop faciles avec tous les deux régimes (Wade et Macky).
Sur ce volet, il a même été très dévastateur, livrant des noms, des actes (dates, contexte et lieu), bref des informations que nous tairons pour le moment, par souci d’équilibre de l’information.
Mais, comme s’il cherchait à nuire à son désormais ex ami intime, il est revenu sur l’affaire que Dakaractu avait relayé en août 2013, affaire durant laquelle toujours dans le mauvais rôle, il avait escroqué des personnalités et même simples citoyens nantis grâce à sa proximité avec Cheikh Amar.
Il a dénoncé une réaction à la limite, presque mafieuse de l’homme d’affaire.
« Le garde du corps de Cheikh Amar, Bamba, m’a tendu un piège comme vous l’avait dit, avec ses copains. Mais ce que vous ne savez pas c’est qu’il m’a malmené et déshabillé. Quand j’ai été tout nu, ils m’ont photographié et demandé de fermer ma gueule, sinon mes photos feront le tour de la presse. Ils m’ont même menacé de mort.»
Le garde du corps, indique toujours Cheikh Gadiaga, a été mêlé dans une affaire de double meurtre, dont les médias ont largement parlée. « Que fait-il à coté de Cheikh Amar ? » s’est-il demandé.
Cheikh Amar que nous avons interpellé a indiqué que cet homme passe sa vie à mentir.
L’homme que l’on pourrait aussi surnommer ‘’l’escroc de la Primature’’ a promis d’autres déballages, si on ne lui accorde pas son « hafiya », autrement si on ne lui colle pas la paix.
Pour le moment gardez le contact, Dakaractu vous promet d’y revenir.
Nous vous disions que certaines sources avançaient qu’il clame haut et fort que Cheikh Amar n’osera rien entreprendre contre lui, « on se connait, dou moudjou fène (cela n’aboutira nulle part ! » avait-il prédit. La suite lui a donné tort, soit dit en passant
Mais en plus, Dakaractu avait ajouté qu’à voir son assurance, on serait tenté d’y croire, parce que si on se rappelle bien lors de l’attaque contre les marabouts, c’est lui qui portait le combat, comme un bras droit.
A l’entame du largage de ses missiles, Cheikh Gadiaga a affirmé avoir reçu de l’industriel la somme totale de 5 millions FCFA pour affronter les marabouts qui défendaient la famille de Serigne Saliou.
La somme, indique, notre ‘’Arsène Lupin Flambeur’’, il l’a reçue en deux tranches d’abord: la somme de 1000 euros en France, remise directement par Cheikh Amar, ensuite plus de 4 millions lui ont été donnés à son arrivée à Dakar. La location du lieu de la conférence de presse a été à la charge de Cheikh Amar, sous entendu qu’il a glissé de l’argent aux autres marabouts et soi-disant marabouts, pour mieux crédibiliser ses propos.
Pourtant, il ne s’est pas arrêté en si bon chemin, il a aussi affirmé que cette corruption faite à son niveau ne s’arrête pas là, car il peut faire des révélations sur ces autorités qu’elle a touchées, parce que l’homme d’affaire a des entrées trop faciles avec tous les deux régimes (Wade et Macky).
Sur ce volet, il a même été très dévastateur, livrant des noms, des actes (dates, contexte et lieu), bref des informations que nous tairons pour le moment, par souci d’équilibre de l’information.
Mais, comme s’il cherchait à nuire à son désormais ex ami intime, il est revenu sur l’affaire que Dakaractu avait relayé en août 2013, affaire durant laquelle toujours dans le mauvais rôle, il avait escroqué des personnalités et même simples citoyens nantis grâce à sa proximité avec Cheikh Amar.
Il a dénoncé une réaction à la limite, presque mafieuse de l’homme d’affaire.
« Le garde du corps de Cheikh Amar, Bamba, m’a tendu un piège comme vous l’avait dit, avec ses copains. Mais ce que vous ne savez pas c’est qu’il m’a malmené et déshabillé. Quand j’ai été tout nu, ils m’ont photographié et demandé de fermer ma gueule, sinon mes photos feront le tour de la presse. Ils m’ont même menacé de mort.»
Le garde du corps, indique toujours Cheikh Gadiaga, a été mêlé dans une affaire de double meurtre, dont les médias ont largement parlée. « Que fait-il à coté de Cheikh Amar ? » s’est-il demandé.
Cheikh Amar que nous avons interpellé a indiqué que cet homme passe sa vie à mentir.
L’homme que l’on pourrait aussi surnommer ‘’l’escroc de la Primature’’ a promis d’autres déballages, si on ne lui accorde pas son « hafiya », autrement si on ne lui colle pas la paix.
Pour le moment gardez le contact, Dakaractu vous promet d’y revenir.