Le principe de dualité a toujours existé et favorisé l’équilibre dans le processus de devenir des sociétés humaines. C’est ce qui justifiait, jadis, que le faible reconnaissait la force du fort et que le long prenait la courtoisie de se rabaisser à hauteur du nais pour discuter de l’essentiel et regagner sa posture originelle. Sur cette même lancée, on pouvait voir un immeuble surplomber une maison en baraque abritant le délégué en charge des questions du quartier ; tout fier puisque respecté, nonobstant sa condition de déminu.
De nos jours hélas, l’avoir et le pouvoir se démarquent de l’être et sont considérés comme des valeurs morales sans quoi on ne saurait vivre une vie digne de ce nom. Ce saut brusque et inopiné de ce monde là à ce monde ci porte les stigmates de nos autorités dites de « l’alter noce » et au premier chef le Président Wade.
A vrai dire, de quel droit s’arrogent ces arrivistes qui nous ont déjà ôté le doigt et qui nous promettent de nous couper la main si nous ne leur tenons pas tête ?
- Les jets privés nous survolent dessus pendant que nous longeons à longueur de journée, les trottoirs à défaut de prendre le car rapide ou le « Ndiaga Ndiaye »
- Les gestions calamiteuses laissent entrevoir des trous de milliards au moment où de dignes citoyens, les pieds dans l’eau des inondations, payent le seul crime d’être né en banlieue.
Dans ce même registre des néo-riches qui sont pour l’écrasante majorité de véritables délinquants financiers, pavanent et jubilent là où de paisibles innocents croupissent en prison.
- La promotion des anti-valeurs, de la médiocrité et de l’incompétence est érigée en système et pourtant le pays regorge de diplômés et de cadres chômeurs.
- La plorifération des agences budgétivores cache un népotisme qui ne dit pas son nom. C’est ce qui justifie que certains ministères, à la place du CV, vous demandent: « qui vous a recommandé ? »
Pour que cesse à jamais ce « Sénégal des riches » qui se moque du « Sénégal des pauvres », il nous faut montrer à ces dirigeants que, contrairement à ce qu’ils laissent croire, « l’homo senegalensis » n’a pas de prix !
Seuls le respect des institutions, la rigueur dans la gestion des affaires publiques et la conscience vis-à-vis du sens qu’il urge de donner aux priorités importent à ses yeux.
Autrement, à l’instar de l’araignée dont parle Jean Paul Sartre dans l’Etre et le Néant, ces autorités sont prises dans leurs propres toiles. Elles ont déjà creusé la tombe qui les engloutira et derrière Idrissa Seck, nous leur promettons l’enfer en 2012.
Il nous est donné de constater, avec tristesse, qu’entre les mains périssables d’un clan (Wade), se joue le destin infaillible de tout un peuple. L’amour de la patrie nous impose dès lors de rompre le silence puisqu’à ce stade du combat de libération, avancer masqué est une entreprise périlleuse.
Sous ce rapport, nous appelons tous les fils du pays (de l’intérieur comme de l’extérieur) à se joidre à l’action d’Idrissa Seck qui est, à nos yeux, le seul antidote à cette poison mortelle que constitue les « waderies » rampantes qui guettent notre cher Sénégal.
Vive le grand rassemblement prôné par Mara pour un sénégal émergeant.
Oumar FALL membre d’IS4
Responsable des jeunes rewmistes
De la CR de Méouane
seydinaoumarfall@hotmail.com
De nos jours hélas, l’avoir et le pouvoir se démarquent de l’être et sont considérés comme des valeurs morales sans quoi on ne saurait vivre une vie digne de ce nom. Ce saut brusque et inopiné de ce monde là à ce monde ci porte les stigmates de nos autorités dites de « l’alter noce » et au premier chef le Président Wade.
A vrai dire, de quel droit s’arrogent ces arrivistes qui nous ont déjà ôté le doigt et qui nous promettent de nous couper la main si nous ne leur tenons pas tête ?
- Les jets privés nous survolent dessus pendant que nous longeons à longueur de journée, les trottoirs à défaut de prendre le car rapide ou le « Ndiaga Ndiaye »
- Les gestions calamiteuses laissent entrevoir des trous de milliards au moment où de dignes citoyens, les pieds dans l’eau des inondations, payent le seul crime d’être né en banlieue.
Dans ce même registre des néo-riches qui sont pour l’écrasante majorité de véritables délinquants financiers, pavanent et jubilent là où de paisibles innocents croupissent en prison.
- La promotion des anti-valeurs, de la médiocrité et de l’incompétence est érigée en système et pourtant le pays regorge de diplômés et de cadres chômeurs.
- La plorifération des agences budgétivores cache un népotisme qui ne dit pas son nom. C’est ce qui justifie que certains ministères, à la place du CV, vous demandent: « qui vous a recommandé ? »
Pour que cesse à jamais ce « Sénégal des riches » qui se moque du « Sénégal des pauvres », il nous faut montrer à ces dirigeants que, contrairement à ce qu’ils laissent croire, « l’homo senegalensis » n’a pas de prix !
Seuls le respect des institutions, la rigueur dans la gestion des affaires publiques et la conscience vis-à-vis du sens qu’il urge de donner aux priorités importent à ses yeux.
Autrement, à l’instar de l’araignée dont parle Jean Paul Sartre dans l’Etre et le Néant, ces autorités sont prises dans leurs propres toiles. Elles ont déjà creusé la tombe qui les engloutira et derrière Idrissa Seck, nous leur promettons l’enfer en 2012.
Il nous est donné de constater, avec tristesse, qu’entre les mains périssables d’un clan (Wade), se joue le destin infaillible de tout un peuple. L’amour de la patrie nous impose dès lors de rompre le silence puisqu’à ce stade du combat de libération, avancer masqué est une entreprise périlleuse.
Sous ce rapport, nous appelons tous les fils du pays (de l’intérieur comme de l’extérieur) à se joidre à l’action d’Idrissa Seck qui est, à nos yeux, le seul antidote à cette poison mortelle que constitue les « waderies » rampantes qui guettent notre cher Sénégal.
Vive le grand rassemblement prôné par Mara pour un sénégal émergeant.
Oumar FALL membre d’IS4
Responsable des jeunes rewmistes
De la CR de Méouane
seydinaoumarfall@hotmail.com