Le Sénégal d'Abdoulaye Wade ou le reflet du déclin / Décadence du pays qui fut la capitale de l’AOF


M. Abdoulaye Wade est la définition même du mot déception, si ce n’est le comble. Cet éminent professeur d’université a de façon manifeste déçu les Africains et les intellectuels de ce continent au nombre desquels ses propres étudiants d’alors. M. Wade, en ce 21ième siècle, est ce Chef d’Etat africain qui le clame haut et fort qu’il a fait appel à la France de Sarkozy, ancien pays colonisateur et personnification de la Françafrique/ Ennemi des peuples africains pour arrêter Laurent Gbagbo, partant, profaner la terre d’Afrique, insulter la dignité de l’Etre africain, en soumettant au viol et/ou à l’humiliation la femme africaine.

Le Président Wade, qui, il n’y a pas si longtemps, voudrait se faire succéder à la Présidence de la République du Sénégal par son fils et qui n’a dû y renoncer que suite à un rejet/refus sans précédent du peuple frère du Sénégal qui opposa un non absolu à toute tentative de monarchie républicaine à la congolaise, à la togolaise, à la gabonaise. A quoi devons-nous attribuer les graves ratés intellectuels et d’analyses de M. A. Wade ? A la sénilité, peut-être? Nous laissons aux Africains et à eux seuls les termes propres pour qualifier les sérieux manquements de tous genres de M. A. Wade, même si nous y lisons le reflet évident du déclin/décadence du pays qui fut la capitale de l’AOF –Afrique Occidentale Française- Et pourtant, il y a quelques rares intellectuels au Sénégal, qui, pour leurs intérêts, poussent M. Wade, à briguer un autre mandat, en dépit de la diminution notoire de ses capacités intellectuels et autres (Au moment où nous continuons de travailler sur ce Dossier en ce mois de Juin et à peine avions-nous fini d’écrire ces lignes sur M. Wade, que nous venions d’apprendre la naissance/formation d’une large coalition de partis politiques et d’organisations de la société civile contre sa candidature.

Nous saluons le courage et la clairvoyance de nos frères et sœurs sénégalais, l’acte qu’ils sont entrain de poser honore l’Afrique).- Ce qui nous amène à ce niveau à citer certains passages du livre du leader hors du commun, Nelson Mandela- Madiba- “Un long chemin vers la liberté” et nous citons: - “Le 30 juillet 1952, au plus fort de la Campagne de défi, je travaillais dans mon bureau au cabinet d’avocat de H. M. Basner quand la police arriva avec un mandat d’arrêt. J’étais accusé d’avoir violé la loi sur le communisme. Mon arrestation et celle des autres aboutit en septembre au procès à Johannesburg de vingt-et-un accusés y compris le président et le secrétaire de l’ANC, du SAIC, de la Ligue de la Jeunesse de l’ANC et du Congrès indien pour le Transvaal. Parmi eux, il y avait le Dr Moroka, Walter Sisulu et J.B. Marks. Un certain nombre de leaders indiens avaient aussi été arrêtés dont le Dr Dadoo, Yusuf Cachalia et Ahmed Kathrada. – Ce procès aurait dû être l’occasion de manifester notre détermination et notre solidarité, mais il fut gâché par un manque de foi du Dr Moroka. Le Président de l’ANC, la figure de proue de la campagne nous stupéfia en prenant son propre avocat.

Mes co-accusés m’ont délégué pour aller en discuter avec le Dr Moroka afin d’aller le persuader de ne pas agir seul - Plus loin et nous continuons de citer : - “Le plus grand choc a été sa défense humiliante devant le juge Rumpf et sa grande déposition comme témoin afin de renier les principes mêmes sur lesquels avait été fondé l’ANC. Quand on lui avait demandé s’il pensait qu’il devrait y avoir une égalité entre Noirs et Blancs en Afrique du Sud, il a répondu que cela n’existerait jamais. Sur nos sièges, nous avions l’impression de sombrer dans le désespoir. Le spectacle qu’il a donné a été un coup sévère pour l’organisation et nous avons tout de suite compris que les jours du Dr Moroka comme président de l’ANC étaient comptés. Il avait commis le péché énorme de faire passer ses intérêts personnels avant ceux de l’organisation et du peuple. Il ne voulait pas que ses convictions politiques mettent en danger sa carrière de médecin et sa fortune et il détruisait ainsi l’image qu’il avait construite en trois ans de travail et de courage pour l’ANC et la campagne de défi. L’homme qui avait parcouru le pays en prêchant l’importance de cette campagne l’avait trahie”. -Tiré du livre - Un long chemin vers la liberté -

Nous avons cité ces quelques passages pour signifier à M. Wade qu’un Noir du nom de Nelson Mandela a dirigé/ présidé aux destinées de l’Afrique du Sud. Demain, tout comme nous, M. Wade ne sera peut-être plus de ce monde terrestre des vivants, mais l’Afrique disposera des mêmes moyens militaires pour répondre sur un pied d’égalité avec la Françafrique/France, l’Europe et l’Occident comme c’est le cas aujourd’hui de l’Asie. NB : Par ailleurs, en ce mois de Juillet, où nous continuons toujours de travailler sur le Dossier - COTE D’IVOIRE OU l’AFRIQUE SOUS UNE PLUIE TORRENTIELLE DE BOMBARDEMENTS FRANÇAIS – il nous impose de continuer d’actualiser certains passages jusqu’à la finalisation de la rédaction et dans le cas d’espèce, il convient de noter que suite aux émeutes du 27 et 28 Juin dernier à Dakar, M. Karim Wade, Ministre et Prince héritier déchu par le valeureux peuple du Sénégal aurait voulu faire voulu faire appel à la France selon l’AFP et nous citons: “ L'avocat franco-libanais Robert Bourgi affirme que Karim Wade l'a appelé pour qu'il demande à Paris de faire intervenir l'armée française lors des émeutes de la nuit du 27 au 28 juin à Dakar. Des propos qui contredisent radicalement les dénégations de la présidence sénégalaise, et qui font suite au désaveu par Alain Juppé de la politique conduite au Sénégal par Abdoulaye Wade dans l'optique de la présidentielle de 2012.

Est-ce un lâchage en règle du clan Wade par certains milieux français, malgré l'alignement offensif du président sénégalais sur la ligne élyséenne en Côte d'Ivoire et en Libye ? L'on aura en tout cas du mal à interpréter différemment les propos tenus hier par l'avocat Robert Bourgi à Radio futur médias (RFM, du groupe de médias privé fondé par Youssou N'dour).

« Dans la nuit (du 27 au 28 juin), lorsque les évènements tragiques se déroulaient à Dakar, j'ai été réveillé (...) par Karim Wade qui me dit ceci : tonton, Dakar et le Sénégal sont dans une situation quasi insurrectionnelle. Les immeubles administratifs brûlent, ça brûle de tous les côtés », a dit Bourgi, considéré comme proche de la présidence française.

"Karim, je voudrais que tu sois un peu plus cohérent"

Il y a « des milliers de manifestants » et « on ne sait jamais, des intérêts français peuvent être touchés », aurait ajouté Karim Wade, toujours selon Bourgi. « Je lui ai dit Karim, tu paniques, je voudrais que tu sois un peu plus cohérent. Il me dit on ne sait jamais, l'armée française est là pour quelque chose. Je l'ai immédiatement arrêté, je ne suis pas une autorité politique, je ne suis qu'avocat au barreau de Paris », a ajouté Bourgi. Qui précise, pour qu'aucune méprise ne soit possible, que Karim Wade demandait bel et bien une intervention des « plus hauts échelons de l'État français ».

Bourgi aurait refusé « de manière claire et nette » d'intercéder comme on le lui demandait, affirmant qu'il s'agissait « d'une affaire sénégalo-sénégalaise ». Des propos qui risquent de faire enfler la polémique au Sénégal, où la présidence a nié mercredi, peu avant ces déclarations, que Karim Wade ait demandé l'intervention de la France comme l'avait révélé l'hebdomadaire français l'Express.

« C'est totalement faux. Il n'y a jamais eu un appel de Karim Wade pour que l'armée française intervienne. Il aurait fallu que la police, la gendarmerie et l'armée soient débordées », a affirmé à la presse Serigne Mbacké Ndiaye, ministre conseiller et porte-parole de la présidence. « La situation était maîtrisée. On ne voit pas l'intérêt » d'une intervention de l'armée française, a-t-il plaidé.

Quand Juppé désavoue Wade

Lors de cette nuit du 27 au 28 juin, des manifestants excédés par les délestages avaient incendié plusieurs bâtiments publics, en particulier ceux de la Société nationale d'électricité (Sénélec) qui dépend du ministère de l'Énergie de Karim Wade (qui occupe également les portefeuilles de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures).

Les propos de Robert Bourgi sont consécutifs à ceux très négatifs à l'encontre de Abdoulaye Wade, tenus mardi par le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, devant des députés français. Le Sénégal « est un pays ami qui nous aide notamment dans l'affaire libyenne, le président Wade a très clairement pris position pour le départ de Kaddafi », a-t-il dit. Avant d'ajouter : « je serais quand même tenté de dire qu'il faut éviter que les mêmes causes produisent les mêmes effets. (...) Rester au pouvoir par tous les moyens, y compris en bricolant la loi électorale, se faire élire avec 25% des voix, ne pas engager un certain nombre de réformes fondamentales pour tenir compte des aspirations de la population, malheureusement cela aboutit toujours au même résultat ». Difficile de savoir si de tels propos ont été dictés - ou non - par Nicolas Sarkozy...(avec AFP)”.

Dont acte, nous laissons aux peuples africains le soin d’apprécier, mais nous voudrions porter à l’attention de notre frère Karim, ce fait simple à savoir qu’il a vécu la majeure partie de sa vie dans un Sénégal indépendant depuis 1960, partant dans une Afrique indépendante. C’est dire que l’accession à la souveraineté internationale (indépendance) des Pays africains a et doit avoir un sens, il y va de la dignité de l’Etre africain, de la dignité de l’Homme tout court, pour peu que nous nous en prévalions d’une. Ceci admis, à la question de savoir quel est le poids d’un Nicolas Sarkozy sur uns bascule au côté de l’éminent homme de lettres et agrégé en grammaire, Léopold Seddar Senghor ; nous répondons: Sarkozy est d’un poids bien léger. Quel est le poids d’un Nicolas Sarkozy au côté de l’éminent professeur Laurent K. Gbagbo, grand homme d’Etat africain qui a dit non à la reddition de l’Afrique à la France de la Françafrique et à l’Occident de Domination, nous répondons là encore: Sarkozy est d’un poids bien léger. Enfin, quel est le poids d’un Nicolas Sarkozy au côté de l’éminent professeur Abdoulaye Wade, quand bien même ce professeur est devenu, aux yeux des Africains et des intellectuels de ce continent au nombre desquels ses propres étudiants d’alors, la définition dans son sens profond du mot déception, nous répondons une fois encore: Sarkozy est d’un poids bien léger. L’auto- dévaluation (si nous pouvons nous exprimer ainsi) de certains intellectuels africains –une minorité- est triste et déroutante et de nous exclamer en ces termes: - Oh, complexe d’infériorité, quant tu nous tiens –

Il nous souvient, il y a quelques décennies de cela, lors du décès de Sékou Touré (Guinée), ce conflit qui opposa son Premier Ministre –successeur constitutionnel devant organiser de nouvelles élections dans les 45 jours -et le jeune frère de Sékou Touré qui se réclamait du pouvoir qui de son entendement est familial et monarchique. A l’époque, il nous était inconcevable l’idée même que dans une République, en Afrique, la magistrature suprême puisse, sur de telle base, se manifester. Nous n’étions point et ne serons jamais favorable au pronunciamiento militaire (coup d’Etat) qui d’une façon générale n’est que la continuation de la trajectoire dictatoriale /tyrannique du défunt régime, mais dans le cas d’espèce, nous avons salué le coup d’Etat militaire de Lansana Conté en Guinée, malgré nous. Du reste, pour ce qui nous concerne, une si grave négation de ce qui fait / est la République, une aussi absolue négation de la souveraineté républicaine est et demeure propre à l’Asie mineure (les pays du Golfe) où monarchies et dictatures sanguinaires font bon ménage/rivalisant d’ardeur et le cas de la Syrie du tyran sanguinaire Hafez el-Assad et de son fils Bashar el-Assad en est l’illustration. Actualité oblige, au tout début du Printemps du Golfe/ de la Péninsule Arabique qui secoue cette partie du monde, Printemps dont le détonateur est le Printemps du Maghreb/ Makhrech (Nord de l’Afrique), sur CNN - Chaîne de télévision américaine – les téléspectateurs ont pu voir le père d’un enfant syrien de 13 ans qui aurait été torturé à mort par les forces syriennes, qui vient à la télévision pour faire l’éloge de régime dictatorial de Bashar el-Assad. Dont acte. En Occident, en dépit de la répression de manifestations pacifiques réclamant l’Etat de droit et les institutions démocratiques dans la monarchie républicaine de la Syrie, aucune disposition juridique au plan international, par exemple à l’ONU, contre un tel régime. Pourquoi, il s’agit d’un bon dictateur, intérêts stratégiques obligent, mais il ne nous fait aucun doute que le peuple syrien finira par voir sa lutte pour la liberté triomphée. NB : Ce passage sur la Syrie a été rédigée en Mai /Juin et en ce mois d’Août où nous continuons de travailler sur ce Dossier, l’Occident vient enfin à contre –cœur, sans aucun doute, face à la détermination du peuple syrien qui refuse de reculer face aux massacres et à la torture, de lancer un appel à la démission de Bashar el-Assad, le tyran sanguinaire syrien.

Pour revenir sur l’Afrique, il convient de noter que si nous avons ouvert une telle parenthèse, c’est pour dire que du jeune frère de Sékou Touré, nous étions loin, très loin à l’époque d’entrevoir l’idée de fils succédant à leurs dictateurs de pères en Afrique et les mots nous manquent pour qualifier la survenue de tels évènements/ en fait de tels horreurs. Si la survenue de tels effroyables évènements contre un continent participent du Programme de destruction de l’Afrique et de ses peuples par l’Occident, nous disons qu’il est trop tôt pour que l’Occident de Domination crie victoire.

Sur un tout autre plan, qu’il vous plaise que nous disions quelques mots sur l’Organisation de la Francophonie qui a vu défiler à sa tête de hautes /éminentes personnalités africaines.

En Juillet 2005, nous avons saisi Son Excellence M. Essy Amara, alors Secrétaire Général de l’OUA par un document intitulé: “Communication sur l’ordre naturel et la nécessité de langues officielles africaines pour l’Afrique.”.Nous avons envoyé copies à Ses Excellences: Monsieur Kofi A. Annan -Secrétaire Général -Organisation des Nations Unies; Monsieur Boutros Boutros-Ghali -Secrétaire Général de l’Organisation de la Francophonie – Il nous souvient avoir reçu une réponse e-mail du Secrétariat Général de l’ONU mais nous sommes, hélas, incapable en ce moment de dire si c’était à propos de ce document précis ou suite à nos nombreuses correspondances avec notre aîné Kofi A. Annan sur l’Afrique. Nous en savons gré pour la réponse qui nous avait été faite.

En Août 2008, nous avons saisi Son Excellence M. Alpha Oumar Konaré sur le même thème par le même document: “Communication sur l’ordre naturel et la nécessité de langues officielles africaines pour l’Afrique.”.Nous avons envoyé copies à Ses Excellences: Monsieur Amr Moussa - Secrétaire Général de la Ligue Arabe; Monsieur Donald Kaberuka – Président du Groupe de la Banque Africaine de Développement –BAD-; Monsieur Ban ki –Moon - Secrétaire Général Organisation des Nations Unies; Monsieur Koïchiro Matsuura - Directeur Général de l’Unesco. Cette fois-ci, une correspondance écrite nous est parvenue de l’Unesco avec des mots bien gentils et un contact. Nous savons gré à son Directeur Général Monsieur Koïchiro Matsuura -.

Nous avons ici relever certains passages de la “Communication sur l’ordre naturel et la nécessité de langues officielles africaines pour l’Afrique.” et nous citons: “Excellence, Monsieur le Secrétaire Général, les peuples africains, faut-il le rappeler ont hérité de la colonisation leurs langues de travail ou langues dites officielles. Aussi, du nord au sud et de l’est à l’ouest, les Africains communiquent-ils entre eux dans les trois principales langues que sont l’anglais, le français et le portugais. Il convient d’admettre que toute langue humaine est un instrument de rapprochement des hommes et de fraternisation des peuples. Autant nous continuons d’affirmer que dans le cadre de “la question africaine”, le mal colonial est un mal absolu, autant nous devons reconnaître que la maîtrise de toutes langues étrangères est un acquis précieux qu’il faut analyser comme telle. Toutefois, la revendication légitime des Africains dès la première grande vague des indépendances dans les années 60 à vouloir se doter d’une langue officielle ou de travail est sans aucun doute conforme à l’ordre naturel et allait dans le bon sens. La langue choisit à l’époque était le “swahili”. Après pratiquement un demi- siècle d’indépendance, force est de reconnaître que l’Afrique ne dispose toujours pas de langue de travail ou langue officielle. Serait-il donc normal ou non de se poser des questions sur les raisons d’un tel échec ? Nous sommes d’avis qu’il est non seulement normal mais impératif d’identifier les causes et de trouver et/ ou proposer des solutions. –
--Au plan géographique, les peuples de la région septentrionale de l’Afrique, soit du Grand Maghreb au Soudan en passant par l’Egypte, partagent en commun l’usage de la langue arabe. Dans la région orientale, australe et centrale, l’influence du swahili est perceptible. Quant à la partie occidentale du continent, le haoussa semble être la langue la plus répandue. Si du point de vue de l’histoire, il paraîtrait que l’arabe et le swahili partagent une certaine affinité, ce n’est sans doute pas le cas du haoussa.

-- Conditions préalables à la mise en place des langues officielles ou de travail en Afrique.
-La mise en place de toutes langues officielles ou de travail en Afrique (en l’occurrence le swahili, l’arabe et le haoussa) doit s’accompagner d’une garantie absolue de préservation et de pérennisation de toutes les langues africaines existantes. En fait les peuples africains se doivent de reconnaître que la plus petite langue vernaculaire participe à la richesse linguistique du continent et qu’à ce titre il constitue un patrimoine qu’il faut impérativement et rigoureusement conserver.” Notons que nous avons eu à publier à plusieurs reprises la “Communication sur l’ordre naturel et la nécessité de langues officielles africaines pour l’Afrique.” Nous nous ferons le devoir de le rediffuser si nécessaire.

Retenons que s’il nous a paru très important de dire quelques mots sur l’Organisation de la Francophonie dont l’actuel Secrétaire Général n’est autre que le Président Abdou Diouf, aîné/homme de grande qualité que nous respectons bien tout en ne partageant point du tout sa position sur la crise ivoirienne, c’est qu’au moment où l’on parle/célèbre la Francophonie, le grand paradoxe/oubli est que personne ne se soucie d’évoquer l’Africaphonie / langues officielles africaines pour l’Afrique. Voici l’autre facette de la douloureuse réalité de l’Afrique du 21ième siècle.

© Correspondance : Mamavi Sylvain ATTIGLAH

( camer.be)
Mercredi 30 Novembre 2011