Dans un échange avec la presse, le syndicat national des artistes professionnels de la culture (SYNAPROCS) est monté au créneau pour dénoncer la réélection de Ngoné Ndour au poste de la présidente du conseil d’administration de la Sodav. Selon les membres du SYNAPROCS, il s’agit d’une dérive qui ne dit pas son nom.
Selon Vieux Mac Faye, représentant du SYNAPROCS, secrétaire général adjoint, le fait de briguer un mandat est une chose interdite au Sénégal. Il ne comprend pas le fait de vouloir faire un quatrième mandat qui ne doit pas l’être. A en croire ses propos, « ce n’est pas un troisième mandat, c’est un quatrième mandat. Au nom des différentes corporations qui sont présentes, le secrétaire adjoint parle d’un mandat de trop. Certes les textes le lui permettent, mais il est clair que ce sont les ordres qui l’ont fait gagner. Face à une telle situation, les syndicalistes ne comptent pas lâcher prise avant d’obtenir gain de cause.
Joseph Léon Dia, membre du SYNAPROCS ne mâche pas ses mots. D’après lui, le problème principal découle de Ngoné Ndour qui est à la tête de la SODAV depuis 2016 suite à un putsch qui ne dit pas son nom .Ce dernier de préciser qu’une assemblée extraordinaire a été organisée après celle dite ordinaire pour changer les statuts en 2019. C’est dans ses changements de statuts qui ont été votés par les membres du conseil d’administration sous la direction de Ngoné Ndour ,qu’elle a même pris l’initiative d’emmener les statuts pour la signature chez le notaire. C’est ainsi qu’ils ont changé la formule de vote pour les tiers sortants. Autrement dit, parmi les 36 membres dont 12 sortants, Ngoné Ndour a eu le privilège de choisir les 24 qui restent. Par ailleurs, il a aussi attiré l’attention sur la complicité des gens qui ne sont là que pour leurs propres intérêts.
En tout état de cause, « le combat ne s’arrête pas, on va faire le plutôt possible une assemblée générale extraordinaire. On va prendre le ministère, le président de la République et le premier ministre comme arbitre pour changer ses statuts qui nous permettent de rester à vie à la tête de la SODAV », prévient-il.
Selon Vieux Mac Faye, représentant du SYNAPROCS, secrétaire général adjoint, le fait de briguer un mandat est une chose interdite au Sénégal. Il ne comprend pas le fait de vouloir faire un quatrième mandat qui ne doit pas l’être. A en croire ses propos, « ce n’est pas un troisième mandat, c’est un quatrième mandat. Au nom des différentes corporations qui sont présentes, le secrétaire adjoint parle d’un mandat de trop. Certes les textes le lui permettent, mais il est clair que ce sont les ordres qui l’ont fait gagner. Face à une telle situation, les syndicalistes ne comptent pas lâcher prise avant d’obtenir gain de cause.
Joseph Léon Dia, membre du SYNAPROCS ne mâche pas ses mots. D’après lui, le problème principal découle de Ngoné Ndour qui est à la tête de la SODAV depuis 2016 suite à un putsch qui ne dit pas son nom .Ce dernier de préciser qu’une assemblée extraordinaire a été organisée après celle dite ordinaire pour changer les statuts en 2019. C’est dans ses changements de statuts qui ont été votés par les membres du conseil d’administration sous la direction de Ngoné Ndour ,qu’elle a même pris l’initiative d’emmener les statuts pour la signature chez le notaire. C’est ainsi qu’ils ont changé la formule de vote pour les tiers sortants. Autrement dit, parmi les 36 membres dont 12 sortants, Ngoné Ndour a eu le privilège de choisir les 24 qui restent. Par ailleurs, il a aussi attiré l’attention sur la complicité des gens qui ne sont là que pour leurs propres intérêts.
En tout état de cause, « le combat ne s’arrête pas, on va faire le plutôt possible une assemblée générale extraordinaire. On va prendre le ministère, le président de la République et le premier ministre comme arbitre pour changer ses statuts qui nous permettent de rester à vie à la tête de la SODAV », prévient-il.
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