Le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye a affirmé, jeudi à Saint-Louis, que la parenté à plaisanterie ‘’est l’une des valeurs les plus positives et les plus représentatives de nos cultures partagées’’, soulignant que ‘’nous la vivons et la pratiquons au quotidien’’.
Pour le Premier ministre, qui ouvrait officiellement la septième édition du Festival national des arts et de la culture (FESNAC) au stade Me Babacar Sèye, ‘’il s’agit, pour des groupes ethniques, de tisser entre eux des liens de cousinage leur permettant, par le biais de la plaisanterie, de maintenir solides et durables leurs rapports’’.
Il a ainsi proposé que ‘’le Sénégal propose son inscription au patrimoine immatériel de l’humanité et nous allons travailler pour une telle réalisation’’. Le Premier ministre, qui s’est félicité de la tenue de ce festival qui favorise le brassage des populations, a mis en avant la politique culturelle du gouvernement avec notamment la place occupée par le genre dans la nouvelle orientation.
‘’Dans cette perspective, la dimension genre de la culture, longtemps peu perceptible, est en train de prendre une dimension appréciable’’, a-t-il dit, ajoutant que ‘’le programme du FESNAC donne une ouverture aux femmes artistes avec une exposition qui leur est consacrée’’.
M. Ndiaye, qui a fait un tour des quatorze délégations régionales, a dit que ‘’les femmes portent aujourd’hui la culture, assurent sa préservation et sa transmission aux générations futures’’.
‘’Nous sommes en train de préparer des dispositions réglementaires à même de permettre au créateur de vivre de son art et d’être un agent de développement à part entière’’, a affirmé le Premier ministre.
Durant quatre jours Saint-Louis, va abriter des compétitions entre régions, en danse, musique et théâtre.
Outre les récompenses d’un montant d’un million de francs données aux meilleurs groupe par discipline, un prix Douta Seck d’un montant d’1,5 million est prévu.
Des conférences sur le thème de la parenté à plaisanterie figurent aussi au programme du FESNAC.
Pour le Premier ministre, qui ouvrait officiellement la septième édition du Festival national des arts et de la culture (FESNAC) au stade Me Babacar Sèye, ‘’il s’agit, pour des groupes ethniques, de tisser entre eux des liens de cousinage leur permettant, par le biais de la plaisanterie, de maintenir solides et durables leurs rapports’’.
Il a ainsi proposé que ‘’le Sénégal propose son inscription au patrimoine immatériel de l’humanité et nous allons travailler pour une telle réalisation’’. Le Premier ministre, qui s’est félicité de la tenue de ce festival qui favorise le brassage des populations, a mis en avant la politique culturelle du gouvernement avec notamment la place occupée par le genre dans la nouvelle orientation.
‘’Dans cette perspective, la dimension genre de la culture, longtemps peu perceptible, est en train de prendre une dimension appréciable’’, a-t-il dit, ajoutant que ‘’le programme du FESNAC donne une ouverture aux femmes artistes avec une exposition qui leur est consacrée’’.
M. Ndiaye, qui a fait un tour des quatorze délégations régionales, a dit que ‘’les femmes portent aujourd’hui la culture, assurent sa préservation et sa transmission aux générations futures’’.
‘’Nous sommes en train de préparer des dispositions réglementaires à même de permettre au créateur de vivre de son art et d’être un agent de développement à part entière’’, a affirmé le Premier ministre.
Durant quatre jours Saint-Louis, va abriter des compétitions entre régions, en danse, musique et théâtre.
Outre les récompenses d’un montant d’un million de francs données aux meilleurs groupe par discipline, un prix Douta Seck d’un montant d’1,5 million est prévu.
Des conférences sur le thème de la parenté à plaisanterie figurent aussi au programme du FESNAC.