Les responsables du mouvement de protestation M23 ont appelé jeudi à la démission du ministre sénégalais de l’Intérieur, Ousmane Ngom, afin que le Sénégal "retrouve la paix et la stabilité".
L’Etat est ‘’l’unique responsable des morts’’ lors des rassemblements organisés par le M23, qui proteste contre la candidature du président sortant Abdoulaye Wade, selon le porte-parole du mouvement protestataire, Cheikh Tidiane Dièye.
Quatre personnes ont perdu la vie depuis le 27 janvier dernier lors de manifestations organisées par le M23, jour où le Conseil constitutionnel a rendu publique la liste des 14 candidatures retenues pour la présidentielle du 26 février prochain, dont celle du président Abdoulaye Wade.
‘’L’Etat du Sénégal a toujours mis une tactique pour infiltrer des provocateurs et des calots bleus dans notre mouvement pour exciter les jeunes et amener les policiers à agresser les manifestants’’, a accusé M. Dièye.
‘’Mais nous allons continuer le combat en procédant à une résistance multiforme et pacifique pour contraindre le régime de Wade à céder devant la volonté populaire’’, a-t-il affirmé.
Composé de plusieurs partis politiques de l’opposition et d’acteurs de la société civile, le M23 conteste la légalité de la candidature du président Abdoulaye Wade à un nouveau mandat en 2012. Il a été élu respectivement en 2000 et en 2007.
L’Etat est ‘’l’unique responsable des morts’’ lors des rassemblements organisés par le M23, qui proteste contre la candidature du président sortant Abdoulaye Wade, selon le porte-parole du mouvement protestataire, Cheikh Tidiane Dièye.
Quatre personnes ont perdu la vie depuis le 27 janvier dernier lors de manifestations organisées par le M23, jour où le Conseil constitutionnel a rendu publique la liste des 14 candidatures retenues pour la présidentielle du 26 février prochain, dont celle du président Abdoulaye Wade.
‘’L’Etat du Sénégal a toujours mis une tactique pour infiltrer des provocateurs et des calots bleus dans notre mouvement pour exciter les jeunes et amener les policiers à agresser les manifestants’’, a accusé M. Dièye.
‘’Mais nous allons continuer le combat en procédant à une résistance multiforme et pacifique pour contraindre le régime de Wade à céder devant la volonté populaire’’, a-t-il affirmé.
Composé de plusieurs partis politiques de l’opposition et d’acteurs de la société civile, le M23 conteste la légalité de la candidature du président Abdoulaye Wade à un nouveau mandat en 2012. Il a été élu respectivement en 2000 et en 2007.
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