Pensé par des Sud-africains, construit par des Sud-africains, l' « Advanced high performance reconnaissance light aircraft » est un appareil assez compact, qui peut accueillir un pilote et un copilote, et qui se veut facilement modulable.
L’AHRLAC pourrait être destiné à de la surveillance aérienne classique, mais aussi accueillir du matériel électronique afin de faire du renseignement, ou encore être armé. Il s’agit donc d’un appareil pour des missions civiles ou militaires.
Ses concepteurs ont voulu un avion capable de décoller et d’atterrir sur des pistes courtes, sans grand support logistique. Il devrait être commercialisé à la fin 2013 en principe et devrait coûter moins de 10 millions de dollars pièce.
Pour Anton Kruger, spécialiste des questions de défense à l’Institut d’études de sécurité, Paramount et Aérosud ont choisi là une bonne option : les Etats ont besoin d’avions capables de surveiller leur territoire et celui-ci se présente comme le moins cher du marché. D’autant qu’il devrait être capable de transporter beaucoup d’équipements.
Et l’avion a vocation à s’exporter : le patron du groupe Paramount, Ivor Ichikowitz, qui vend des véhicules blindés en Afrique de l’Ouest et au Moyen-Orient notamment, compte bien proposer à terme à ses clients des contrats qui incluront l’avion avec les véhicules au sol.
( RFI )
L’AHRLAC pourrait être destiné à de la surveillance aérienne classique, mais aussi accueillir du matériel électronique afin de faire du renseignement, ou encore être armé. Il s’agit donc d’un appareil pour des missions civiles ou militaires.
Ses concepteurs ont voulu un avion capable de décoller et d’atterrir sur des pistes courtes, sans grand support logistique. Il devrait être commercialisé à la fin 2013 en principe et devrait coûter moins de 10 millions de dollars pièce.
Pour Anton Kruger, spécialiste des questions de défense à l’Institut d’études de sécurité, Paramount et Aérosud ont choisi là une bonne option : les Etats ont besoin d’avions capables de surveiller leur territoire et celui-ci se présente comme le moins cher du marché. D’autant qu’il devrait être capable de transporter beaucoup d’équipements.
Et l’avion a vocation à s’exporter : le patron du groupe Paramount, Ivor Ichikowitz, qui vend des véhicules blindés en Afrique de l’Ouest et au Moyen-Orient notamment, compte bien proposer à terme à ses clients des contrats qui incluront l’avion avec les véhicules au sol.
( RFI )