‘’Laay njomboor’’, ‘’Samba allaar’’ !
« La meilleure manière de tuer ton ennemi, c’est d’être généreux avec lui »
Proverbe nigérian
C’est facile de dépenser l'argent sans compter, surtout l'argent des autres. Avec Abdoulaye Wade nous en avons la parfaite illustration. II n’arrive pas un seul jour sans que l’on n’entende évoquer les largesses financières du président à l’endroit de ceux qui viennent le voir au palais de la république. Plutôt, on devrait dire à la ‘’poubelle de la rue-publique’’ car depuis un certain temps, avec l’arrivée de son nouveau locataire, ce lieu ressemble plus à un coin de rendez-vous des opportunistes et des guignols, qu’à autre chose. C’est devenu un rituel, et ce serait une malédiction de sortir d’une audience sans s’en mettre plein les poches. Le contraire aurait étonné, tant le locataire de l’avenue Léopold- Sédar-Senghor a la réputation d’un expert en manipulation doublé d’un corrupteur chevronné qui voit en tout sénégalais un opportuniste, un lâche ou un vendu, comme l’a d’ailleurs fait remarquer son épouse Viviane Wade.
Pendant que le fils passe son temps dans les airs à s’amuser avec son jet-privé, le père lui gaspille dans l’air l’argent du contribuable sénégalais : un père pathétique, un fils ridicule ! Naïf, celui qui ose miser encore sur ce ticket looser.
‘’Xalaas’’ !
Pour séduire et manipuler, Abdoulaye ne mise que sur l’argent. Dictateur et populiste, il est convaincu qu’avec de l’argent on arrive à entretenir sa cour et acheter les consciences quand la ruse ne suffit plus.
La solidarité d’Abdoulaye Wade ne s’exprime finalement qu’à travers l’argent, et quand il n’y en a pas assez ou plus, il faut en trouver par tous les moyens et où qu’il puisse se trouver. La pratique est à l’image du personnage, un sans foi, ni loi, aucun scrupule et incapable de la moindre compassion envers les plus démunis.
Les largesses du président c’est toujours envers les riches et jamais envers ceux qui en ont le plus besoin. II ne fait preuve d'aucun esprit de solidarité envers ceux qui souffrent à cause de son régime malhonnête, corrompu et injuste.
Maitre aime crier sur tous les toits qu’il a fabriqué des milliardaires. Mais, on aimerait lui rappeler qu’il a en même temps grossi le rang des « gòor-gòorlu ».
« C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches », disait Victor Hugo. Bienvenue dans l’univers de « njomboor » ! Un coin sans pitié pour les pauvres qui pour s’échapper des griffes des prédateurs n’ont qu’une seule issue Barcelone ou « barsax », s’immoler ou être piétiné, ou pire s’adonner à des spectacles de « gladiators » les dimanches, et nervis le reste de la semaine.
De Segura à Balla Gaye, les largesses de « njomboor » n’ont plus de frontières.
Jadis ! Le jomm, le ngor auraient pu devenir des remparts à cette forme de corruption.
Me voilà transporté « Ci sama SENEGALESE DREAM... ». J’entends, le lutteur BALLLA GAYE renoncer aux millions et à la voiture qui lui ont été donnés par l’état. Balla GAYE déclare « Au nom de ce peuple le SENEGAL dont je suis une partie intégrante et qui a fait de la lutte traditionnelle sénégalaise l’organisation la plus importante du monde, indépendante de la politique je refuse cet argent qui pour ma part et selon mon staff irait mieux au paiement de SENEGALAIS travailleurs encore en grève de la faim pour le paiement de leur salaire. C’est à des hommes de notre renommée, qui sont portés et enrichis par le peuple de faire entendre l’intérêt du peuple en refusant des dons farfelus et indignes. Moi, je n’ai que le Sénégal, aucun appartement à Paris…Nous devons être l’écho de ceux qui crient et qu’on ignore ».
A côté de lui dans une barque se trouvent, le grand imam de Dakar, El-Hadj Pape Alioune Moussa Samb et L’archevêque de Dakar Monseigneur Théodore Adrien Sarr. Dans leur neutralité légendaire par rapport à la politique, ils énoncent, en compagnie des représentants des Tariixa Mouride, Tidiane, Layene, Niassène, Khadriya : « mes frères ! N’oublions pas que nous sommes frères. Notre pays traverse depuis quelques années une division organisée. .
Plus que l’argent nous voulons léguer de la fierté à nos enfants. Nous voulons leur léguer plus encore : de l’éducation de la formation, un aménagement adéquat de leurs habitats, les possibilités de pérenniser les acquis du Sénégal. Entendez un avenir au Sénégal à travers des emplois. Xale yi war nañu am liggey. Combien de jeunes de plus de 24 ans n’ont pas de travail. Nous devons réclamer de la dignité et de l’avenir pour nos enfants. Sinon demain on nous demandera des comptes. FII AK FËLE ! »
Soudain je reviens à la réalité !
Pour trouver de l’argent, maitre se proclame expert, mais pour le gaspiller également il n’a pas d’égal. Certains s’étonnent du montant des sommes distribuées et d’autres de leur provenance. Ne cherchons pas très loin. Il n’existe pas au palais des machines à fabriquer des sous, ou des luxus kat encore moins une baguette magique à fric !
L’argent, Wade le trouve dans les portes monnaie des sénégalais. Après avoir pillé nos parents restés au pays, njomboor est en train d’escroquer les émigrés en augmentant par-ci les taxes sur les appels entrants, par là les taxes aéroportuaires, par là-bas les transports et encore et encore !
La solidarité de Wade rime toujours avec corruption. Même avec ses pires ennemis, il a réussi, grâce à l’argent, en à faire des alliés fidèles. Pour payer les salaires des soldats handicapés, ou les bourses des étudiants, les caisses sont vides. Mais, pour corrompre, il y’en a plus et encore. On connaissait njomboor rusé et espiègle, on découvre maintenant njomboor samba allaar !
Jusqu’à quand allons-nous subir les caprices de ce monarque ?
DU SOPI NDEKETE YÒO DU SOPI….SAMBA ALLAAR LÊ !
Gaye Fatou et Fall Papa Malick
Mouvement Notre Sénégal / TRESJUSTE (pour le travail, l’émergence du Sénégal, la justice, l’unité, et la solidarité territoriale.
« La meilleure manière de tuer ton ennemi, c’est d’être généreux avec lui »
Proverbe nigérian
C’est facile de dépenser l'argent sans compter, surtout l'argent des autres. Avec Abdoulaye Wade nous en avons la parfaite illustration. II n’arrive pas un seul jour sans que l’on n’entende évoquer les largesses financières du président à l’endroit de ceux qui viennent le voir au palais de la république. Plutôt, on devrait dire à la ‘’poubelle de la rue-publique’’ car depuis un certain temps, avec l’arrivée de son nouveau locataire, ce lieu ressemble plus à un coin de rendez-vous des opportunistes et des guignols, qu’à autre chose. C’est devenu un rituel, et ce serait une malédiction de sortir d’une audience sans s’en mettre plein les poches. Le contraire aurait étonné, tant le locataire de l’avenue Léopold- Sédar-Senghor a la réputation d’un expert en manipulation doublé d’un corrupteur chevronné qui voit en tout sénégalais un opportuniste, un lâche ou un vendu, comme l’a d’ailleurs fait remarquer son épouse Viviane Wade.
Pendant que le fils passe son temps dans les airs à s’amuser avec son jet-privé, le père lui gaspille dans l’air l’argent du contribuable sénégalais : un père pathétique, un fils ridicule ! Naïf, celui qui ose miser encore sur ce ticket looser.
‘’Xalaas’’ !
Pour séduire et manipuler, Abdoulaye ne mise que sur l’argent. Dictateur et populiste, il est convaincu qu’avec de l’argent on arrive à entretenir sa cour et acheter les consciences quand la ruse ne suffit plus.
La solidarité d’Abdoulaye Wade ne s’exprime finalement qu’à travers l’argent, et quand il n’y en a pas assez ou plus, il faut en trouver par tous les moyens et où qu’il puisse se trouver. La pratique est à l’image du personnage, un sans foi, ni loi, aucun scrupule et incapable de la moindre compassion envers les plus démunis.
Les largesses du président c’est toujours envers les riches et jamais envers ceux qui en ont le plus besoin. II ne fait preuve d'aucun esprit de solidarité envers ceux qui souffrent à cause de son régime malhonnête, corrompu et injuste.
Maitre aime crier sur tous les toits qu’il a fabriqué des milliardaires. Mais, on aimerait lui rappeler qu’il a en même temps grossi le rang des « gòor-gòorlu ».
« C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches », disait Victor Hugo. Bienvenue dans l’univers de « njomboor » ! Un coin sans pitié pour les pauvres qui pour s’échapper des griffes des prédateurs n’ont qu’une seule issue Barcelone ou « barsax », s’immoler ou être piétiné, ou pire s’adonner à des spectacles de « gladiators » les dimanches, et nervis le reste de la semaine.
De Segura à Balla Gaye, les largesses de « njomboor » n’ont plus de frontières.
Jadis ! Le jomm, le ngor auraient pu devenir des remparts à cette forme de corruption.
Me voilà transporté « Ci sama SENEGALESE DREAM... ». J’entends, le lutteur BALLLA GAYE renoncer aux millions et à la voiture qui lui ont été donnés par l’état. Balla GAYE déclare « Au nom de ce peuple le SENEGAL dont je suis une partie intégrante et qui a fait de la lutte traditionnelle sénégalaise l’organisation la plus importante du monde, indépendante de la politique je refuse cet argent qui pour ma part et selon mon staff irait mieux au paiement de SENEGALAIS travailleurs encore en grève de la faim pour le paiement de leur salaire. C’est à des hommes de notre renommée, qui sont portés et enrichis par le peuple de faire entendre l’intérêt du peuple en refusant des dons farfelus et indignes. Moi, je n’ai que le Sénégal, aucun appartement à Paris…Nous devons être l’écho de ceux qui crient et qu’on ignore ».
A côté de lui dans une barque se trouvent, le grand imam de Dakar, El-Hadj Pape Alioune Moussa Samb et L’archevêque de Dakar Monseigneur Théodore Adrien Sarr. Dans leur neutralité légendaire par rapport à la politique, ils énoncent, en compagnie des représentants des Tariixa Mouride, Tidiane, Layene, Niassène, Khadriya : « mes frères ! N’oublions pas que nous sommes frères. Notre pays traverse depuis quelques années une division organisée. .
Plus que l’argent nous voulons léguer de la fierté à nos enfants. Nous voulons leur léguer plus encore : de l’éducation de la formation, un aménagement adéquat de leurs habitats, les possibilités de pérenniser les acquis du Sénégal. Entendez un avenir au Sénégal à travers des emplois. Xale yi war nañu am liggey. Combien de jeunes de plus de 24 ans n’ont pas de travail. Nous devons réclamer de la dignité et de l’avenir pour nos enfants. Sinon demain on nous demandera des comptes. FII AK FËLE ! »
Soudain je reviens à la réalité !
Pour trouver de l’argent, maitre se proclame expert, mais pour le gaspiller également il n’a pas d’égal. Certains s’étonnent du montant des sommes distribuées et d’autres de leur provenance. Ne cherchons pas très loin. Il n’existe pas au palais des machines à fabriquer des sous, ou des luxus kat encore moins une baguette magique à fric !
L’argent, Wade le trouve dans les portes monnaie des sénégalais. Après avoir pillé nos parents restés au pays, njomboor est en train d’escroquer les émigrés en augmentant par-ci les taxes sur les appels entrants, par là les taxes aéroportuaires, par là-bas les transports et encore et encore !
La solidarité de Wade rime toujours avec corruption. Même avec ses pires ennemis, il a réussi, grâce à l’argent, en à faire des alliés fidèles. Pour payer les salaires des soldats handicapés, ou les bourses des étudiants, les caisses sont vides. Mais, pour corrompre, il y’en a plus et encore. On connaissait njomboor rusé et espiègle, on découvre maintenant njomboor samba allaar !
Jusqu’à quand allons-nous subir les caprices de ce monarque ?
DU SOPI NDEKETE YÒO DU SOPI….SAMBA ALLAAR LÊ !
Gaye Fatou et Fall Papa Malick
Mouvement Notre Sénégal / TRESJUSTE (pour le travail, l’émergence du Sénégal, la justice, l’unité, et la solidarité territoriale.