APA-Ouagadougou (Burkina Faso) La tombe de l’ancien président du Burkina Faso, le capitaine Thomas Sankara, sise au quartier Dagnoën (Centre-est de Ouagadougou) a été partiellement endommagée, a constaté APA, vendredi.
C’est la partie supérieure de la tombe du père de la révolution burkinabé où est inscrite l’épitaphe qui a été détruite.
Dès que la nouvelle a été donnée par un quotidien local, le cimetière de Dagnoën a été pris d’assaut par plusieurs habitants de Ouagadougou, désireux de comprendre ce qui s’est réellement passé.
En attendant l’aboutissement de l’enquête qui a été ouverte,
Les commentaires vont bon train dans la capitale du pays des hommes intègres. Certains pensent qu’il s’agit d’un acte de sabotage du régime en place, là où d’autres estiment qu’il s’agirait simplement de l’oeuvre d’un malade mental.
Thomas Sankara a été assassiné le 15 octobre 1987 avec douze de ses camarades, lors d’un coup d’Etat dit de rectification, selon ses auteurs.
Les treize hommes ont tous été enterrés dans le même cimetière qui a été récemment clôturé. Cependant, les treize tombes sont pour le moment, sans protection particulière.
Depuis la mort du capitaine Sankara, l’actuel président du Faso, Blaise Compaoré, dirige toujours le pays.
C’est la partie supérieure de la tombe du père de la révolution burkinabé où est inscrite l’épitaphe qui a été détruite.
Dès que la nouvelle a été donnée par un quotidien local, le cimetière de Dagnoën a été pris d’assaut par plusieurs habitants de Ouagadougou, désireux de comprendre ce qui s’est réellement passé.
En attendant l’aboutissement de l’enquête qui a été ouverte,
Les commentaires vont bon train dans la capitale du pays des hommes intègres. Certains pensent qu’il s’agit d’un acte de sabotage du régime en place, là où d’autres estiment qu’il s’agirait simplement de l’oeuvre d’un malade mental.
Thomas Sankara a été assassiné le 15 octobre 1987 avec douze de ses camarades, lors d’un coup d’Etat dit de rectification, selon ses auteurs.
Les treize hommes ont tous été enterrés dans le même cimetière qui a été récemment clôturé. Cependant, les treize tombes sont pour le moment, sans protection particulière.
Depuis la mort du capitaine Sankara, l’actuel président du Faso, Blaise Compaoré, dirige toujours le pays.