DAKARACTU.COM S'il y a une candidature qui soulève divergences et passions au sein de Bennoo, c'est bien celle de l'ancien ministre des Affaires étrangères, Ibrahima Fall. Les avis sont d'autant plus partagés qu'elle intéresse.
Des personnalités de la société civile comme Penda Mbow estiment que Fall devait, au lieu d'être candidat, constituer une sorte de force symbolique, un régulateur qui, à l'image d'Amadou Mahtar Mbow, se met au-dessus de la mêlée pour jouer le rôle d'arbitre. Des politiques comme Imam Mbaye Niang et Madièye Mbodj estiment qu'il peut participer à la course mais pas en faisant cavalier seul. Et ont à cet effet rencontré Ibrahima Fall pour lui demander de venir compétir au sein de Bennoo Siggil Senegaal au lieu de se présenter comme candidat indépendant. Ce qui, à leurs yeux, est une façon de disperser les forces favorables aux conclusions des Assises nationales. Fall était le vice-président du bureau de ces Assises.
D'autres comme Mame Adama Guèye sont tout à fait opposés à ce que l'ex-secrétaire général adjoint des Nations-unies brigue la magistrature suprême. Ils pensent que c'est pour lui une manière quelque peu malsaine de vouloir récupérer une situation alors qu'il s'est toujours tenu à l'écart des luttes sociales.
Sans doute à cause du pedigree du personnage et des remous qu'il peut entraîner sur le rapport des forces, la candidature d'Ibrahima Fall ne laisse pas indifférent.
Des personnalités de la société civile comme Penda Mbow estiment que Fall devait, au lieu d'être candidat, constituer une sorte de force symbolique, un régulateur qui, à l'image d'Amadou Mahtar Mbow, se met au-dessus de la mêlée pour jouer le rôle d'arbitre. Des politiques comme Imam Mbaye Niang et Madièye Mbodj estiment qu'il peut participer à la course mais pas en faisant cavalier seul. Et ont à cet effet rencontré Ibrahima Fall pour lui demander de venir compétir au sein de Bennoo Siggil Senegaal au lieu de se présenter comme candidat indépendant. Ce qui, à leurs yeux, est une façon de disperser les forces favorables aux conclusions des Assises nationales. Fall était le vice-président du bureau de ces Assises.
D'autres comme Mame Adama Guèye sont tout à fait opposés à ce que l'ex-secrétaire général adjoint des Nations-unies brigue la magistrature suprême. Ils pensent que c'est pour lui une manière quelque peu malsaine de vouloir récupérer une situation alors qu'il s'est toujours tenu à l'écart des luttes sociales.
Sans doute à cause du pedigree du personnage et des remous qu'il peut entraîner sur le rapport des forces, la candidature d'Ibrahima Fall ne laisse pas indifférent.