La FNCL répond à la proposition de Gadio de mettre en place un Conseil national de transition


C’est avec une grande consternation et déception que la FNCL a pris connaissance des propos immatures et irresponsables du Dr Cheikh Tidiane Gadio avec le funeste scenario de mise en place d’un Conseil national de transition à l’instar de ce qui s’est passé en Libye et l’organisation d’une élection présidentielle parallèle.

Ces propositions ubuesques et saugrenues d’un candidat sans aucune assise populaire, inconnu de ses concitoyens électeurs, et absolument convaincu que les résultats des urnes le discréditeront à jamais auprès de ses maitres blancs ne sont que la manifestation du désarroi et de la hantise qui l’animent face à cette réalité.

Après sa stratégie odieuse et vaine de planification de campagnes de dénigrement à l’étranger en lieu et place d’un véritable travail de maillage du territoire national avec des idées sur les thèmes qui intéressent nos compatriotes, voilà Mr Gadio à la solde de forces tapies dans l’ombre, qui jette le masque dans son entreprise de déstabilisation de notre pacte de stabilité national.

A cet activiste et nostalgique revanchard, véritable nain électoral, mais bercé par son utopie et qui prétend parler au nom d’un peuple dont il ignore les profondes aspirations, la FNCL rappelle encore une fois que c’est le peuple sénégalais, qui est l’unique décideur de l’issue du jeu électoral dans notre pays et non la communauté internationale.


La FNCL rappelle pour une dernière fois à cet obscur candidat, à la moralité douteuse, qui se révèle être un véritable délinquant en col blanc, fraudeur avec les services fiscaux de son pays, et en quête d’une nouvelle vocation de chantre de la néo colonisation, l’impertinence de dépenser les maigres ressources collectées auprès d’obscures bailleurs car la messe est déjà dite pour le 26 février 2012 au regard de l’engouement populaire et la ferveur qui accompagnent le candidat des FAL 2012.

Enfin, La FNCL regrette encore une fois que cette période qui devait être un grand moment d’exercice de la démocratie, avec des échanges programmatiques sur la vision du Sénégal à l’horizon 2020, au regard de l’immensité des réalisations de notre régime pour construire un Sénégal émergent, soit hélas, cannibalisée par une opposition frileuse à souhait qui ne veut point s’aventurer sur le terrain du bilan et des programmes, mais uniquement sur celui de la désinformation et de la fuite en avant.





Fait et passé à Dakar,

le 07 février 2012


Le chargé de la Communication, Porte parole,


ABDOU KHAFOR TOURE
Mardi 7 Février 2012
ABDOU KHAFOR TOURE