L’honorable député Abdou Lahad Seck Sadaga, vendeur de moutons en cette vielle de tabaski, a effectué une tournée dans certains foirails de la cité religieuse de Touba, « en tant qu’élu du peuple », pour s’enquérir, dit-il, de l’état des lieux. Son impression est la suivante : « l’Etat du Sénégal, à travers son ministère de l’Elevage, a tenu promesse. Il y a suffisamment de moutons partout dans le pays. Les frontières ont été ouvertes et aucune taxe n’a été appliquée sur la marchandise! » Toutefois, le parlementaire s’étonne de remarquer que les tarifs sont toujours élevés. « Nous avons remarqué que les moutons coûtent cher. Ce qui est paradoxal. Je tiens à signaler que l’Etat n’a aucune responsabilité dans cet état de fait. J’invite les vendeurs de moutons à savoir raison garder ».
Rappelant qu’il vend lui-même des moutons, le député confie que son objectif n’est point d’engranger des bénéfices, mais juste d’aider les populations à se procurer l’animal sans être obligées de débourser des fortunes. Il invite l’Etat du Sénégal à encourager l’initiative privée locale pour éviter que le pays ne soit toujours obligé de faire appel aux éleveurs de la sous-région pour combler le gap.
Rappelant qu’il vend lui-même des moutons, le député confie que son objectif n’est point d’engranger des bénéfices, mais juste d’aider les populations à se procurer l’animal sans être obligées de débourser des fortunes. Il invite l’Etat du Sénégal à encourager l’initiative privée locale pour éviter que le pays ne soit toujours obligé de faire appel aux éleveurs de la sous-région pour combler le gap.