Je savais pertinemment que Karim Wade était menteur mais, jusque-là j’ignorais qu’il puisse mentir maladroitement à ce point. En effet, rattrapé par son petit passé lugubre et non glorieux, celui qui ne fut rien et qui est devenu tout, veut un autre acolyte outre que son père dans sa descente aux enfers.
Dans ce choix réfléchi et ciblé, l’option se porte assurément sur celui qui empêche le régime de tourner en rond. Ce dernier n’est personne d’autre que le Président Idrissa Seck avec sa pertinence, son charisme, son leadership, sa popularité, sa capacité à freiner les ardeurs inavouées et froides ambitions des marchands d’illusions de la trempe de M. 15°/°.
Prenant Wade fils aux mots, il me plait de démonter pièce par pièce sa triste chaine de mensonge :
Primo : « Chirac dit-il, par le truchement de Robert Bourgi en 1999, a donné à Idrissa 100 millions pour qu’il soutienne Diouf ».
Là Karim donne du crédit, de la valeur à son « tonton Bourgi» qu’il peignait ailleurs comme calomniateur, diffamateur quand son discours ramait à contre-courant de ses aspirations (500 millions remis à Vulpin).
Secundo: « Idrissa rejoint Wade en France et tente de le dissuader de sa participation à l’élection présidentielle de 2000 ».
Ici la question qui taraude l’esprit de tout observateur averti c’est qu’est-ce qui aurait empêché à Idy de rester au Sénégal en attendant Wade de pied ferme tout en torpillant la vie des structures du PDS avant de le quitter tout bonnement comme ce fut le cas de Ousmane Ngom par exemple ?
N’est-ce pas Wade, qui de retour de la France et satisfait de l’intérim de Mara qui s’adressait ainsi à lui: « je t’ai laissé un parti, tu m’as rendu un parti et demi »?
Tertio : « Mon père en ma présence (c’est Karim qui parle) dit à Idrissa Seck : Toi aussi mon fils, arrêtes, je sais qu’on t’a acheté et Idrissa Seck baisse la tête et se met à pleurer ».
Il urge de montrer ici que seul Karim qui imagine de toute pièce ce scénario, pourrait, en sa qualité d’éternel enfant, en être l’acteur. Comment Idrissa qui a purgé injustement 07 mois de prison, victime avec son entourage du complot d’Etat le plus ourdi de l’histoire politique du pays sans gémir, puisse pleurer devant un tel fait ? Mieux en 1999, là où la valeur marchande du potentiel d’Idrissa s’évaluait à une centaine de millions pour juste une question de dissuasion, lui Karim fils de Wade quelle était son poids ? RIEN DU TOUT me diriez-vous !!!
C’est vrai que les plus lâches, pour laver les souillures indélébiles qui ont fini d’entacher leur « honneur », se cachent derrière des communiqués de presse pour distiller des allégations et des contrevérités aux fins d’attenter à l’honorabilité de respectables citoyens à l’image du Président Idrissa.
Il faut rappeler, dans la foulée, l’exigence des sénégalais dans leur entièreté à entendre, de vive voix, Wade fils qui ne leur a pas édifié sur ses agissements depuis le 23 juin 2011. Son silence de mort n’est rien d’autre que le reflet de sa médiocrité prétentieuse.
De toutes manières, il vient une fois encore de montrer ses limites en déshonorant en tant que ministre du ciel et de la terre, ses concitoyens en voulant semble-t-il, préserver son « honneur » à lui.
Par conséquent, du fait qu’Idy ne boxe jamais dans le même ring que ce gosse, le peuple dans son écrasante majorité, n’attend pas du Secrétaire Général de REWMI, qu’il se rabaisse pour entretenir une petite querelle.
In fine, en voulant mentir au sénégalais comme ce fut le 23 juin, Karim s’est auto-menti et à l’instar de l’araignée dont parlait Jean Paul Sartre dans l’Etre et le Néant, il est pris dans son propre piège.
Oumar Fall membre du FOCAL
Responsable des jeunes Rewmistes de
La communauté rurale de Méouane
seydinaoumarfall@hotmail.com
Dans ce choix réfléchi et ciblé, l’option se porte assurément sur celui qui empêche le régime de tourner en rond. Ce dernier n’est personne d’autre que le Président Idrissa Seck avec sa pertinence, son charisme, son leadership, sa popularité, sa capacité à freiner les ardeurs inavouées et froides ambitions des marchands d’illusions de la trempe de M. 15°/°.
Prenant Wade fils aux mots, il me plait de démonter pièce par pièce sa triste chaine de mensonge :
Primo : « Chirac dit-il, par le truchement de Robert Bourgi en 1999, a donné à Idrissa 100 millions pour qu’il soutienne Diouf ».
Là Karim donne du crédit, de la valeur à son « tonton Bourgi» qu’il peignait ailleurs comme calomniateur, diffamateur quand son discours ramait à contre-courant de ses aspirations (500 millions remis à Vulpin).
Secundo: « Idrissa rejoint Wade en France et tente de le dissuader de sa participation à l’élection présidentielle de 2000 ».
Ici la question qui taraude l’esprit de tout observateur averti c’est qu’est-ce qui aurait empêché à Idy de rester au Sénégal en attendant Wade de pied ferme tout en torpillant la vie des structures du PDS avant de le quitter tout bonnement comme ce fut le cas de Ousmane Ngom par exemple ?
N’est-ce pas Wade, qui de retour de la France et satisfait de l’intérim de Mara qui s’adressait ainsi à lui: « je t’ai laissé un parti, tu m’as rendu un parti et demi »?
Tertio : « Mon père en ma présence (c’est Karim qui parle) dit à Idrissa Seck : Toi aussi mon fils, arrêtes, je sais qu’on t’a acheté et Idrissa Seck baisse la tête et se met à pleurer ».
Il urge de montrer ici que seul Karim qui imagine de toute pièce ce scénario, pourrait, en sa qualité d’éternel enfant, en être l’acteur. Comment Idrissa qui a purgé injustement 07 mois de prison, victime avec son entourage du complot d’Etat le plus ourdi de l’histoire politique du pays sans gémir, puisse pleurer devant un tel fait ? Mieux en 1999, là où la valeur marchande du potentiel d’Idrissa s’évaluait à une centaine de millions pour juste une question de dissuasion, lui Karim fils de Wade quelle était son poids ? RIEN DU TOUT me diriez-vous !!!
C’est vrai que les plus lâches, pour laver les souillures indélébiles qui ont fini d’entacher leur « honneur », se cachent derrière des communiqués de presse pour distiller des allégations et des contrevérités aux fins d’attenter à l’honorabilité de respectables citoyens à l’image du Président Idrissa.
Il faut rappeler, dans la foulée, l’exigence des sénégalais dans leur entièreté à entendre, de vive voix, Wade fils qui ne leur a pas édifié sur ses agissements depuis le 23 juin 2011. Son silence de mort n’est rien d’autre que le reflet de sa médiocrité prétentieuse.
De toutes manières, il vient une fois encore de montrer ses limites en déshonorant en tant que ministre du ciel et de la terre, ses concitoyens en voulant semble-t-il, préserver son « honneur » à lui.
Par conséquent, du fait qu’Idy ne boxe jamais dans le même ring que ce gosse, le peuple dans son écrasante majorité, n’attend pas du Secrétaire Général de REWMI, qu’il se rabaisse pour entretenir une petite querelle.
In fine, en voulant mentir au sénégalais comme ce fut le 23 juin, Karim s’est auto-menti et à l’instar de l’araignée dont parlait Jean Paul Sartre dans l’Etre et le Néant, il est pris dans son propre piège.
Oumar Fall membre du FOCAL
Responsable des jeunes Rewmistes de
La communauté rurale de Méouane
seydinaoumarfall@hotmail.com