DAKARACTU.COM- C'est une famille déboussolée, ne sachant plus à quel saint se vouer qui s'en est ouvert à Dakaractu aux fins de crier son désarroi, "mais également demander l'arbitrage des plus hautes autorités de ce pays, notamment celui de Macky Sall".
En effet, les héritiers de feu Mamadou Sow nous ont saisi munis d'une pile de documents dont certains sont publiés en fac-simile dans un souci permanent de certifier leurs propos.
Selon l'un d'eux, en l'occurrence Daouda Sow, "c'est après s'être plaint, par voie épistolaire, auprès du Bâtonnier de l'Ordre des avocats du Sénégal, au Procureur de la République entre autres autorités judiciaires que nous avons jugé impérieux de nous en ouvrir à la presse afin d'alerter l'opinion, Mme le garde des sceaux, le Premier Ministre, mais particulièrement le chef de l'Etat. Ce, avant que notre héritage ne soit spolié par l'avocat Me Bidjilé Fall".
Quid des griefs?
Toujours selon notre interlocuteur, "c'est fort des relations que Me Fall entretenait avec notre défunt père Mamadou Sow, qu'il est allé se constituer pour notre compte dans la succession, alors que nous ne l'avions pas mandaté". Invité à être plus explicite, Daouda Sow accuse l'avocat de faux sur document administratif, abus de confiance, mais aussi et surtout de vouloir faire main basse sur les domiciles hérités de leur défunt père respectivement situés à la rue 23 x 10, et à "Poultock N'diosmone", dans le département de Fatick.
Et cet héritier de Sow de conclure : "nous pensons qu'avec la rupture tant prônée par Macky Sall, certaines pratiques peu orthodoxes vont enfin cesser".
Joint au téléphone aux fins de recueillir sa version des faits, Me Bidjilé Fall a déversé des insanités sur cette famille, que la décence nous interdit de reproduire. "Ne m'appelez plus pour me parler de cette famille de ..." a t-il dit, avant de raccrocher.
En effet, les héritiers de feu Mamadou Sow nous ont saisi munis d'une pile de documents dont certains sont publiés en fac-simile dans un souci permanent de certifier leurs propos.
Selon l'un d'eux, en l'occurrence Daouda Sow, "c'est après s'être plaint, par voie épistolaire, auprès du Bâtonnier de l'Ordre des avocats du Sénégal, au Procureur de la République entre autres autorités judiciaires que nous avons jugé impérieux de nous en ouvrir à la presse afin d'alerter l'opinion, Mme le garde des sceaux, le Premier Ministre, mais particulièrement le chef de l'Etat. Ce, avant que notre héritage ne soit spolié par l'avocat Me Bidjilé Fall".
Quid des griefs?
Toujours selon notre interlocuteur, "c'est fort des relations que Me Fall entretenait avec notre défunt père Mamadou Sow, qu'il est allé se constituer pour notre compte dans la succession, alors que nous ne l'avions pas mandaté". Invité à être plus explicite, Daouda Sow accuse l'avocat de faux sur document administratif, abus de confiance, mais aussi et surtout de vouloir faire main basse sur les domiciles hérités de leur défunt père respectivement situés à la rue 23 x 10, et à "Poultock N'diosmone", dans le département de Fatick.
Et cet héritier de Sow de conclure : "nous pensons qu'avec la rupture tant prônée par Macky Sall, certaines pratiques peu orthodoxes vont enfin cesser".
Joint au téléphone aux fins de recueillir sa version des faits, Me Bidjilé Fall a déversé des insanités sur cette famille, que la décence nous interdit de reproduire. "Ne m'appelez plus pour me parler de cette famille de ..." a t-il dit, avant de raccrocher.