Sans être citée nommément, l'affaire Idrissa Seck a été brossée au procès de l'Imam Ndao et de ses co accusés. C'est Me Ousseynou Ngom qui a fait allusion à cette polémique qui occupe les devants de l'actualité au Sénégal. L'ancien Premier ministre a soulevé l'ire d'une bonne partie des guides religieux après une interview avec Dakaractu dans laquelle il se prononçait sur le conflit israélo-palestinien. Certains d'entre eux ne se sont pas privés de faire son excommunication (l'exclure de l'Islam". Ce qui du goût de l'avocat, s'appelle apologie du terrorisme.
Selon l'avocat de Moustapha Diatta, “Des prédicateurs font l'apologie du terrorisme et n'ont pas été inquiétés”, dénonce Me Ngom. Par ce procédé, le défenseur de l'accusé Diatta pointe du doigt la stigmatisation dont ferait l'objet la communauté Ibadou Rahmane au Sénégal. “On va jusqu'à dire que Ibadou rahmane égal terroriste”, fustige l'avocat dont le client risque 20 ans de travaux forcés pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, financement du terrorisme et apologie du terrorisme.
Selon l'avocat de Moustapha Diatta, “Des prédicateurs font l'apologie du terrorisme et n'ont pas été inquiétés”, dénonce Me Ngom. Par ce procédé, le défenseur de l'accusé Diatta pointe du doigt la stigmatisation dont ferait l'objet la communauté Ibadou Rahmane au Sénégal. “On va jusqu'à dire que Ibadou rahmane égal terroriste”, fustige l'avocat dont le client risque 20 ans de travaux forcés pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, financement du terrorisme et apologie du terrorisme.