L’Assemblée nationale, dominée par la coalition Benoo Bokk Yakaar (opposition) a rejeté lundi soir le projet de loi portant suppression du Conseil économique social et environnementale (CESE) et du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT), a constaté l’APS.
Le texte a été rejeté par 83 députés. 80 parlementaires ont voté pour la suppression de ces deux institutions.
Samedi, la Commission des lois, de la décentralisation, du travail et des droits de l’homme de l’Assemblée nationale avait rejeté le projet de loi portant une modification de la Constitution en vue supprimer le Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et le Conseil économique social et environnemental (CESE).
Cette initiative émane du président de la République qui a convoqué les députés en session extraordinaire en s’appuyant sur l’article 63 de la Constitution.
La réforme constitutionnelle devant supprimer ces deux organes consultatifs devait s’inscrire dans une optique de transformation de la gouvernance publique et de rationalisation des dépenses.
“Cette proposition entre dans le cadre du raffermissement des réformes constitutionnelles, l’amélioration continue du processus de prise de décision des pouvoirs publics et la rationalisation systématique des charges de l’Etat, différents piliers de la doctrine de transformation de la gouvernance publique voulue à travers la mise en œuvre accélérée du PROJET” de changement systémique porté par le nouveau pouvoir, a-t-il défendu.
Le texte a été rejeté par 83 députés. 80 parlementaires ont voté pour la suppression de ces deux institutions.
Samedi, la Commission des lois, de la décentralisation, du travail et des droits de l’homme de l’Assemblée nationale avait rejeté le projet de loi portant une modification de la Constitution en vue supprimer le Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et le Conseil économique social et environnemental (CESE).
Cette initiative émane du président de la République qui a convoqué les députés en session extraordinaire en s’appuyant sur l’article 63 de la Constitution.
La réforme constitutionnelle devant supprimer ces deux organes consultatifs devait s’inscrire dans une optique de transformation de la gouvernance publique et de rationalisation des dépenses.
“Cette proposition entre dans le cadre du raffermissement des réformes constitutionnelles, l’amélioration continue du processus de prise de décision des pouvoirs publics et la rationalisation systématique des charges de l’Etat, différents piliers de la doctrine de transformation de la gouvernance publique voulue à travers la mise en œuvre accélérée du PROJET” de changement systémique porté par le nouveau pouvoir, a-t-il défendu.