Eblouie par le mannequinat, cette ancienne Miss Guinée (Conakry) au Sénégal a bien la tête sur les épaules. «Je ne suis pas venue dans ce milieu pour faire des choses qui ne siéent pas à ma personne, à ma religion ou à ma culture. Après les défilés, je rentre directement à la maison parce que je suis venue pour travailler et pas pour autre chose. Je ne fais pas du tout attention à tout ce qui se passe pendant ou après les défilés, je ne m’occupe pas de ce qui ne me regarde pas. Je fais mon travail comme il se doit et je rentre. Je ne dirais pas que je ne vais pas dans les boîtes de nuit, mais j’y vais rarement. Parce que mon travail ne me le permet pas. J’ai une personnalité à préserver qui fait que les gens me respectent», déclare-t-elle. Fille pieuse, elle ne se couche jamais sans faire sa prière, «car, souligne-t-elle, c’est comme cela qu’on m’a éduquée». Elle «ne porte jamais de tenues indécentes qui feront honte à (sa) famille». Pleine de personnalité cette jeune demoiselle déterminée tranche net la question : «pour rien au monde, je ne me rabaisserais à porter des tenues qui mettront mon corps à nu».
Quand intelligence rime avec beauté
Khadidja Diallo, ce n’est pas seulement cette beauté exquise. Après des études jusqu’en classe de troisième du cycle secondaire, puis une formation en informatique et en comptabilité, elle a suivi des cours d’anglais. Assistante en informatique comptable dans une entreprise de la place, la belle peulh joint les deux bouts en cumulant son travail d’assistante et son métier de mannequin. Méthodique et disciplinée, elle affirme ne pas avoir de difficultés à cumuler le mannequinat et son travail : «Je sais comment gérer mon emploi du temps, en plus mon patron est compréhensif». Si elle travaille d’arrache-pied, c’est parce qu’au Sénégal, «le mannequinat ne paye pas bien. Et c’est pourquoi je fais autre chose en même temps pour pouvoir faire face à certains de mes besoins». Lucide, elle soutient que «ce métier, n’est pas un travail qu’on peut pratiquer à long terme. C’est une passion pour moi et cela me permet d’avoir des amis sur qui je peux compter en cas de besoin. Cette profession permet aussi d’avoir d’autres perspectives, une ouverture dans le monde des affaires».
Fascinée par le célèbre mannequin Erika, la jeune liane peulh se fixe pour objectif de suivre les pas de son idole. «J’ai toujours été fascinée par Erika et c’est ce qui m’a poussé à vouloir faire comme elle. Je veux suivre le même parcours que mon idole Erika, réussir dans ce métier, ouvrir une boutique et fonder une famille, comme elle l’a fait», dit-elle avec enthousiasme.
Bien qu’issue d’une famille polygame, la jeune demoiselle, qui est en train de vivre une histoire d’amour passionnante avec son jules, affirme n’avoir aucune envie de tomber dans un mariage polygame. «Je voudrais, comme mari, un homme pieux qui me respecte, m’aime, me soutient et qui croit en moi», dit-elle non sans avertir : «je suis très jalouse, c’est pourquoi je préfère être la seule épouse de mon mari. Je ne souhaite pas avoir de coépouse».
( Le Populaire )
Quand intelligence rime avec beauté
Khadidja Diallo, ce n’est pas seulement cette beauté exquise. Après des études jusqu’en classe de troisième du cycle secondaire, puis une formation en informatique et en comptabilité, elle a suivi des cours d’anglais. Assistante en informatique comptable dans une entreprise de la place, la belle peulh joint les deux bouts en cumulant son travail d’assistante et son métier de mannequin. Méthodique et disciplinée, elle affirme ne pas avoir de difficultés à cumuler le mannequinat et son travail : «Je sais comment gérer mon emploi du temps, en plus mon patron est compréhensif». Si elle travaille d’arrache-pied, c’est parce qu’au Sénégal, «le mannequinat ne paye pas bien. Et c’est pourquoi je fais autre chose en même temps pour pouvoir faire face à certains de mes besoins». Lucide, elle soutient que «ce métier, n’est pas un travail qu’on peut pratiquer à long terme. C’est une passion pour moi et cela me permet d’avoir des amis sur qui je peux compter en cas de besoin. Cette profession permet aussi d’avoir d’autres perspectives, une ouverture dans le monde des affaires».
Fascinée par le célèbre mannequin Erika, la jeune liane peulh se fixe pour objectif de suivre les pas de son idole. «J’ai toujours été fascinée par Erika et c’est ce qui m’a poussé à vouloir faire comme elle. Je veux suivre le même parcours que mon idole Erika, réussir dans ce métier, ouvrir une boutique et fonder une famille, comme elle l’a fait», dit-elle avec enthousiasme.
Bien qu’issue d’une famille polygame, la jeune demoiselle, qui est en train de vivre une histoire d’amour passionnante avec son jules, affirme n’avoir aucune envie de tomber dans un mariage polygame. «Je voudrais, comme mari, un homme pieux qui me respecte, m’aime, me soutient et qui croit en moi», dit-elle non sans avertir : «je suis très jalouse, c’est pourquoi je préfère être la seule épouse de mon mari. Je ne souhaite pas avoir de coépouse».
( Le Populaire )