Le procureur du Tribunal départemental de Tivaouane à condamné mercredi, les six jeunes de Kelle, à des peines variant entre deux ans et un an de prison avec sursis.
Ils sont tous poursuivis pour les délits de manifestation sans autorisation, d’occupation illégale sur la voie publique et violence sur les forces de sécurité, a constaté le correspondant de l’APS.
Les prévenus Modou Mbaye, Pape Sidy Diop, Badou Diakhaté, ont écopé de 2 ans de prison assortie de sursis. Tandis que leurs co-prévenus, Pape Cheikh Diop, Ndèye Fatou Diop et Lamine Sylla, ont été condamnés à un an de prison avec sursis.
Les jeunes manifestants se sont violemment affrontés avec les éléments de la gendarmerie de Mékhé, le mercredi 9 novembre dernier, lors d’une marche non autorisée.
Les protestataires réclamaient de l’autorité administrative que leur localité soit érigée en commune, ainsi que l’attribution des 1.200 parcelles déjà viabilisées aux ayants droits.
Les prévenus avaient bénéficié d’une liberté provisoire. Pape Diop, porte-parole, d’un collectif pour la défense des intérêts des Kellois, avait indiqué que ‘’la libération des jeunes est un signe d’apaisement’’.
Pour lui, le collectif va continuer son combat ‘’de manière pacifique et dans la légalité jusqu’à l’érection de Kelle en commune, pour réparer une injustice dont la localité est victime depuis plus deux décennies’’.
Située à 70 kilomètres de Thiès, Kelle, compte aujourd’hui plus de 12.000 habitants, polarise 42 villages et dispose d’infrastructures adéquates pour devenir une commune, selon les manifestants.
( APS )
Ils sont tous poursuivis pour les délits de manifestation sans autorisation, d’occupation illégale sur la voie publique et violence sur les forces de sécurité, a constaté le correspondant de l’APS.
Les prévenus Modou Mbaye, Pape Sidy Diop, Badou Diakhaté, ont écopé de 2 ans de prison assortie de sursis. Tandis que leurs co-prévenus, Pape Cheikh Diop, Ndèye Fatou Diop et Lamine Sylla, ont été condamnés à un an de prison avec sursis.
Les jeunes manifestants se sont violemment affrontés avec les éléments de la gendarmerie de Mékhé, le mercredi 9 novembre dernier, lors d’une marche non autorisée.
Les protestataires réclamaient de l’autorité administrative que leur localité soit érigée en commune, ainsi que l’attribution des 1.200 parcelles déjà viabilisées aux ayants droits.
Les prévenus avaient bénéficié d’une liberté provisoire. Pape Diop, porte-parole, d’un collectif pour la défense des intérêts des Kellois, avait indiqué que ‘’la libération des jeunes est un signe d’apaisement’’.
Pour lui, le collectif va continuer son combat ‘’de manière pacifique et dans la légalité jusqu’à l’érection de Kelle en commune, pour réparer une injustice dont la localité est victime depuis plus deux décennies’’.
Située à 70 kilomètres de Thiès, Kelle, compte aujourd’hui plus de 12.000 habitants, polarise 42 villages et dispose d’infrastructures adéquates pour devenir une commune, selon les manifestants.
( APS )