Se faire une place au soleil dans la haute finance internationale est un immense défi. Pour un fils d’Afrique essayer de le relever peut paraître une gageure. Sauf si on a accumulé suffisamment de confiance, d’expérience et de « bagage intellectuel » en fréquentant les établissements d’enseignement supérieur les plus prestigieux de la planète.
Tel est le cas de KEBA KEINDE qui, après un diplôme en télécommunication obtenu en France, a réussi l’exploit d’intégrer M.I.T (Massachussets Institute of Technology) où il a décroché un M.B.A .
A ce cursus universitaire remarquable, il faut ajouter une expérience professionnelle au plus haut niveau à la Banque Mondiale à Washington pour comprendre la dynamique propre au chemin que s’est tracé Keinde.
Jusqu’à se trouver à la tête de l’Institution financière : Millenuim Finance Corporation basée à Dubai.
L’homme a assurément une réussite insolente et a naturellement gagné ses galons de Golden-Boy et l’aisance financière qui va avec. Il aurait pu se prélasser et jouir égoïstement de ses revenus ; mais il a plutôt décidé de s’investir et d’investir au Sénégal, son pays.
L’expérience américaine a sans doute joué un rôle car le pays de l’Oncle Sam qui est celui du capitalisme triomphant est aussi celui du mécénat, de la philanthropie, du « donner en retour ».
En effet le succès y est invite à partager avec les autres comme les exemples de Bill et Mélinda Gates, mais aussi de Warren Buffet, Tiger Woods, André Agassi, Will Smith, Ted Turner etc. La liste est très longue car presque toutes les vedettes américaines sont engagées dans des actions caritatives, de mécénat, etc.
Quand la fortune vous sourit ; vous avez comme un devoir moral de penser aux autres. C’est ce que Keba Keinde fait avec son mouvement : « Sénégal 2.0, j’aime mon pays ».
Non seulement il mène des actions d’aide sociale avec des dons aux plus démunis, mais aussi aux équipes nationales etc.
En même temps il promeut une prise de conscience patriotique authentique c’est-à-dire ouverte et responsable. Cela aussi est une leçon américaine car les U.S.A. sont indiscutablement le pays du patriotisme lucide et totalement assumé.
Pourquoi ne pas en faire de même en Afrique et notamment au Sénégal.
Keba Keinde joint l’action à la parole. Son patriotisme est prouvé par les actes. Par son engagement sur le terrain social national.
Si tous les jeunes qui ont connu le succès et la bonne fortune à l’extérieur avaient fait comme lui ; cela aurait boosté le Sénégal dans tous les domaines.
Car des jeunes sénégalais talentueux et diplômés voir surdiplômés existent et leur nombre pourrait surprendre si on les mobilisait véritablement.
C’est pourquoi il faut féliciter Keinde qui a posé un jalon important.
Le Sénégal nous appartient tous et l’Etat ne peut pas tout faire. Déjà les travailleurs émigrés apportent un concours inestimable avec l’injection de plusieurs centaines de milliards de francs cfa par an, autant voire plus, que « l’aide au développement ».
A l’évidence le décollage économique de l’Afrique sera l’œuvre des Africains, ceux du continent et ceux de la diaspora.
Keba Keinde l’a compris et agit de manière pertinente. Son exemple doit être magnifié. Comme doit l’être sa position de « role model » (exemple) pour les jeunes.
Le chemin de la réussite, de l’excellence et de l’intelligence est celui de l’école.
D’autres voies mènent certes au succès ; mais elles sont trop exigües. C’est le cas du sport et de la musique, par exemple.
Pour le plus grand nombre l’école doit rester la priorité ; même si tout le monde ne peut aller au sommet. Mais un minimum de parcours scolaire aide grandement quelque soit, par la suite, l’option professionnelle suivie.
L’exemple de Keinde est une « success story » à mettre en exergue pour tous les jeunes qui ont la responsabilité de bâtir le Sénégal de demain.
MOUHAMADOU M. DIA
Source:assirou.net
Tel est le cas de KEBA KEINDE qui, après un diplôme en télécommunication obtenu en France, a réussi l’exploit d’intégrer M.I.T (Massachussets Institute of Technology) où il a décroché un M.B.A .
A ce cursus universitaire remarquable, il faut ajouter une expérience professionnelle au plus haut niveau à la Banque Mondiale à Washington pour comprendre la dynamique propre au chemin que s’est tracé Keinde.
Jusqu’à se trouver à la tête de l’Institution financière : Millenuim Finance Corporation basée à Dubai.
L’homme a assurément une réussite insolente et a naturellement gagné ses galons de Golden-Boy et l’aisance financière qui va avec. Il aurait pu se prélasser et jouir égoïstement de ses revenus ; mais il a plutôt décidé de s’investir et d’investir au Sénégal, son pays.
L’expérience américaine a sans doute joué un rôle car le pays de l’Oncle Sam qui est celui du capitalisme triomphant est aussi celui du mécénat, de la philanthropie, du « donner en retour ».
En effet le succès y est invite à partager avec les autres comme les exemples de Bill et Mélinda Gates, mais aussi de Warren Buffet, Tiger Woods, André Agassi, Will Smith, Ted Turner etc. La liste est très longue car presque toutes les vedettes américaines sont engagées dans des actions caritatives, de mécénat, etc.
Quand la fortune vous sourit ; vous avez comme un devoir moral de penser aux autres. C’est ce que Keba Keinde fait avec son mouvement : « Sénégal 2.0, j’aime mon pays ».
Non seulement il mène des actions d’aide sociale avec des dons aux plus démunis, mais aussi aux équipes nationales etc.
En même temps il promeut une prise de conscience patriotique authentique c’est-à-dire ouverte et responsable. Cela aussi est une leçon américaine car les U.S.A. sont indiscutablement le pays du patriotisme lucide et totalement assumé.
Pourquoi ne pas en faire de même en Afrique et notamment au Sénégal.
Keba Keinde joint l’action à la parole. Son patriotisme est prouvé par les actes. Par son engagement sur le terrain social national.
Si tous les jeunes qui ont connu le succès et la bonne fortune à l’extérieur avaient fait comme lui ; cela aurait boosté le Sénégal dans tous les domaines.
Car des jeunes sénégalais talentueux et diplômés voir surdiplômés existent et leur nombre pourrait surprendre si on les mobilisait véritablement.
C’est pourquoi il faut féliciter Keinde qui a posé un jalon important.
Le Sénégal nous appartient tous et l’Etat ne peut pas tout faire. Déjà les travailleurs émigrés apportent un concours inestimable avec l’injection de plusieurs centaines de milliards de francs cfa par an, autant voire plus, que « l’aide au développement ».
A l’évidence le décollage économique de l’Afrique sera l’œuvre des Africains, ceux du continent et ceux de la diaspora.
Keba Keinde l’a compris et agit de manière pertinente. Son exemple doit être magnifié. Comme doit l’être sa position de « role model » (exemple) pour les jeunes.
Le chemin de la réussite, de l’excellence et de l’intelligence est celui de l’école.
D’autres voies mènent certes au succès ; mais elles sont trop exigües. C’est le cas du sport et de la musique, par exemple.
Pour le plus grand nombre l’école doit rester la priorité ; même si tout le monde ne peut aller au sommet. Mais un minimum de parcours scolaire aide grandement quelque soit, par la suite, l’option professionnelle suivie.
L’exemple de Keinde est une « success story » à mettre en exergue pour tous les jeunes qui ont la responsabilité de bâtir le Sénégal de demain.
MOUHAMADOU M. DIA
Source:assirou.net