"La violence et les armes n’ont jamais rien réglé. Seules la diplomatie, la patience et la tolérance peuvent apporter des solutions. C’est pourquoi il ne faut pas intimider Abdoulaye WADE car la meilleure démarche à adopter avec un vieux singe c’est de lui offrir une grosse banane pour tromper sa vigilance. Même si le vent du printemps arabe donne l’impression de frapper à nos frontières, ne l’accueillons pas quelle que soit l’atmosphère qui puisse prévaloir et ne mettons pas à sac notre cher Sénégal, surtout vous la jeunesse», a déclaré Serigne Modou Kara Mbacké.
Selon le marabout, beaucoup de jeunes écoutent des gens qui, bien qu'organisant des manifestations dans le cadre de l’exercice de leurs droits de citoyen, perpètrent des abus et des dérives qui sont nuisibles au pays et portent atteinte à sa stabilité et sa prospérité.
Il y a une solution, aux yeux de Kara. Il suffit tout simplement de suivre les enseignements que Serigne Touba nous a légués et les respecter pour qu’on puisse enfin connaître la paix, la miséricorde et la prospérité au Sénégal.
Et le marabout de conclure, parlant de son Ndiguel du 23 juin : "A propos des manifestations du 23 juin auxquelles j’avais donné une instruction à tous ceux qui s’identifient à moi de ne pas prendre part, j’ai eu raison. Car j’ai voulu épargner le Sénégal de tels actes de violence. Tout citoyen a des droits et devoirs, certes, mais nul n’a le droit de saccager chez autrui ou de le brûler».
Selon le marabout, beaucoup de jeunes écoutent des gens qui, bien qu'organisant des manifestations dans le cadre de l’exercice de leurs droits de citoyen, perpètrent des abus et des dérives qui sont nuisibles au pays et portent atteinte à sa stabilité et sa prospérité.
Il y a une solution, aux yeux de Kara. Il suffit tout simplement de suivre les enseignements que Serigne Touba nous a légués et les respecter pour qu’on puisse enfin connaître la paix, la miséricorde et la prospérité au Sénégal.
Et le marabout de conclure, parlant de son Ndiguel du 23 juin : "A propos des manifestations du 23 juin auxquelles j’avais donné une instruction à tous ceux qui s’identifient à moi de ne pas prendre part, j’ai eu raison. Car j’ai voulu épargner le Sénégal de tels actes de violence. Tout citoyen a des droits et devoirs, certes, mais nul n’a le droit de saccager chez autrui ou de le brûler».