La mise en place pour une bonne distribution des semences et engrais a déjà démarré dans la zone centre et partout au Sénégal pour le bon déroulement des activités agricoles pendant la saison des pluies. Ce qui montre, selon le président de la Fédération nationale des opérateurs privés stockeurs-transporteurs (FNOPST) de la zone centre qui regroupe les régions de Fatick, Kaolack, Kaffrine et Tambacounda par ailleurs porte-parole national de ladite fédération, Cheikh Tall, l’engagement accordé par le Président Bassirou Diomaye Faye et le ministre de l’agriculture pour la réussite de cette présente campagne. Non sans rappeler que "pour avoir une souveraineté alimentaire, il faut au moins accorder 10% du budget national à l'agriculture. En moins d’un mois, un conseil ministériel a été tenu en ce sens et des décisions sérieuses et importantes ont été prises à savoir l’apurement de la dette (2021, 2022, 2023) estimée à 20 milliards pour booster le développement du secteur.
Mieux, le ministre de l’agriculture a engagé les échanges avec les grandes institutions financières pour les inviter à davantage soutenir les agriculteurs pour réussir un tel pari. Selon Cheikh Tall, « l’agriculture est le poumon de l’économie ». « On ne peut pas se développer sans avoir une autosuffisance alimentaire », dit-il, ajoutant qu’heureusement « les autorités l’ont très vite compris ». « Ils ont augmenté 40 milliards sur le budget de l’agriculture qui était à 100 milliards. Cela s’est traduit par une augmentation des intrants, une baisse du prix des sessions et une augmentation de la quantité des autres spéculations telles que l’arachide et les céréales », explique M.Tall dans cet entretien accordé à Dakaractu.
Aussi, estime-t-il, que « pour avoir une bonne campagne agricole, c’est tout une chaîne qui doit être enclenchée ».
Cheikh Tall lance aussi un appel au régime en place pour que certaines institutions du secteur agricole soient davantage appuyées par l'État. « Les instituts de recherche comme l’ISRA, la Disem doivent avoir beaucoup de moyens pour mieux gérer les différentes recherches dans leurs laboratoires et fournir l’encadrement qu’il faut pour avoir de meilleures semences », soutient-il. Cependant, Cheikh Tall est d’avis que « il faut une maîtrise efficiente du liquide précieux afin de permettre aux agriculteurs d’allier les campagnes saisonnières et celles des contre saisons ». « Le Sénégal dépend trop des pluies. Nous avons la chance d’avoir des lacs et des fleuves. Avec une bonne maîtrise de l’eau, des semences de qualité, le phosphatage des sols, une volonté politique de l'État et le foncier, tous ces paramètres combinés avec la bénédiction d’Allah nous pourrons vraiment réussir le pari d’atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Il a cependant plaidé pour le remboursement du reliquat de la dette 2023-2024 estimé à 100 milliards que l’État du Sénégal doit aux opérateurs...
Mieux, le ministre de l’agriculture a engagé les échanges avec les grandes institutions financières pour les inviter à davantage soutenir les agriculteurs pour réussir un tel pari. Selon Cheikh Tall, « l’agriculture est le poumon de l’économie ». « On ne peut pas se développer sans avoir une autosuffisance alimentaire », dit-il, ajoutant qu’heureusement « les autorités l’ont très vite compris ». « Ils ont augmenté 40 milliards sur le budget de l’agriculture qui était à 100 milliards. Cela s’est traduit par une augmentation des intrants, une baisse du prix des sessions et une augmentation de la quantité des autres spéculations telles que l’arachide et les céréales », explique M.Tall dans cet entretien accordé à Dakaractu.
Aussi, estime-t-il, que « pour avoir une bonne campagne agricole, c’est tout une chaîne qui doit être enclenchée ».
Cheikh Tall lance aussi un appel au régime en place pour que certaines institutions du secteur agricole soient davantage appuyées par l'État. « Les instituts de recherche comme l’ISRA, la Disem doivent avoir beaucoup de moyens pour mieux gérer les différentes recherches dans leurs laboratoires et fournir l’encadrement qu’il faut pour avoir de meilleures semences », soutient-il. Cependant, Cheikh Tall est d’avis que « il faut une maîtrise efficiente du liquide précieux afin de permettre aux agriculteurs d’allier les campagnes saisonnières et celles des contre saisons ». « Le Sénégal dépend trop des pluies. Nous avons la chance d’avoir des lacs et des fleuves. Avec une bonne maîtrise de l’eau, des semences de qualité, le phosphatage des sols, une volonté politique de l'État et le foncier, tous ces paramètres combinés avec la bénédiction d’Allah nous pourrons vraiment réussir le pari d’atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Il a cependant plaidé pour le remboursement du reliquat de la dette 2023-2024 estimé à 100 milliards que l’État du Sénégal doit aux opérateurs...